CHAPITRE XXVIII.
L’HISTOIRE DE
JEAN-BAPTISTE, SON DERNIER
TÉMOIGNAGE À JÉSUS DE SA
DÉCAPITATION À LA PRISON
(
1. St. John iii. 25-30.
2. St.
Matt. IX.
14-17;
St.
Mark ii. 18-22; Saint-
Luc, c. 33-39. 3. St.
Matt. XI.
2-14;
St.
Luke vii. 18-35. 4. St.
Matt. XIV.
1-12;
St. Mark vi. 14-29 ; St.
Luke ix. 7-9.)
Tandis que les apôtres
allèrent par deux et deux
lors de leur première
Mission,3111
3111
Jésus
lui-même a enseigné et
prêché dans les villes
autour de Capharnaüm.
3112
3112
Cette
période d’activité non
perturbée semble cependant
avoir été de courte durée.
3113
3113
Qu’il
était parfaitement réussie,
nous en déduire non
seulement des avis directs,3114
3114
mais
également de la circonstance
que, pour la première fois,
l’attention d’Hérode Antipas
est maintenant appelé la
personne de Jésus. Nous
supposons que, pendant les
neuf ou dix mois du Christ
Ministère galiléen, le
tétrarque résidait dans ses
domaines de Paraean (à l’est
du Jourdain), Julias ou à
Machærus, dans laquelle
cette dernière forteresse
Baptiste fut décapité. On en
déduit, que les travaux des
apôtres avaient également
étendu jusqu’ici, car ils
attirent l’attention
d’Hérode. L’enthousiasme
populaire causée par
l’exécution de
Jean-Baptiste, l’activité
miraculeuse des messagers du
Christ, dont John avait
annoncé, attirerait
naturellement intérêt plus
large, tandis qu’Antipas
aurait, sous l’influence de
la peur et la superstition,
donner une plus grande
attention à eux. Nous
pouvons difficilement se
tromper en pensant, que ce
qui représente l’arrêt
soudain de la passion des
apôtres et leur retour à
Jésus. En tout cas,
l’arrivée des disciples de
Jean, avec la bonne nouvelle
de la mort de leur maître et
le retour des apôtres,
semblent avoir été
contemporains.
3115
3115
Enfin, nous conjecturons,
qu’il était parmi les
motivations qui ont
influencé la suppression du
Christ et ses apôtres de
Capharnaüm. Temporairement
de retirer lui-même et ses
disciples de Hérode, pour
leur donner une saison de
repos et autres préparation
après l’excitation de ces
dernières semaines et pour
éviter d’être impliqué dans
les mouvements populaires
qui en résulte sur le
meurtre de Jean-Baptiste -
tel on peut permets d’a
indiqué que parmi les
raisons du départ de Jésus
et ses disciples, d’abord
dans les dominions du
tétrarque Philippe, sur la
rive orientale du lac,3116
3116
et
après cela « dans les
frontières de Tyr et de
Sidon. »
3117
3117
Ainsi le sort de
Jean-Baptiste était, comme
aurait pu s’attendre,
décisif dans son influence
sur l’histoire du Christ et
de son Royaume. Mais nous
avons encore à tracer les
incidents dans la vie de
John, autant enregistré dans
les Évangiles, de l’époque
de son dernier contact avec
Jésus à son exécution.
1.
il est3118
3118
à la
fin du printemps, ou plutôt
début de l’été de l’an 27 de
notre ère, que Jean
baptisait dans AON, près de
Salim. Dans le quartier,
Jésus et ses disciples
étaient engagés de la même
façon.
3119
3119
La
présence et l’activité de
Jésus à Jérusalem à la Pâque3120
3120
avait
déterminé le pharisaïque
partie à prendre des mesures
actives contre lui et son
prédécesseur, John. Quant au
premier résultat de ce plan,
on remarque les discussions
sur la question de
« purification » et la
tentative de séparer entre
le Christ et le Baptiste en
excitant la jalousie de ce
dernier.
3121
3121
Mais le résultat était bien
différent. Ses disciples
pourraient avoir été
influencées, mais John
lui-même était un homme trop
vrai et trop profondément
convaincu de la réalité de
la Mission du Christ, à
céder un instant à cette
tentation. Rien de plus
noble peut se concevoir que
l’abnégation de
Jean-Baptiste dans des
circonstances qui seraient
non seulement sont détournés
un imposteur ou un
passionné, mais doit ont
jugé sévèrement la constance
de l’homme vrai. À la fin
d’une carrière plus
éprouvante de l’abnégation
constante que ses maigres
fruits semblaient, en
quelque sorte, arraché de
lui et la multitude, dont il
avait jusqu’ici se
balançaient, tourné après
l’autre, qui lui-même avait
tout d’abord donné
témoignage, mais qui a
jamais depuis eu apparemment
négligé de lui. Et
maintenant il a apparemment
ouvert l’un insigne
distinctif de sa
prédication ! Ne pas se
révolter, ni à murmurer,
mais même pour se réjouir de
ce que la chose juste et
appropriée, pour laquelle il
avait tant attendu comme la
fin de son propre travail -
ceci implique une pureté, la
simplicité et la grandeur du
but, et une force de
conviction inégalée chez les
hommes. La hauteur morale de
ce témoignage de Jean et la
force probante de
l’introduction de ce récit -
totalement irresponsable,
nay, inintelligible sur
l’hypothèse qu’il n’est pas
vrai - nous semblent parmi
les plus fortes preuves en
faveur de l’histoire de
l’Évangile.
Il
n’était pas la grandeur du
Christ, à sa propre semblant
perte qui pourrait en nuage
de midi des condamnations de
Baptiste. En simple
illustration de Judæan, il
était seulement « l’ami de
l’époux » (le «Shoshebheyna»),
avec tout ce que populaire
association ou supérieur
juif allégorie liées à cette
relation.
3122
3122
Il ne
prétendit pas la mariée. Son
fut une autre joie - que
d’entendre la voix de son
époux légitime, dont
« garçon d’honneur » qu’il
était. Le son de cette voix
est, l’accomplissement de
ses fonctions. Et
Saint-Jean, regardant en
arrière sur la relation
entre le Baptiste et Jésus -
sur la réception du
témoignage de l’ancien et la
position unique de
« l’époux » - rappelle les
leçons de la réponse de
Jean-Baptiste à ses
disciples (St.
John iii. 31 à 36
3123
3123
)
comme autrefois ceux de la
conversation avec Nicodème.
3124
3124
Cette heure de l’humiliation
apparente de Jean-Baptiste
était, en vérité, celui de
la plus haute exaltation,
comme marquant
l’accomplissement de ses
fonctions et, par
conséquent, de sa joie.
Heures de nuage et
d’obscurité devaient suivre.
2.
la scène a changé, et
Jean-Baptiste est devenu
prisonnier d’Hérode Antipas.
Nous avons adopté les
dominions de ce dernier,
dans le Nord : Galilée,
Ouest du
Jourdain et du lac de
Galilée ; et dans le Sud :
Peræa, est de
la Jordanie. Pour réaliser
événements, nous devons
garder à le l'esprit que,
traversant le lac vers
l’est, nous devrions passer
de possessions d’Hérode à
ceux du tétrarque Philippe,
ou bien venir sur le
territoire de la « Dix
villes », ou la Décapole,
une sorte de Confédération,
des cantons, avec
Constitution et des
libertés, telles que celles
des villes grecques.
