CHAPITRE XXX.
LA NUIT DES MIRACLES SUR LE LAC DE GÉNÉSARETH
(St. Matt. XIV. 22-36; Saint- Jean 15-21.)
LA dernière question de Jean-Baptiste, parlé en public, avait été : « Es-tu le One à venir, ou nous chercher un autre ? » Il a, en partie, été répondu, comme le murmure avait traversé les rangs : « C’est vraiment le prophète, l’un venant ! » Alors, alors, qu’ils avaient n’est plus à attendre, ni à chercher un autre ! Et ce « prophète » était le Messie longtemps attendu par Israël. Ce que cela impliquerait pour le peuple, dans l’intensité et la nostalgie de la grande espérance qui, pendant des siècles, nay, bien au-delà du temps d’Esdras, avait influencé leur cœur, il est impossible de concevoir pleinement. Ici, alors, était la grande réalité enfin devant eux. Il, dont l’enseignement qu’ils avaient accroché transe, était « le prophète, » nay, plus, ' l’un à venir : "celui qui a été de tous les siècles à venir et encore n’était pas venu jusqu'à maintenant. Puis, aussi, était il plus qu’un prophète - roi : roi d’Israël, le roi du monde. D’une impulsion irrésistible ont saisi le peuple. Ils seraient proclament lui roi, puis et là ; et comme ils le savaient, probablement à partir de précédentes déclarations, peut-être lorsque des mouvements similaires devaient être vérifié, qu’il résisterait, ils limiterait lui se déclare, ou du moins à être proclamée par eux. Pouvons-nous nous étonner à ce ; ou que les pensées d’un Royaume messianique mondain devraient fait déborder, déplacé et influencé à vie de disciple un Judas ; ou qui, avec un tel représentant de leurs propres pensées parmi les disciples, les vagues montées d’excitation populaire devrait avoir enflé dans les volutes puissants ?
« Jésus donc, voyant qu’ils étaient sur le point de venir et de le prendre par la force, qu’ils pourraient faire lui roi,3252 3252 se retira à nouveau dans la montagne, lui seul,' ou, comme il pourrait être rendu, mais pas tout à fait dans l’usage moderne de l’expression, "redevient un ermite... Lui seul. » 3253 3253 Il s’agit d’un autre de ces contrastes sublimes, qui le rendent presque inconcevable de considérer cette histoire autrement que comme vrai et Divine. Pourtant, une autre est la façon dont il a calmé la multitude et le but pour lequel il est devenu ermite solitaire sur le sommet de la montagne. Il se retire pour prier ; et il a calmé les gens et les envoya, célébré sans doute, chez eux, en disant qu’il se retire pour prier. Et il a fait jusqu'à prier loin de suite, « quand le soir (deuxième) était arrivé »3254 3254 et les premières étoiles brillaient dehors dans le bleu du ciel sur le lac de Galilée, avec les lumières extrême scintillante et tremblement de l’autre côté. Et encore un autre contraste sublime - car il contraint les disciples d’entrer dans le navire, et que le navire, qui portait à ceux qui avaient été partageurs dans le miracle, ne pouvait pas faire façon contre la tempête et des vagues et fut enfin chassé de son cours. Et encore un autre contraste - alors qu’il marchait sur les ondes de tempête-ballotté et subjugué les. Et encore un autre et un autre - pour n’est pas tous cette histoire un sublime contraste avec le visible et la pensée des hommes, mais déprimer plus vrai et Divine en la supériorité de ces contrastes ?