3125
3125
Par
un vers le nord de la bande
étroite, Peræa a juste
glissé entre la Décapole et
la Samarie. Il est
impossible avec certitude à
localiser l’AON, près de
Salim, où John baptisé.
Ancienne tradition placé ce
dernier à quelques miles au
sud de Scythopolis ou
Bethshean, aux confins de la
Galilée, ou plutôt, la
Décapole et Samarie. Mais
comme la partie orientale de
la Samarie vers la Jordanie
était très étroite, on peut
bien croire que l’endroit
est proche, peut-être en
fait, l’angle nord-est de la
province de Judée, où elle
confine à Samarie. Nous
sommes maintenant sur la
rive occidentale du
Jourdain. L’autre, ou
orientale, rive de la
rivière serait cette étroite
bande du Nord de Peræa, qui
faisait partie de la
territoire d’Antipas. Donc
quelques miles, ou la simple
traversée du fleuve, aurait
apporté le Baptiste dans
Peræa. Il ne peut y avoir
aucun doute mais que
Jean-Baptiste doit soit
avoir traversé, sinon
qu’AON, près de Salim, a été
effectivement dans les
dominions d’Hérode.
3126
3126
C’est
à cette occasion qu’Hérode
saisi sur sa personne,3127
3127
et
que Jésus, qui était encore
en territoire Judæan, retiré
les intrigues des Pharisiens
et de la proximité d’Hérode,
par le biais de Samarie, en
Galilée.
3128
3128
Car, bien que Galilée a
appartenu à Hérode Antipas,
c’était suffisamment loin de
la résidence actuelle du
tétrarque dans Peræa.
Tiberias, sa résidence
Galilée, avec son magnifique
palais royal, n’avait été
construite un an ou deux
avant ;
3129
3129
et il
est impossible de supposer,
qu’Hérode n'aurait pas plus
tôt entendu de la gloire de
Jésus,3130
3130
Si la
Cour avait été à Tibériade,
dans le voisinage immédiat
de Capharnaüm. Nous sommes,
par conséquent, enfermés à
la conclusion, qu’au cours
des neuf ou dix mois du
ministère de Christ en
Galilée, le tétrarque réside
dans Peræa. Ici, il a eu
deux palais, un à Julias, ou
Livias, l’autre à Machærus.
Ce dernier sera
immédiatement décrite comme
le lieu de l’emprisonnement
de Jean-Baptiste et le
martyre. Le Julias, ou
Livias, de Peræa doit être
distinguée d’une autre ville
du même nom (aussi appelée
Bethsaïda) dans le nord-est
(du Jourdain) et dans les
dominions du tétrarque
Philippe. Le Julias de Peræa
représenté l' ancienne
Beth Haram
dans la tribu de Gad,3131
3131
un
nom dont Flavius Josèphe
donne3132
3132
Betharamphthaet
les rabbins Beth
Ramthah.
3133
3133
3134
3134
Il subsiste
encore dans le Beit-harân
moderne. Mais de la
forteresse et le Palais de
Hérode avait construit et
nommé d’après l’impératrice,
« all that remains » sont
« quelques traces des murs
et des fondations. »
3135
3135
En
supposant Antipas d’avoir
été à le Peræan Julias, il
aurait été à proximité plus
proche sur les lieux de
travail enregistré dernière
du Baptiste à énon. Nous
comprenons maintenant, non
seulement comment John est
emprisonné par Antipas, mais
également les motivations
triple qui a influencé l’il.
Selon Flavius Josèphe,3136
3136
le
tétrarque a peur que son
influence absolue sur le
peuple, qui semble disposé à
réaliser tout ce qu’il a
conseillé, pourrait conduire
à une rébellion. Cette
circonstance est également
indiquée dans le commentaire
de Saint Matthieu,3137
3137
qu’Hérode avait peur de
mettre le Baptiste à mort en
raison de l’opinion du
peuple de lui. Sur d’autre
part, la déclaration
d’évangélique,3138
3138
qu’Hérode avait emprisonné
John en raison de son
déclarant son mariage avec
Hérodiade illégale, n’est
nullement incompatible avec
la raison attribuée par
Flavius Josèphe. Non
seulement pourraient les
deux motifs ont influencé
Hérode, mais il y a un lien
évident entre eux. Pour,
déclaration ouverte de John
de l’illégalité du mariage
d’Hérode, car à la
différence des incestueux et
adultère, compte tenu de
l’influence que le Baptiste
a exercé, facilement pu
produire une rébellion. Dans
notre point de vue, le texte
sacré donne indication
d’encore une troisième cause
qui a conduit à
l’emprisonnement de John et
qui en effet, peut avoir
donné poids final aux deux
autres motifs de l’hostilité
à son encontre. Il a été
suggéré, qu’Hérode doit ont
été attaché aux Sadducéens,
si à n’importe quel
religieux parti, car un tel
homme ne serait pas avoir
connecté lui-même avec les
pharisiens. Le raisonnement
est singulièrement peu
concluant. Pour des raisons
politiques, un Hérode aurait
guère ont prêté son poids
aux Sadducéens ou
parti-prêtre aristocratique
à Jérusalem ; certain temps,
religieusement, seulement
trop de cas sont sur compte
rendu de ce que le Talmud
lui-même appelle « peindre
ceux, qui sont comme les
pharisiens, et qui agissent
comme Zimri, mais attendre
la récompense de Phinéas. »
3139
3139
En
outre, les pharisiens
peuvent ont utilisé Antipas
comme leur outil et a
travaillé sur son misérable
superstition d’effectuer
leurs propres fins. Et c’est
ce que nous supposons que
d’avoir été le cas. La
référence à l’espionnage
pharisaïque et à leurs
comparaisons entre
l’influence de Jésus et
Jean,3140
3140
qui a
conduit au retrait du Christ
en Galilée, semble impliquer
que les pharisiens avaient
quelque chose à voir avec
l’emprisonnement de Jean.
Leur lien avec Hérode
apparaît encore plus
clairement dans le but de
provoquer le départ du
Christ de Galilée, sous
prétexte de machinations
d’Hérode. On se souviendra
que le Seigneur a démasqué
leur hypocrisie en leur
offrant à retourner vers
Hérode, montrant qu’il
savait parfaitement que réel
danger menacé, non pas le
tétrarque, mais des
dirigeants du parti à
Jérusalem.
3141
3141
Notre conclusion est donc,
que l’intrigue pharisaïque
avait une part très
importante en donnant effet
à la crainte d’Hérode de
Jean-Baptiste et de ses
reproches.
3.
nous supposons donc que
Hérode Antipas était à
Julias, dans le voisinage
immédiat d’Aon, au moment de
l’emprisonnement de John.
Mais, selon Flavius Josèphe,
dont le témoignage il y a
aucune raison à la question,
Baptiste s’est engagé à la
forteresse de Machærus.
3142
3142
3143
3143
Si
mettre la Julias où le Wady
de la Heshban débouche dans
le Jourdain, à l’est de ce
fleuve et un peu au nord de
la mer morte, Machærus est
droite au sud, sur deux et
une moitié heures au
nord-ouest de l’ancienne
Kiriathaim
(le Kurêiyât moderne), le
site de Ch victoire
d’edorlaomer.