Pour qui et pour quoi il a prié, seul sur cette montagne, nous osons pas, même dans le plus profond respect, se renseigner. Mais nous pensons que, à cet égard, de la manne, le désert, la brebis perdue, la Sainte Cène, la Pâque, le pain qui est de sa chair et le reste dans les paniers à transporter pour les Afars et puis aussi de la tentative de lui faire un roi , dans tout son irréalité spirituelle, se terminant à son avis, avec la trahison, la négation et le cri : « Nous n’avons pas roi mais César. » Et comme il priait, les fidèles étoiles dans le ciel brillaient dehors. Mais là sur le lac, où il est fait pour l’autre rive l’écorce qui portait ses disciples, « un grand vent » « contrairement à eux » était en hausse. Et encore, il était « seul sur la terre », mais à l’affût dans la soirée après eux, comme le navire a été « au milieu de la mer » et ils laborieuses et « en détresse en aviron. »
Jusqu’ici, pour le plus grand point de leur nécessité, mais pas plus loin. Le lac est tout à fait environ quarante stades ou stades (environ six miles) de larges, et qu’ils avaient comme encore atteint peu plus de moitié de la distance (vingt-cinq ou trente stades). Déjà, c’était « la quatrième ronde de la nuit ». Il y avait une différence d’opinion parmi les Juifs, que la nuit devrait être divisée en trois, ou (comme chez les Romains) en quatre quarts. Ce dernier (qui compterait douze au lieu de neuf heures la nuit) a été adopté par beaucoup. 3255 3255 En tout cas, ce serait que l'on pourrait qualifier le matin-watch,3256 3256 Quand la forme connue semble être eux, passant « marcher sur la mer. » Au moins, n’on peut aucun question que tel était l’impression, non seulement d’une ou l’autre, mais que tous l’a vu. Ni encore il est ici question que toute explication naturelle. Une fois de plus la vérité de l’événement doit être tout à fait admise, ou absolument rejetée. 3257 3257 Les difficultés de cette dernière hypothèse, qui véritablement coupe le noeud, serait formidables. Non seulement l’origine de ce récit, comme donnée par deux de la Synoptists et de Saint-Jean, serait totalement irresponsable - rencontre espérance juive, ni encore supposé ancien Testament précédent - mais, si la légende, c’est, il semble inutile et irrationnel. En outre, il y a ce notable à ce sujet, comme sur beaucoup des dossiers de la miraculeuse dans le Nouveau Testament, que les écrivains se déguisement en aucun cas d’eux-mêmes ou à leurs lecteurs les difficultés évidentes en cause. Dans le cas présent ils nous disent, qu’ils considère sa forme se déplaçant sur l’eau comme « esprit » et crièrent de peur ; et encore une fois, que l’impression produite par toute la scène, même sur ceux qui avaient été témoins du miracle de la veille au soir, a été un immense étonnement. Cette marche sur l’eau, ensuite, était même pour eux dans le domaine de la vraiment miraculeux et il affecté leurs esprits tout aussi, peut-être même plus que le nôtre, du fait qu’à leur avis tellement, qui nous semble miraculeux, jeter dans la sphère de ce qui pourrait être expec Ted dans le cadre d’une telle histoire.
En revanche, ce miracle n’est pas isolé, mais fait partie d’une série de manifestations similaires. Elle est étroitement liée avec ce qui avait transmis la veille au soir, et ce qui devait suivre ; elle est racontée avec une minutie de détail et avec une telle absence de toute tentative de lustre, parure, excuses ou auto glorification, pour donner le récit (considéré simplement comme tel) a marqué le cachet de la vérité ; alors que, enfin, il contient une grande partie qui soulève l’histoire du simplement miraculeuse dans le domaine du sublime et profondément spirituelle. En ce qui concerne ce qu’on peut appeler sa crédibilité, cela au moins peut-être encore être précisé, que ce cas semblables de « domination sur la créature, » sont pas au-delà de la portée de ce que Dieu avait initialement attribué à l’homme, quand il a fait de lui un peu plus bas que les anges et lui couronné de gloire et d’honneur, fait de lui d’avoir la domination sur les oeuvres de ses mains, et toutes choses ont été mis sous ses pieds. 3258 3258 En effet, cette « domination sur la mer » semble pièce la divinement humain plutôt que l’aspect humainement divin de sa personne,3259 3259 Si cette distinction peut être faite légalement. De la possibilité physique d’un tel miracle - ne pas de parler de la contradiction dans les termes que cela implique - aucune explication ne peut être tentée, si c’était seulement sur le terrain que nous sommes totalement ignorants des conditions dans lesquelles s’est déroulée.
Cela mérite beaucoup, cependant, une attention particulière, qu’il y a un seul point marqué de la différence entre le récit de ce miracle et qu’on trouvera une caractéristique générale dans des récits légendaires. Dans le second, le miraculeux, mais extraordinaires, est les attendus ; il ne crée aucun surprise, et il ne se trompe jamais pour quelque chose qui seraient intervenues dans le cours normal des choses. Car, il est caractéristique de la mythique que le miracle n’est pas seulement introduit la manière la plus réaliste, mais constitue l’élément essentiel dans la conception des choses. C’est le très raison d'être du mythe ou légende, lorsqu’il s’attache au réel et historiquement vrai. Maintenant c’est le contraire dans le présent récit. Eût été mythique ou légendaire, nous devons espérer que les disciples auraient ont été décrits comme immédiatement reconnaître le maître pendant qu’il marchait sur la mer et adorant. Au lieu de cela, ils « sont en difficulté » et « peur ». « Ils pensaient que c’était une apparition, »3260 3260 (ceci selon des notions juives populaires) et « pleuré dehors de peur. » Même par la suite, quand ils avaient reçu dans le navire, « ils étaient mal surpris en soi » et « n'entendent pas », tandis que ceux à bord du navire (par opposition aux disciples), jailli dans un acte d’adoration. Autant alors est évident, que les disciples n'attendus pas du miracle ; qu’ils n’étaient pas préparés pour cela ; qu’ils avaient il expliqué sur ce qui leur semblait naturels motifs ; et que, même si convaincu de sa réalité, l’impression de l’émerveillement, ce qu’elle fait, était des plus profondes. Et il s’ensuit également est un corollaire, que, quand ils ont enregistrent, il n’était pas dans l’ignorance qu’ils écrivaient que qui sonnait plus étrange et qui affecteraient ceux qui devraient le lire avec encore beaucoup plus grand émerveillement - nous avons eu presque écrit, incrédulité - que celles qui eux-mêmes avaient été les témoins.
Ni n’oublions, que ce qui avait été juste remarqué sur ce récit détient également vrai en ce qui concerne les autres miracles enregistrées dans le Nouveau Testament. Ainsi, même si fondamental un article de la foi en la résurrection du Christ est décrit comme étant venu sur les disciples eux-mêmes comme une surprise - non seulement totalement inattendue, mais tellement incroyable, qu’il lui fallait des preuves répétées et indiscutable à commande leur reconnaissance. Et rien ne peut être plus clair, plus que Saint Paul lui-même n’était pas seulement au courant de la résistance générale ce qui déclenche l’annonce d’un tel événement,3261 3261 mais qu’il sentait pleinement les difficultés de ce qu’il si croit fermement,3262 3262 et fait de la Fondation de sa prédication. 3263 3263 En effet, l’exposition élaborée des motifs historiques, sur lequel il était arrivé à la conviction de la réalité,3264 3264 offre un aperçu des difficultés mentales qui elle doit d’abord avoir présenté à lui. Et une conclusion similaire peut être tirée de la référence de Saint-Pierre pour les difficultés liées aux prédictions bibliques sur la fin du monde. 3265 3265 3266 3266
Il n’est pas nécessaire de poursuivre ce sujet plus loin. Son influence sur le miracle du Christ marchant sur la mer de Galilée sera suffisamment manifeste. Encore une autre preuve confirmative peut-être être recueillie d’une étude de plus près les détails de la narration. Lorsque Jésus « contraint les disciples d’entrer dans le bateau et aller devant lui à l’autre bord, » 3267 3267 ils ont doivent penser, que son but était de les rejoindre par voie terrestre, puisqu’il n’existait aucun autre bateau là, sauf celui dans lequel ils ont traversé le lac. 3268 3268 Et, éventuellement, telle avait été son intention, jusqu'à ce qu’il a vu leurs difficultés, sinon le danger, du vent contraire. 3269 3269 Cela doit avoir déterminé lui de venir à leur aide. Et si ce miracle aussi n’était pas un simple étalage de la puissance, mais, étant dus à leur nécessité, avait un objet moral. Et quand il est demandé, comment de la hauteur de la montagne au bord du lac il aurait pu voir pendant la nuit où le navire a été ouvrier jusqu’ici sur le lac,3270 3270 il doit sûrement avoir été oublié que la scène est posée assez peu avant la Pâque (le 15 Nisan), quand, bien sûr, la lune aurait briller sur un ciel sans nuages, autant sur une nuit de printemps venteuse et les eaux s’allument bien partout.