3144
3144
Machærus (le moderne
M'Khaur)
marqués à l’extrême point
sud, Pella que du Nord, en
Peræa. Comme la forteresse
de frontière dans le sud-est
(vers Arabia), sa sécurité a
été la plus grande
importance, et tout a été
fait pour faire un endroit,
extrêmement fortement par
nature, inexpugnable. Il
avait été construit par
Alexander Jannæus, mais
détruit par Gabinius pendant
les guerres de Pompée.
3145
3145
Il a
été non seulement restauré,
mais considérablement
élargie, par Hérode le
grand, qui l’entourée avec
les meilleures défenses
connus à l’époque. En effet,
Hérode le grand construit
une ville le long de
l’épaule de la colline et il
entouré de murs, fortifiés
par tours. De cette ville
une hauteur plus loin devait
être gravi, sur lequel le
château était entouré de
murs et flanquée de tours
cent soixante coudées de
hauteur. Dans les Enclosures
du château Hérode a
construit un palais
magnifique. Un grand nombre
de citernes, des entrepôts
et arsenaux, contenant
toutes les armes d’attaque
ou de défense, avait été
fourni pour permettre à la
garnison de se tenir un long
siège. Flavius
Josèphe décrit même sa
position naturelle comme
inattaquables. Le point
culminant du fort était à
l’Ouest, où il avait l’air
pure vers le bas dans une
vallée. Nord et sud du fort
a été également coupée par
des vallées, qui ne
pouvaient pas être remplies
à des fins de siège. À l’est
il y avait, en effet, une
vallée cent coudées de
profondes, mais qu’il a
terminé dans une montagne en
face de Machærus. C’était
évidemment le point faible
de la situation.
3146
3146
Un
voyageur tardif et très
digne de confiance3147
3147
a
prononcé la description de
Josephus3148
3148
comme suffisamment précis,
bien qu’exagéré et
probablement ne pas provient
de l’observation
personnelle. Il a également
fourni des détails
picturaux, que nous pouvons
transporter nous-mêmes à ce
donjon rocheux du Baptiste,
peut-être plus vivement que,
en nous promenant sur le
vaste champ de pierres,
retroussé fondations, et
cassé des murs autour, nous
semblons Découvre la scène
dans le coucher de soleil
lugubre du jugement. « Une
ligne robuste de pierres
équarries pointant vers le
haut » montre que le vieux
romain ouvert route de
Machærus. Ruines couvrant
tout un mile carré, sur un
groupe de collines
ondoyantes, marquent
l’emplacement de l’ancienne
ville de Machærus. Bien
qu’entouré d’un mur et les
tours, sa position est censé
ne pas ont été
stratégiquement défendable.
Seulement une masse de
ruines ici, avec des traces
d’un temple au Dieu-soleil
syrien, fragmentés citernes
et branlante tout autour.
Traversant une vallée
étroite et profonde, environ
un mille de large, la
remontée vers l’ancienne
forteresse sur une colline
conique. Au total, il
couvrait une crête de plus
de mille. La clé de la
position était une citadelle
à l’extrême est de la
forteresse. Il occupait le
sommet du cône, était isolée
et presque imprenable, mais
très petite. Nous
reviendrons pour l’examiner.
Pendant ce temps, descendre
une pente raide environ 150
yards vers l’Ouest, nous
atteignons le plateau plat
oblong qui formaient la
forteresse, contenant du
magnifique palais d’Hérode.
Ici, soigneusement
recueillis, s’entassent les
pierres dont la Citadelle a
été construite. Ces immenses
tas ressemblent à un
monument terrible du
jugement.
Nous passons parmi les
ruines. Aucune trace du
Palais royal n’est à gauche,
sauf les fondations et les
pierres énormes retroussé.
Tout à fait à la fin de
cette forteresse longue dans
l’Ouest et en regardant vers
le sud, est un fort carré.
Nous revenons, à travers ce
que nous considérons comme
les ruines du magnifique
château-palais d’Hérode, à
la partie plus haute et la
plus forte des défenses - le
donjon de l’est ou de la
citadelle, sur la pente
raide 150 yards vers le
haut. Les fondations des
murs tout autour, à la
hauteur d’un yard ou deux
au-dessus du sol, sont
encore debout. Comme nous
grimper dessus pour examiner
l’intérieur, on remarque
comment petit ce donjon
est : exactement 100 yards
de diamètre. Il y a presque
pas restes de gauche. Un
puits de grande profondeur
et une profonde citerne
cimentée avec la voûte du
toit toujours complet et -
d’intérêt plus terrible nous
- deux donjons, l’un d’eux
profonde bas, ses côtés
peine cassées, "avec de
petits trous encore visibles
dans la maçonnerie où
agrafes de bois un fer d une
fois avait été fixé ! »
Comme nous regardons vers le
bas dans son obscurité
chaude, nous frissonner en
se rendant compte que cette
terrible donjon avait
presque dix mois, depuis la
prison de ce fils du libre
« désert, » the herald
"BOLD" du Royaume à venir,
l’humble, sincère, autonome
qui refus Jean le Baptiste.
C’est l’homme dont le
témoignage sur le Christ
peut être traité comme un
mensonge ?
Nous retirons notre regard
d’essayer pour percer cette
morosité et d’appeler en lui
la figure du prédicateur
chameau-cheveux-plaqués et
cuir-girt et regarder
par-dessus les ruines à la
scène autour. Nous nous
trouvons sur une hauteur
minimale de 3 800 pieds
au-dessus de la mer morte.
En ligne droite, il ne
semble pas plus de quatre ou
cinq milles ; et la route
qui descend vers elle mène,
en quelque sorte, par une
série d’étapes et de
corniches. Nous pouvons voir
toute l’étendue de cette mer
de jugement et de ses
rivages occidentaux du Nord
au sud. On peut presque
imaginer le Baptiste, tel
qu’il est levé cette
perspective noble. Loin vers
le sud s’étend la nature
sauvage de Judée, délimitée
par les collines de Hébron.
Ici se niche à Bethléem,
Jérusalem. Ou, en tournant
une autre façon et à la
recherche dans la fente
profonde de la vallée du
Jourdain : cette oasis de
beauté est de Jéricho ;
derrière elle, comme un fil
d’argent, Jordan serpente à
travers un pays brûlé,
désolation-à la recherche,
jusqu'à ce qu’il est perdu à
afficher dans la brume qui
se trouve sur le bord de
l’horizon. Le œil du
Baptiste traversa ce, il
pouvait suivre toutes les
scènes de sa vie et de la
passion, de la maison de son
enfance dans le pays de
colline de Judée, à ces
nombreuses années de
solitude et de communier
avec Dieu dans le désert,
puis à la première place de
son prea Ching et baptême,
et partir à celui où il
avait enfin parlé du Christ,
juste avant sa propre
captivité. Et maintenant le
cachot profond dans la
Citadelle d’un côté et,
d’autre part, vers le bas de
cette pente, le luxueux
Palais d’Hérode et sa femme
adultère, meurtrière, tandis
que les cris des
réjouissances sauvages et de
gaieté ivre autour !
Etait-ce le Royaume qu’il
était venu d’annoncer aussi
près à portée de main ; pour
lequel il avait ardemment,
prié, peiné, souffert, a
totalement nié lui-même et
tout ce qui fait la vie
agréable, et le matin rose
dont il avait salué avec des
hymnes de louange ? Où était
le Christ ? Il était le
Christ ? Ce qu’il faisait ?
Il a manger et boire tout ça
alors qu’avec les publicains
et les pécheurs, quand il,
Baptiste, souffrait pour
lui ? Etait-il en sa
personne et le travail donc
tout à fait différent de
lui-même ? et pourquoi
était-il donc ? Et la brume
chaude et la brume se
rassemblent aussi sur ce fil
d’argent dans le sillon
profond de branlante de
brûlé-up stérile d’Israël ?
4.
dans ces conditions, nous
nous demandons peine aux
sentiments des disciples de
Jean, comme mois de cette
captivité fatiguée passé.
Pas certain à quoi
m’attendre, ils semblent
avoir oscillé entre Machærus
et Capharnaüm. Tout espoir
dans l’apologie et la
délivrance de leur maître
réside dans les possibilités
impliquées dans l’annonce
qu’il avait fait de Jésus
comme le Christ. Et c’est à
lui que le doigt de leur
maître avait constaté leur.
En effet, certains des
premiers et les plus intimes
des disciples de Jésus
étaient venu de leurs
rangs ; et, comme eux-mêmes
avaient fait remarquer, la
multitude avait tourné vers
Jésus avant même que
l’emprisonnement de
Jean-Baptiste.
3149
3149
Et
pourtant, il pourrait être
le Christ ? Combien de
choses à son sujet, qui
étaient étranges et semble
inexplicable ! À leur avis,
il y avait un terrible
contraste entre lui qui
gisaient dans le donjon de
Machærus, et celui qui s’est
assis pour manger et boire à
une fête des publicains.
Sa réception des publicains
et des pécheurs, ils
pourraient comprendre ; leur
propre maître n’avait pas
rejeté leur. Mais pourquoi
manger et boire avec eux ?
Pourquoi se régalant et cela
à une époque où le jeûne et
la prière auraient semblé
spécialement approprié ? Et,
en effet, ne convenait ne
pas de jeûne toujours ? Et
encore ce nouveau Messie
n'avait pas enseigné ses
disciples soit rapide ou ce
qu’il faut prier ! Les
pharisiens, leur anxiété à
séparer entre Jésus et son
précurseur, doivent avoir
leur a dit tout ce encore et
encore et a souligné le
contraste.
En
tout cas, c’est à
l’instigation des Pharisiens
et avec eux,3150
3150
que
les disciples de Jean
proposé à Jésus cette
question sur le jeûne et la
prière, immédiatement après
la fête dans la maison de le
converti Levi-Matthieu.
3151
3151
Nous
devons garder à l’esprit que
le jeûne et la prière, ou
bien de jeûne et l’aumône ou
tous les trois, ont été
toujours combinées. Le jeûne
représente le négatif, la
prière et l’aumône l’élément
positif, le pardon des
péchés. Jeûne, comme
l’auto-punition et la
mortification, éviter la
colère de Dieu et de
calamités. Des instances
plus extraordinaires des
buts en vue dans le jeûne et
les résultats obtenus sont
racontées dans la légende
juive, qui (comme se
souviendra) est même allé
jusqu'à relation comment un
saint juif était ainsi rendu
la preuve contre le feu de
la Géhenne, dont un réaliste
démonstration a été donnée
lorsque son corps a été
rendu une preuve contre le
feu ordinaire.
3152
3152
Même en dehors de ces
extravagances,3153
3153
Rabbinism a donné un aspect
tout à fait extérieur au
jeûne. Dans ce il développé
uniquement à ses
conséquences plus grande une
théologie contre lequel les
prophètes de l’ancien
avaient déjà protesté.
Peut-être, cependant, les
Juifs ne sont pas solitaires
dans leur idée fausse et de
la perversion du jeûne.
Selon eux, c’était le moyen
readiest du tournant de côté
toute calamité menaçante,
tels que la sécheresse,
peste ou danger national.
Ce, ex opere
operato: parce que le
jeûne était autopunition et
la mortification, non pas
parce qu’un jeûne signifiait
deuil (pour le péché, non
pour sa punition) et donc
indiqué humiliation,
reconnaissance du péché et
de repentance. Les deuxième
et cinquième jours de la
semaine (lundi et jeudi)3154
3154
sont
ceux nommés pour les jeûnes
publics, parce que Moïse
devait aller vers le haut de
la monture pour les secondes
Tables de la loi un jeudi et
sont rentrés le lundi.
L’introspection autonome de
pharisaïsme conduit beaucoup
de jeûner ces deux jours
toute l’année,3155
3155
juste
comme dans le Temple pas un
peu offrirait offrande
quotidienne pour les péchés
dont ils étaient ignorants.
Puis, il y avait ces minutiæ
douloureux d’externalisme,
comme ceux qui régna sur
comment, sur un jeûne
strict, une personne peut
laver et oindre ; lors d’un
jeûne strict, il était
interdit même de saluer les
uns les autres.
3156
3156
3157
3157
Il
peut bien avoir été, que
c’était sur un de ces jeûnes
hebdomadaires que la fête de
Levi-Matthieu a eu lieu, et
que cela explique
l’expression : « et les
disciples de Jean et les
pharisiens jeûnaient.
3158
3158
3159
3159
Cela donnerait point à leur
plainte,' « tes disciples ne
rapidement pas. » Un regard
en arrière sur le point de
vue d'où ils considéraient
le jeûne, il est facile de
percevoir pourquoi Jésus ne
pourrait pas avoir
sanctionné, même pas toléré,
la pratique parmi ses
disciples, aussi peu que
Saint Paul pouvait tolérer
parmi les Judaising
Christians la, en soi
indifférente, pratique de la
circoncision. Mais il
n’était pas si facile
d’expliquer cela au moment
des disciples de Jean. Car,
pour le comprendre,
implicite à déjà toute
transformation de l’ancien à
l’esprit nouveau. Encore
plus difficile il a dû faire
en manière telle, que dans
le même temps de définir les
principes qui gouverneraient
toutes questions similaires
pour tous les âges. Mais
notre Seigneur a fait les
deux et même ainsi prouvé sa
Mission Divine.
Les
derniers témoignages de
Jean-Baptiste pointait à
Christ comme le « fiancé ».
3160
3160
Comme
l’a expliqué dans un
précédent chapitre, John
cela appliquées d’une
manière qui fait appel à une
coutume populaire. Comme il
a fait remarquer, la
présence de Jésus a marqué
la semaine de mariage. Par
consentement universel et
selon la loi rabbinique, ce
devait être un moment de
fête non mélangé.
3161
3161
Même
dans le jour des Expiations,
une mariée a été autorisée à
se détendre parmi les
ordonnances de ce jeûne
strict.
3162
3162
Au
cours de la semaine de
mariage que deuil tous
devait être suspendu - même
l’obligation de la prière
quotidienne prescrite a
cessé. Il était considéré
comme un devoir religieux
pour réjouir la mariée et le
marié. Il ne dérogeait,
ensuite, la part des
disciples de Jean d’attendre
« les fils de la
mariée-chambre » de jeûner,
aussi longtemps que l’Epoux
est avec eux ?
Cet
appel du Christ est encore
illustré par l’ordonnance
talmudique3163
3163
qui
absous « les amis de
l’Epoux, » et tous « les
fils de la mariée-chambre, »
même de l’obligation
d’habiter dans des tentes (à
la fête des Tabernacles).