Nous pouvons presque photo à nous-mêmes la scène bizarre. Le Christ est sur cette colline-top en solitaire converse avec son père - prier après cette miraculeuse fraction du pain : réaliser pleinement tout ce qu’il impliquait lui du don de soi, de souffrance et de se donner comme nourriture du monde, et tout ce qu’il impliquait nous o bénédiction de f et de la nourriture ; prier aussi - avec cette scène fraîche sur son esprit, de leur demander de le faire, même par la force, leur roi - que le charnel pourrait devenir réalité spirituelle (comme dans le symbole, que c’est avec la rupture du pain). Puis, comme il se lève de ses genoux, sachant que, hélas, il ne pouvait pas et ne serait pas, pour beaucoup, il donne sur le lac après cette petite entreprise, qui incarné et représenté tous là encore était de son église, tout ce qui serait vraiment nourrir sur le pain du ciel et lui possèdent leur vrai roi. Sans présomption, nous pouvons osons dire, qu’il doit avoir été tristesse indescriptible et nostalgie dans son cœur, que son regard était plié à la voie ferrée qui suivrait le petit bateau. Comme nous il découvre, il semble tout symbolique : la nuit, au clair de lune, le petit bateau, le vent contraire, et puis aussi le Sauveur solitaire après la prière à la recherche partout où les bateliers vainement du travail pour gagner l’autre rive. Comme dans le clair de lune clair que juste cette pièce d’eau se démarque, presque comme l’argent patiné, avec tout le reste dans l’ombre, le mât sans voile est maintenant bascule çà et là, sans avancer. Ils sont en difficulté, en danger : et le Sauveur ne peut pas poursuivre son périple à pied par terre ; Il doit venir à leur aide, si c’est sur l’eau. Il est nécessaire, et par conséquent il doit être sur l’eau ; et si la tempête et le labeur infructueux ne doivent pas empêcher leur pour atteindre la rive, mais seront également à eux pour l’enseignement concernant lui et sa grande puissance et en ce qui concerne sa grande délivrance ; ce type d’enseignement, sous un autre aspect de celui-ci, avait été leur donné en symbole dans l’approvisionnement en nourriture miraculeuse, avec tout ce qu’elle implique (et pas à eux seuls, mais nous aussi) de confort précieux et d’assurance et comme gardera pour toujours l’église d’être submergés par la peur j’ai n la nuit d’orage sur le lac de Galilée, lorsque le travail de nos rames ne peut pas laisser la place pour nous.
Et elles aussi qui étaient dans le bateau doit ont été agitée par des sentiments particuliers. Contre leur gré ils avaient été « contraint » par le Seigneur à se lancer et quitter les lieux ; tout comme la multitude, sous l’influence du grand miracle, étaient autour de leur maître, avec insistance violent à proclamer le roi messianique d’Israël. Non seulement un Judas Iscariote, mais chacun d’eux, doit avoir été sous l’excitation plus forte : première du grand miracle, puis du mouvement populaire. C’était la crise dans l’histoire du Messie et de son Royaume. Pouvons-nous nous étonner, que, lorsque le Seigneur dans la miséricorde même leur ordonna de quitter une scène qui pourrait seulement avoir induit en erreur les, ils sont réticents, nay, qu’il fallait presque la violence de sa part ? Et encore - plus nous considérons elle - était-ce pas plus vraiment nécessaire pour eux, qu’ils devraient laisser ? Mais, d’autre part, à cet égard également, il semble un « besoin d’être » de sa promenade au bord de la mer, qu’ils puissent apprendre que non seulement sa toute-puissance et (symboliquement) qu’il a jugé les vagues montantes ; mais que, dans leur grande déception à son n’étant ne pas un roi, ils pourraient apprendre qu’il a été un très grand lit-que dans un sens beaucoup plus élevé, plus vrai que la multitude excitée lui serait ont proclamé.
Ainsi, nous pouvons imaginer les sentiments avec lequel ils avaient poussé le bateau depuis la rive et puis avec impatience regardé en arrière pour descry ce qui passé il. Mais bientôt les ombres de la nuit ont été Envellopants tous les objets à distance, et seulement la surcharge de la lune brillait sur la piste derrière et par devant. Et maintenant la brise de l’autre côté du lac, dont ils peuvent avoir été inconscients lorsqu’ils ont entrepris sur la rive orientale, avait rafraîchi dans un vent violent, contraire. Toutes les énergies doivent se sont engagés à garder la tête du bateau vers le rivage. 3271 3271 Même si elle semblait comme si ils ne pourraient faire aucun progrès, quand tout à coup, la piste qui sont derrière eux, une Figure est apparu. Comme il passé partir au-dessus de l’eau, apparemment upborne par les vagues comme ils rose, pas disparaître comme ils sont tombés, mais à bord comme ils se roulaient, la lune argentée posé sur les eaux, peuplier faux les ombres de cette forme qu’il se déplaçait, longs et sombres, sur leur piste. Saint-Jean utilise une expression,3272 3272 qui nous montre dans la lumière pâle, ceux dans le bateau, attentivement, fixement, craintivement, contemplant l’Apparition comme il s’approchait toujours plus proche et plus proche. Nous devons nous rappeler leur excitation précédente, comme aussi la présence et, sans doute, les suggestions superstitieuses du batelier, quand on pense à comment ils crièrent de peur et a jugé une Apparition. Et « Il aurait obtenu par eux, »3273 3273 comme il fait si souvent dans notre cas - amener, en effet, la délivrance, de pointage et leur mode de lissage, mais ne leur donnant pas sa présence connue, si ils n’avaient pas crié. Mais leur peur, qui les rendait presque hésiter à le recevoir dans le bateau,3274 3274 même si le résultat de l’erreur et superstition, a apporté son prêt sympathie et confort, dans la langue qui a si souvent et à toutes les époques, transformé des peurs insensées de malentendu assurance joyeuse, reconnaissant : « c’est moi, n’ayez ne pas peur ! »
Et ils n’étaient plus peur, même si vraiment sa marche sur les eaux peut sembler plus impressionnant que n’importe quel « apparition ». La tempête dans leur cœur, comme celle sur le lac, était commandée par sa présence. Nous devons toujours garder à l’esprit leurs agitations ancienne, maintenant considérablement intensifiée par ce qu’ils avaient juste vu, afin de comprendre la demande de Pierre : « Seigneur, si c’est toi, ordonne-moi de venir vers toi sur l’eau. » Ce sont les mots d’un homme, qui a mené à l’excitation du moment au-delà de toute réflexion. Et pourtant, cette combinaison de doute (« si c’est toi »), avec présomption (« ordonne-moi de venir sur l’eau »), est particulièrement caractéristique de pierre. Il est l’apôtre de l’espoir - et l’espoir est une combinaison de doute et de présomption, mais aussi de leur transformation. Avec révérence il dire, Christ ne pouvait pas laissé la demande concédée, quoique c’ait été le résultat d’encore présomption et le doute non rapproché et non transformé. Il le n'aurait pas fait, ou doute resterait doute non transformée ; et il n'aurait pas pu faire, sans corriger également ou présomption serait restée présomption non transformée, qui n’est que la croissance à la hausse, sans enracinement plus profond dans l’expérience spirituelle vers l’intérieur. Et donc il lui demandé d’entrer à l’eau,3275 3275 pour transformer son doute, mais lui a laissé, unassured de sans, à ses propres sentiments qu’il a vu le vent,3276 3276 , pour transformer sa présomption ; alors qu’en étendant la main pour le sauver du naufrage et par les paroles de correction qu’il disait, il l’a effectivement fait donc pointent vers leur transformation en cet espoir, dont St. Peter est le représentant spécial et le prédicateur dans l’église.