L’expression, « fils de la
mariée-chambre » ({hébreu}),
qui signifie tous les
invités de marque, a le plus
d’importance, quand on se
souvient que
l’Alliance-union entre Dieu
et Israël a été non
seulement par rapport à un
mariage, mais le Tabernacle
et le Temple désigné comme '
la les chambres nuptiales. »
3164
3164
3165
3165
Et,
comme l’institution de
« amis de l’Epoux » régnait
en Judée, mais
pas en Galilée, cela a
marqué la distinction des
« amis de l’Epoux, »3166
3166
dans l’embouchure de la
Judæan John et « fils de la
mariée-chambre » dans celle
du galiléen Jésus, est
lui-même preuve d’exactitude
historique, aussi bien à
partir de la paternité de
Judæan du quatrième
Évangile.
Mais il laisse ne pas penser
que ce devait être un moment
de joie ininterrompue aux
disciples de Jésus. Non, les
idées des disciples de Jean
concernant le Royaume
messianique, comme une
irrésistible victoire vers
l’extérieur et affirmation
du pouvoir, étaient tout à
fait tort. L’époux serait
violemment prélevé sur eux
et puis serait le temps de
jeûne et de deuil. Sans que
cela implique nécessairement
un jeûne littérale, tout
plus qu’il ne l’exclut,
autant les grands principes,
mieux indiquées
immédiatement par la suite,
vont à l’encontre de
l’esprit de la joyeuse
liberté des enfants de Dieu.
C’est seulement un sens du
péché et l’absence de feutre
du Christ, qui devrait
conduire à deuil et le
jeûne, mais pas dans l’ordre
afin d’éviter la colère de
Dieu ou calamité vers
l’extérieur. Sans compter
que la force probante de ce
point de vue hautement
spirituel et complètement
non juive du jeûne, on
constate généralement
quelques autres points dans
la confirmation de son et de
l’histoire de l’Évangile.
Dans l’hypothèse d’une
invention juive de
l’histoire de l’Évangile, ou
de son embellissement juive,
l’introduction de ce récit
serait incompréhensible.
Encore une fois, sur la
théorie d’une différence
fondamentale entre
l’apostolique
d’enseignement, Saint
Matthieu et Saint Marc, qui
représente l’original
judaïque, St. Luke le libre
développement de Pauline,
l’existence de ce récit dans
les deux premiers évangiles
semble inexplicable. Ou,
pour prendre un autre avis -
sur l’hypothèse de la plus
tardive et non-Judæan
(Éphèse) auteur du quatrième
Évangile, la touche minute
archéologiques et le montage
général des mots de la
Baptist3167
3167
dans le présent récit serait
inexplicable. Enfin, contre
tous les deniers et les
détracteurs de la Mission
Divine de Jésus, cette
anticipation précoce de son
expulsion violente par la
mort et du deuil qui en
découle de l’église, prouve
qu’il est venu pas à lui de
sans, que par l’accident
d’événements, mais qu’à
partir de la Depuis, il
attend la fin et poursuit ce
but ensemble, inébranlable.
Encore un autre point en
évidence nous vient de
l’Éternel et non Juifs
principes implicitement dans
les deux illustrations,
d’ici que le Christ fait
usage.
3168
3168
En
vérité, enseignement du
Seigneur est maintenant
porté jusqu'à ses principes
ultimes. Les légères
variations qui ici se
produisent dans l’Évangile
de Saint Luc, comme, en
effet, il en existe dans
beaucoup des récits des
mêmes événements par
différents évangélistes, ne
devraient pas être
« expliquées. » Pour, le
critique sain devrait jamais
concevoir une explication
dans un souci d’une
difficulté supposée, mais
sincèrement étudier le texte
- comme interprète, pas un
apologiste. Ces variations
de détail ne présentent
aucune difficulté. Contre un
accord non spirituel
purement mécanique, ils
fournira des preuves des
témoins véridiques,
indépendant et la preuve
irréfragable que,
contrairement à la critique
négative moderne et trois
récits ne sont pas des
recensions simplement
différentes d’un même
original document.
En
général, les illustrations
de deux employées - celui du
morceau de tissu déshabillé
(ou, selon St. Luc, un
morceau arraché un nouveau
vêtement) cousu sur le loyer
d’un vieil habit et que du
vin nouveau, les mettre dans
une vieilles outres - ne
doit pas être trop
étroitement enfoncée en
regar d à leur langue.
3169
3169
Ils
semblent principalement cela
signifie : vous demandez,
pourquoi avons-nous rapide
souvent, mais tes disciples
rapidement non ? Vous vous
trompez en pensant que le
vieil habit peut être
conservé, et simplement ses
loyers réparé par la tache
avec un morceau de nouveau
tissu. Sans parler de
l’incongruité, l’effet
serait seulement à aggraver
en fin de compte le loyer.
Le vieil habit ne supporte
pas les travaux de
réparation avec le « chiffon
déshabillé. » Christ n’était
pas simplement une réforme :
toutes choses doivent
devenir de nouveau. Ou,
encore, prendre l’autre vue
de celui-ci - comme le vieil
habit ne peut pas être
corrigé de la nouvelle,
alors, d’autre part, peut le
vin nouveau du Royaume pas
confiné dans les anciennes
formes. Elle aurait éclater
ces outres. L’esprit doit,
en effet, avoir sa forme
correspondante
d’expression ; mais cette
forme doit être adaptée et
correspondent à elle. Pas le
vieux avec un peu de la
nouvelle de la tenir
ensemble où il est louer ;
mais la nouvelle et pas dans
les vieilles outres, mais
sous une forme correspondant
à la substance. Tels sont
les deux principes final3170
3170
-l’une primaire adressée aux
Pharisiens, l’autre pour les
disciples de Jean, par
lequel l’enseignement
illustration concernant les
noces, avec son vêtement
nuptiale et les vins de
banquet, se fait bien
au-delà de la question
initiale des disciples de
Jean, et reçoit une demande
à tous les temps.
5.
nous sommes dans l’esprit de
la montagne de Dieu et
s’apprête à assister à la
rupture d’une terrible
tempête.
3171
3171
C’est
celle qui déracine les
grands arbres et déchire les
roches ; et tout ce que nous
allons regarder
solennellement, sincèrement,
comme avec la tête nue - ou,
comme Élie, avec visage
enveloppe dans le manteau.
Semaines ont passé, et les
disciples de Jean avaient
reviens et ont montré leur
maître de toutes ces choses.
Il résidait dans le donjon
de Machærus ; sa situation
inchangée - peut-être, plus
désespérée qu’avant. Pour,
Hérode était dans cet État
spirituellement plus
désespéré : il avait entendu
le Baptiste, et a été
beaucoup perplexe. Et encore
avoir entendu - mais
seulement entendu -
volontiers.
3172
3172
3173
3173
Il
s’agissait en aucun cas du
singulier et dont Felix,
envoyant souvent St. Paul,
au dont la prédication de la
justice, la tempérance et le
jugement à venir, il avait
tremblé, ne propose qu’un
des nombreux parallèles.
Que, lorsqu’il entend lui,
Hérode était « très
perplexe », nous pouvons
comprendre, puisqu’il
« craint lui, sachant qu’il
était un homme juste et
Saint, » et craignant donc
« entendu lui. » Mais cela
étant « très perplexe », il
toujours « entendit lui
volontiers, » constituait le
désespoir de son cas. Mais
le droit de Baptiste ? Il
constituait le cadre de son
appel divin à ne dénoncent
ne pas seulement, mais
Hérode apparemment
directement confronté sur
son mariage adultère ? Il
avait pas une tentative de
se lever la hache qui
semblait avoir le glissement
de l’emprise de lui, dont le
Baptiste avait espéré et a
déclaré qu’il serait poser à
la racine de
l’arborescence ?
Ces pensées peuvent avoir
été avec lui, car il a passé
de son cachot à l’auditoire
d’Hérode, et de telles
entrevues inutile dos à sa
profonde garder. Étrange que
cela puisse paraître, c’est,
peut-être, mieux pour le
Baptiste alors qu’il était
seul. Plus que ses disciples
honorés et l’aimait, et
véritablement zélé et jaloux
de lui, comme ils l’étaient,
qu’il était préférable
lorsqu’ils étaient absents.
Il y a des moments quand les
affection douleurs
uniquement, en forçant sur
l’incapacité de comprendre
notre avis et en ajoutant à
notre tristesse que de se
sentir notre plus profond
étant un étranger à ceux le
plus proche, et qui nous
aiment doit. Alors, en
effet, est un homme seul. Il
en est ainsi avec le
Baptiste. L’état d’esprit et
de l’expérience de ses
disciples avaient déjà paru,
même dans les avis légères
de ses disciples a déjà
paru, même dans les avis
légères qui les concernent.
En effet, ils avaient bien
compris lui et non clos où
il a commencé - qui, en
vérité, est la
caractéristique de toutes
les sectes, dans leur
cristallisation, ou, au
contraire, l’ossification de
la vérité - qu’ils ne
seraient pas restées ses
disciples ; et cette
conscience doit aussi avoir
apporté douleur exquise.
Leur affection même pour lui
et leur zèle pour son crédit
(comme indiqué dans la
langue presque grosse de
leur enquête : "Jean le
Baptiste a nous a envoyé
vers toi, disant : Art Thou
il qui vient, ou nous avons
chercher un autre ? »),
ainsi que leur ténacité
d’unprogressiveness - ont
été tous, pour ainsi dire,
des marques de son échec.
Et, s’il n’avait pas avec
eux, est-ce qu’il avait
réussi à quoi que ce soit ?
Et encore plus terribles et
autres questions est passé
dans ce cachot sombre. Comme
les serpents qui s’est
glissée hors de ses murs,
ils seraient dérouler et
élever leurs têtes avec un
sifflement horrible. Que se
passe-t-il si, après tout,
il a été une terrible erreur
de sa part ? En tout cas, la
logique des événements était
contre lui. Il était
maintenant le prisonnier
rapide que Hérode, à qui il
avait parlé avec autorité ;
la puissance de cette femme
adultère "BOLD", Hérodias.
S’il s’agissait d’Elijah, le
Tishbite grand n’avait
jamais eu entre les mains
d’Achab et Jézabel. Et le
Messie, Elijah dont il
était, s’installe pas ;
pouvait pas, ou ne voulait
pas, se déplacer, mais s’est
régalé avec les publicains
et les pécheurs ! Tout cela
était une réalité ? ou - Ah,
pensé trop horrible pour
énonciation - aurait-on pu
un rêve, brillant mais
fugace, darwiniste de toute
réalité, que le reflet de sa
propre imagination ? Il doit
avoir été une heure terrible
et la puissance des
ténèbres. À la fin d’une
vie, et que telle abnégation
et les souffrances et avec
une conscience si vivante de
Dieu, qui eu - quand un
jeune - driven lui brûle
avec un zèle Saint dans le
désert, pour avoir une telle
question, rencontre avec lui
comme : Art Thou il , ou
nous attendre pour une
autre ? Je suis à droite, ou
dans l’erreur et d’autres
menant à l’erreur ? doit
avoir été vraiment terrible.
Pas de Paul, quand abandonné
de tous qu'il gisait dans le
donjon, le prisonnier âgé de
Christ ; pas de Huss,
lorsque seul à Constance, il
a rencontré l’ensemble du
Conseil catholique et les
flammes ; Lui seul, le
Dieu-homme, au-dessus dont
l’âme s’est glissée à la
mort-la froideur de grande
agonie quand, un par un,
toute la lumière de Dieu et
l’homme semble disparaître,
et seulement celui-là reste
brûlant - sa propre foi dans
le père, pourrait ont connu
amertume comme ça. Que
personne ose dire que la foi
de Jean n’a pas, au moins
jusqu'à ce que les eaux
sombres ont roulé vers le
haut de son âme. Car pour la
plupart tous et chacun de
nous doivent passer par
certains comme expérience ;
et seulement notre propre
cœur et Dieu sait, comment
la mort amers sont les
doutes, qu’ils soient de
tête ou de cœur, quelle
question après pose de
question, comme avec le
diabolique sifflements, sa
tête et terre et le ciel
semblent silencieux comme
nous.
Mais ici, il faut pour un
moment de silence nous
demander ce qui touche la
question de toutes les
questions : Certes, un tel
homme comme ce Baptiste,
donc complètement désabusé
en cette heure, n’aurait pas
pu être un imposteur et son
témoignage au Christ un
mensonge ? Ni encore le
record, ce qui nous donne
cet aperçu de la faiblesse
de l’homme fort et les
doutes du grand
témoignage-porteur, pourrait
être une fable habilement
inventées. Nous ne pouvons
imaginer l’enregistrement
d’une telle défaillance, si
le récit était une
invention. Et si cet
enregistrement est vrai,
c’est non seulement de
l’insuffisance actuelle,
mais aussi du témoignage
antérieur de John. Nous, au
moins, la force probante de
ce récit semble
irrésistible. Le témoignage
de Jean-Baptiste à Jésus
offre le même genre de
témoignage comme celui de
l’âme humaine à Dieu : dans
les deux cas, l’un points à
l’autre et ne peut être
comprise sans elle.
Dans ce terrible conflit
John surmonté, comme nous
l’avons tous doivent
surmonter. Son désespoir
même ouvert la porte de
l’espoir. Le doute
impuissant, qu’aucun ne
pouvait régler sauf un, il a
apporté à lui autour duquel
il s’étaient rassemblés.
Même dans ce rien pour le
Christ, comme immuablement
réel. Quand John a posé la
question : nous attendre
pour une autre ? lumière
avait déjà du mal à travers
l’obscurité. Ce fut une
victoire naissante même dans
la défaite. Quand il a
envoyé ses disciples avec
cette question directement à
Christ, il avait déjà
conquis ; pour une telle
question adressée à un
éventuellement faux Messie
n’a aucune signification. Et
donc doit jamais être avec
nous. Le doute est le
rejeton de notre maladie,
malade, comme c’est sa
paternité. Et encore il ne
peut pas être mis de côté.
Il peut être le résultat des
pires, ou les problèmes des
meilleures âmes. Le
crépuscule peut s’estomper
en extérieur nuit, ou il
peut ouvrir la voie à la
journée. La réponse réside
en ceci : si doute va nous
conduire à
Christ, ou du
Christ.
Ainsi vu, la question :
« Es-tu le One à venir, ou
nous attendre pour une
autre ? », a indiqué foi en
la grande promesse et en lui
à qui elle était adressée.