Et présentement, comme elles deux est entré dans le bateau,3277 3277 le vent cessa, et immédiatement le navire était à la terre. Mais « ils qui se trouvaient dans le bateau » - apparemment par opposition à ses disciples :3278 3278 Bien que ce dernier doit avoir se tenaient autour dans sympathique révérence - ' se prosternèrent devant lui, en disant, d’une vérité, tu es le fils de Dieu. » Le premier plein la confession publique cela du fait et fait pas par les disciples, mais par d’autres. Avec les disciples il aurait signifié quelque chose de beaucoup plus profond. Mais à partir de la bouche de ces hommes, il semble, comme l’écho de ce qui était passé entre eux sur ce passage mémorable sur le lac. Ils aussi doivent avoir se mêlaient dans la conversation, que le bateau avait poussé hors de la côte sur la veille au soir, quand ils parla du miracle de l’alimentation et lors de la tentative populaire de proclamer lui roi messianique, dont ils ne connaissaient pas encore l’issue , car ils avaient été « contraints d’entrer dans le bateau, » tandis que le capitaine est resté derrière. Ils parlent de tout ce qui il était et avait fait et comment les diables très avaient proclamé qu’il soit le « fils de Dieu, » sur l’autre rive, à proximité où le miracle de l’alimentation avait eu lieu. Peut-être, après avoir été quelque peu chassés de leur cours, peut avoir passé près de l’endroit, et, comme ils ont souligné, il rappelle l’incident. Et cette appellation de « Fils de Dieu », avec le culte qui a suivi, viendrait beaucoup plus facilement, car avec une signification beaucoup plus superficielle, pour les bateliers qu’aux disciples. Mais en eux, d’ailleurs, la pensée était frappant racine profonde ; et actuellement, par le Mont de la Transfiguration, serait il être parlé au nom de tous de Peter, pas comme démon - ni comme homme-enseigné, mais comme l’a enseigné de père qui du Christ est dans les cieux.
Encore une autre question suggère lui-même. Les événements de la nuit ne sont pas enregistrés par St. Luke - peut-être parce qu’ils n’entraient pas dans sa vue-plan général de cette vie ; peut-être par révérence, car ni lui, ni son maître Saint Paul, ont été au sein de ce cercle intime, à laquelle les événements de cette nuit étaient liées plutôt dans la façon de convaincre que le contraire. En tout cas, critique voire négative ne peut légitimement tirer une conclusion défavorable, au vu de son bilan, non seulement par deux de la Synoptists, mais dans le quatrième Évangile. Aussi, Saint-Marc ne mentionne pas l’incident concernant Saint Pierre ; et cela que nous pouvons facilement comprendre de son lien avec cet apôtre. Les deux oculaires, Saint-Jean et St. Matthew, l’ancien est également muet sur cet incident. Tout point de vue de l’auteur du quatrième Évangile, il aurait pas pu de l’ignorance, soit de sa présence, ou encore de son record de St. Matthew. Il a été parmi ceux « beaucoup d’autres choses que fit Jésus, » qui ont été écrits pas par lui, étant donné que leur chronique complète aurait rendu un Évangile-croquis impossible ? Ou il se situent en dehors de cette conception particulière de son Évangile, qui, en ce qui concerne ses détails, déterminé l’insertion ou bien l’omission de certains incidents ? Ou y avait-il une raison de cette omission liée à la relation spéciale de Jean à Pierre ? Et, enfin, pourquoi était Saint Matthieu en l’occurrence plus détaillé que les autres et il dit seul avec ce circonstancialité ? Est-ce qu’il avait fait une telle impression profonde sur son propre esprit ; il avait en quelque sorte un lien personnel avec elle ; ou il se sentait, comme si cet appel d’offres de pierre à venir au Christ hors du navire et sur l’eau certains avait fermer analogie interne avec son propre appel à quitter le Bureau de douane et de suivre le Christ ? Ces et d’autres des suggestions qui peuvent survenir ne peuvent être placées sous la forme de questions. Leur réponse vous attend le matin et l’autre rive.
LA FIN DU PREMIER VOLUME.