La désignation « The Coming
One » (habba),
si une expression plus
véridique de l’espérance
juive, n’était pas celui
habituellement utilisé du
Messie. Mais il était
invariablement utilisé en
référence à l’âge
Messianique, comme le
Athid labho,
ou le futur à venir
(littéralement, le prêt pour
à venir) et le
Olam habba, le monde à
venir ou l’Æon.
3174
3174
Mais ensuite
il impliquait la fixation
droite de toutes choses par
le Messie, l’Assomption et
la justification de sa
puissance. Dans la bouche de
John il pourrait donc
signifier principalement
ceci : Art Thou celui qui
consiste à établir le
Royaume messianique dans sa
puissance vers l’extérieur,
ou avons-nous à attendre
encore ? Dans ce cas, la
manière dont le Seigneur a
répondu il serait encore
plus significatif. Les
messagers sont venus tout
comme il a été engagé dans
la guérison des corps et
âme.
3175
3175
3176
3176
Sans
interrompre son travail, ou
sinon remarquant leur
enquête, il leur ordonna
dire John pour réponse
qu’ils avaient vu et entendu
et que "les pauvres,3177
3177
sont évangélisa. » À cela,
comme la plus
caractéristique du Royaume
messianique, seulement
ajoute-t-il, pas par le
biais de reproche ni même
d’avertissement, mais comme
une nouvelle "béatitude :'"
Béni soit celui, quiconque
ne doit pas être scandalisé
à Maine. ' à la foi, mais
seulement à la foi, c’est la
plus satisfaisante et ch.
dépassait de réponse à
l’enquête de John. Et un tel
spectacle de travail
distinctif du Christ et la
parole, avec croyance de
soumission à l’humilité de
l’Évangile, est la seule
vraie réponse à nos
questions, qu’ils soient de
tête ou de cœur.
Mais un dicton plus
difficile que de ce fait le
Seigneur parle au milieu de
la forthpouring de son
témoignage à Jean, quand ses
messagers avaient laissé. On
fait les auditeurs au-delà
de leur horizon actuel.
Plusieurs faits de l’espèce
se distinguent en bonne
place. Tout d’abord, il à
Jean qui avait eus
auparavant témoignage,
maintenant alésage à lui ;
et que, pas à l’heure où
John avait témoigné pour
lui, mais lors de son
témoignage avait vacillé et
presque impossible. C’est le
contraire de ce qu’on aurait
pu s’attendre, si le récit
avait été une fiction, alors
que c’est exactement ce que
nous pourrions attendre si
le récit est vrai. Ensuite,
nous marquons que le
témoignage du Christ est
devenu un point de vue plus
élevé. Et c’est une
justification complète ainsi
qu’éloge sans réserve,
parlée, pas comme dans son
audition, mais après que ses
messagers - qui avaient
rencontré un accueil
apparemment froid - départ.
Les gens n’étaient pas
grossièrement à mal
interpréter l’âme
profonde-agonie, qui avait
publié dans l’enquête de
John. Il n’était pas le
résultat d’une inconstance
qui, tel le roseau secoué
tout vent, a été déplacé par
l’opinion populaire. N’était
pas le résultat de la peur
des conséquences
corporelles, comme celui qui
faire dorloter la chair peut
divertir. Laissez-les
regarder en arrière à
l’époque où, en milliers,
ils s’étaient rendus dans le
désert pour entendre sa
prédication. Ce qui avait
attiré eux là ? C’était
sûrement, qu’il était tout
le contraire d’un influencés
par l’opinion populaire,
« un roseau agité par le
vent. » Et quand ils étaient
venus pour lui, ce
qu’avaient il vu ?
3178
3178
Sûrement, sa robe et la
nourriture prouve le
contraire de choyer ou soin
du corps, comme ils ont vu
dans les courtisans d’un
Hérode. Mais ce qu’ils
s’attendait, qu’ils ne
voyaient pas vraiment : un
prophète et bien plus qu’un
simple prophète, le héraut
de Dieu et façon du
préparateur du Messie.
3179
3179
Et
encore - et c’était vraiment
un dicton dur et totalement
non-judaïque - c’était ni
renoncement à soi-même, ni
poste, non, ne même pas
celui de l’Élie de Nouveau
Testament, qui constituaient
la grandeur réelle, comme
Jésus vu, juste comme la
plus proche relation ne
constituée pas vraie parenté
avec Lui. Pour ceux qui
cherchent l’honneur qui
n’est ne pas de conférer de
l’homme, mais de Dieu, pour
être un peu un dans le
Royaume de Dieu était plus
grande grandeur que même le
Baptiste.
Mais, malgré tout, qu’il n’y
a pas d’erreur. Par la suite
sous le nom Saint-Paul a
soutenu avec les Juifs, que
leur orgueil dans la loi
n’ont augmenté leur
culpabilité comme briseurs
de la Loi, voici donc notre
Seigneur. Le populaire Hall
à et l’estime du, Baptiste,3180
3180
3181
3181
n’implique pas que la
réception spirituelle qui
était dû à sa Mission.
3182
3182
Il
seulement mis en évidence,
en plus marqué contraste, la
différence de largeur vers
l’intérieur entre
l’espérance du peuple dans
son ensemble et la réalité
spirituelle présentée à eux
dans le précurseur du Messie
et le Messie lui-même.
3183
3183
Qu’ils ne soyez ne pas
trompés par la foule qu’il a
soumis pour le baptême de
Jean. Entre le moment où
John a commencé à prêcher le
Royaume, obstacles de toutes
sortes avaient été
soulevées. Pour y remédier
et entrer dans le Royaume,
il nécessaire, en quelque
sorte, la violence comme ça
pour entrer dans une ville
qui était entourée par une
armée ennemie.
3184
3184
Même
par admission juive,3185
3185
la
Loi « et tous les prophètes
ont prophétisé seulement des
jours du Messie ».
3186
3186
John, alors, était le
dernier maillon ; et, s’ils
seraient mais l’ont reçu, il
aurait été pour eux l’Élie,
le restaurateur de toutes
choses. Selah - « celui qui
a des oreilles, qu’il
entende. »
Non, mais il n’en était pas
ainsi. Les enfants de cette
génération devraient tout à
fait un autre Élie et tout à
fait un autre Christ et
n’ont pas cru et s’est
plaint, car le véritable
Élie et Christ ne
satisfaisait pas leurs
pensées folles. Ils étaient
comme des enfants dans une
place de marché, qui
attendaient leurs compagnons
pour s’adapter sur les airs
qu’ils ont joué. C’était
comme si ils ont dit : nous
avons attendu la grande
gloire messianique et
exaltation nationale, et
vous n’avez pas répondu
("nous avons acheminé3187
3187
à
toi, et vous n’avez pas
dansé ») ; Nous avons
regardé pour la délivrance
de nos souffrances
nationales, et ils n’agite
pas vos sympathies ni
apporté votre aide (« nous
avons pleuré pour vous, et
vous ne déplorent pas »).