NOTES EXPLICATIVES ET DES CORRECTIONS POUR LE PREMIER VOLUME
Page 7, note 1 : c'est-à-dire l’esprit de l’un a été réglée comme des hommes, celui des autres déstabilisé en tant que femmes.
Page 12, note 2 : « Déité » = « Shekhinah. »
Page 35, note 3 : voir Zunz, Gottesd. Vortr. p. 323, note b.
Page 97, note 1. Bien sûr, il s’agit et inférence de toute l’histoire de la relation il indiqué.
Page 174, note 1, ligne 7, lire : « Hath dit-il, et il ne peut il ? » étant la citation de Numb. XXIII. 19, qui se veut une réponse à la prétention. Le rendu du passage par le savant Schwab Dr est intenable.
Page 268, note 3 : la citation est tirée la citation unmutilated et sublime telle qu’elle figure dans R. Martini Pugio Fidei, éd. Carpzov. p. 782. Page 271(k). C’est l’avis de la bière, Leben ABR p. 88.
Page 292 : pour « tentations » lire « tentation ». Les dix tentations d’Abraham sont visées à l’AB. P. 3 et énumérées AB. de R. N. 33 et El Pirque de R. 26. Page 312h. Bien sûr, c’est l’expression d’un rabbin plus tard, mais il se réfère à des interprétations pharisaïques.
Page 358c. Si Lightfoot déduit du passage ; mais comme le rabbin qui parle est etymologising et presque punning, l’inférence doit peut-être pas être pressée.
Page 384, note 1 : en Vayy. R. 30, l’expression fait référence à la condition différente d’Israël après l’époque décrite dans Osée iii. 4, ou dans celle d’Ézéchias, ou à la délivrance de Mardochée. Dans Bemid. R. 11, l’expression est liée à leur récolte des prosélytes dans l’accomplissement de Genèse xii. 2.
Page 387, lignes 17 et 18. Sur ce sujet, cependant, d’autres avis sont aussi divertir. COMP. Sukk. 5 une.
Page 443, que le prêtre coupable du péché ouvert, les détails, qui je me suis abstenu de donner, sont mentionnés dans Duschak, Jud. Kultus, p. 270.
Page 444, note 3. Ceci, bien sûr, en ce qui concerne un prêtre ignorant. Voir la discussion dans Duschak, 255 p. US.
Page 447(c). Ber. 6 b. C’était probablement pour beaucoup le seul motif de récompense, car le discours était le Pirqa, ou sur la halakha. IB.(e) Taan. 16 r : bien que la remarque se réfère au leader ot les dévotions jours de jeûne, il est également appliqué au prédicateur par Duschak, p. 285.
Page 505, note 3, voir correction de p. 174, note (US).
Page 514, note 2 : dans Taan. 20 a l’histoire du miracle est froid qui lui donna le nom de Nicodème.
Page 536(g). Je me réfère à l’action de grâces de Nechunyah. Voir aussi la prière mettre dans la bouche de Moïse, Ber. 32 a. Et bien que ces prières comme Ber. 16 b, 17 a, sont sublimes, elles sont, à mon avis, ne pas d’être comparé à celui du Christ dans sa plénitude et de la largeur.
Page 539 c. Sanh. 100 b n’est, bien sûr, pas mot à mot rédigé. Ce serait dans la deuxième phrase : « Éventuellement le lendemain, il ne sera pas et ont été trouvés qui prennent soin d’un monde qui n’est pas un. »
Page 557b, lire dans le texte : la formule commune aux enterrements en Palestine était, « Pleurer avec lui, » & c.
Page 597, note, ligne 9 du bas : pour « notre », « leur » et pour « nous » lire « eux ».
Page 620, la ligne 4 du bas, « La robe de la femme, » & c., lire « Les vêtements », le sens étant que dans l’alternative entre sauver la vie de l’ignorant et vêtements de la femme des savants (si elle n’avait aucuns vêtements), ce dernier est plus important.
Page 622, de marge, de supprimer la seconde ' en.
Livre III
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L’ASCENSION :
DE LA RIVIÈRE DU JOURDAIN À LA MONTURE DE
TRANSFIGURATION - suite