Mais vous avez pensé du
temps messianique comme des
enfants et nous, comme si
nous étions vos compagnons
et partagé vos pensées et
vos buts ! Et alors quand
John est venu avec son
ascétisme sévère, vous vous
êtes senti qu’il n’était pas
l’un d'entre vous. Il était
dans un sens en dehors de
votre ligne de démarcation
et moi, l’ami des pécheurs,
dans l’autre sens. La hache
qui il porté vous serait ont
jeté à l’arbre du monde
païen, pas à celle d’Israël
et du péché ; l’accueil et
la bourse dont j’ai étendu,
vous aurait dû « le sage »
et « les justes », pas aux
pécheurs. C’est Israël dans
son ensemble. Et pourtant,
il y avait une élection
selon la grâce : les
violents, qui ont dû se
frayer un chemin à travers
tout cela, et qui a pris le
Royaume par la violence - et
la sagesse du ciel donc (en
opposition à la folie de
l’enfance) sont innocenté3188
3188
par
tous ses enfants.
3189
3189
Si
quelque chose était
nécessaire pour montrer
l’harmonie interne entre le
Synoptists et le quatrième
Évangile, il serait présent
appel final, qui rappelle
les autres mots : « il est
venu chez les siens (choses
ou des biens) et son propres
(gens, eux qui étaient les
siens) l’ont pas reçu. Mais
comme beaucoup reçu de lui,
leur a donné puissance
(droite, autorité) de
devenir enfants de Dieu, qui
sont nés (fils), pas... de
la volonté de l’homme, mais
de Dieu. »
3190
3190
6.
la scène change une fois de
plus, et nous sommes de
nouveau à Machærus.
3191
3191
Semaines se sont écoulées
depuis le retour des
messagers de John. Nous ne
pouvons douter que la
lumière du soleil de la foi
est à nouveau tombé dans le
donjon sombre, ni encore que
la paix de conviction
reposante a rempli le martyr
du Christ. Il doit avoir su
que sa fin était à portée de
main et prêt à être offert.
Ces conversations pas rares,
dans lequel le tyran faible,
superstitieux, wicked était
« perplexe » et encore
« entendu lui volontiers, »
n’est plus pourraient avoir
inspiré que même passage
espoirs de liberté. Ni il
plus attendez d’affirmations
Messie du pouvoir en son
nom. Il comprenait
maintenant « que pour lequel
il était venu ; » il
connaissait le mieux la
liberté, triomphe et
victoire qu’il a apporté. Et
ce qui importait ce ? Sa
vie-travail a été accompli
et il n’y avait rien de plus
qui est tombé à lui ou qu’il
pouvait faire, et Las
serviteur du Seigneur doit
avoir tant attendu pour son
repos.
C’était au début du
printemps, peu avant la
Pâque, l’anniversaire de la
mort d’Hérode le grand et de
l’adhésion de (son fils),
Hérode Antipas à la
tétrarchie.
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Un
ajustement temps ceci pour
un festin de Balthazar, une
telle personne comme Hérode
se réunissaient pour un
grand banquet « ses
seigneurs, » et les
autorités militaires et les
hommes chef de Galilée.
C’est le soir, et le
château-palais est
brillamment éclairé. Le
bruit de la musique et les
cris de réjouissances
rencontré la pente dans la
citadelle et tombe dans le
cachot profond où attend le
prisonnier du Christ. Et
maintenant la joie dans la
grande salle de banquet a
atteint sa plus grande
hauteur. Le roi n’a rien à
offrir ses invités
rassasiées, pas frais
d’excitation. Alors
laissez-le être la
stimulation sensuelle des
danses douteuses et, pour
terminer, que la danseuse
soit juste jeune fille de
l’épouse du roi, le très
descendante des
princes-prêtre Asmonæan !
Viler profondeur de
familiarité grossière même
un Hérode ne pourrait pas
sont descendus.
Elle est venue, et elle a
dansé, cette jeune fille
princière, parmi lesquels
tous les célibat et tous les
princeliness ont été brasés
par une mère dégénérée,
misérables descendants des
Maccabées une fois nobles.
Et elle a fait de son mieux
dans cette exposition
misérable et Hérode et qui
était assis à viande avec
lui le plaisir. Et
maintenant, au milieu des
acclamations générales, elle
aura sa récompense - et le
roi il jure à elle d’une
voix forte, que tout autour
de l’entendre - même à la
moitié de son Royaume. La
jeune fille vole hors de la
salle de banquet de demander
à sa mère ce qu’elle doit
être. Peut-il y avoir de
doute ou hésitation dans
l’esprit d’Hérodias ? S’il y
avait un objet qu’elle avait
dans l’âme, qui ces dix mois
qu’elle avait en vain
cherché à atteindre : c’est
la mort de Jean le Baptiste.
Elle s’en souvenait
seulement trop bien - son
passé houleux, téméraire. La
fille d’Aristobule, fils
infortuné de l’infortuné
Asmonæan princesse Mariamme
(I.), elle avait été mariée
à son demi-oncle Hérode
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le
fils d’Hérode le grand et de
Mariamme (II.), la fille du
grand-prêtre (Boëthos). En
même temps, il semblait
comme si Hérode Philippe
aurait été seul héritier des
dominions de son père. Mais
le vieux tyran avait changé
son testament, et Philip a
été laissé avec une grande
richesse, mais comme une
personne privée vivant à
Jérusalem. Cette situation
convenait peu d’ambition de
la femme. C’est lorsque son
demi-frère, Hérode Antipas,
est venu en visite à lui à
Jérusalem, qu’une intrigue
commence entre le tétrarque
et épouse de son frère. Il a
été convenu que, après le
retour d’Antipas de son
voyage imminent à Rome, il
répudie sa femme, la fille
d’Arétas, roi d’Arabie et
tue Herodias. Mais fille des
Arétas entendu parler de
l’intrigue, et après avoir
obtenu le consentement de
son mari pour aller à
Machærus, elle a fui là à
son père. Ceci, bien
entendu, a conduit à
l’inimitié entre Antipas et
Arétas. Néanmoins,
l’adultère mariage avec
Hérodiade suivi. En quelques
phrases l’histoire peut-être
être transportée à sa
résiliation. La femme s’est
avérée la malédiction et la
ruine d’Antipas. La première
fois le meurtre de
Jean-Baptiste, qui a envoyé
un frisson d’horreur à
travers les gens, et qui ont
été attribuées tous les
malheurs plus tard d’Hérode.
Puis a suivi une guerre avec
Arétas, dans lequel le
tétrarque a été peignée. Et,
enfin, ambition de sa femme
l’a amené à Rome pour
solliciter le titre de roi,
donné dernièrement à
Agrippa, le frère
d’Hérodias. Antipas non
seulement échoué, mais a été
privés de ses dominions et
bannis à Lyon en Gaule. La
fierté de la femme en
refusant les faveurs de
l’empereur et sa fidélité à
son mari dans sa fortune
tombée, sont les seuls
points rédemptrices dans son
histoire.
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En
ce qui concerne Salomé, elle
fut mariée à son oncle
Philippe le tétrarque. La
légende veut, que sa mort
était rétributive, soit par
suite d’une chute sur la
glace.
Telle était la femme qui a
eu ces nombreux mois
recherchées avec la
vengeance et la
détermination d’une Jézabel,
pour se débarrasser de la
personne détestée, qui seul
avait osé dénoncer
publiquement son péché, et
dont les propos tenu son
mari faible en respect.
L’occasion était maintenant
venu pour l’obtention de la
part du monarque vacillante
que ses prières pourraient
jamais avoir obtenu. Comme
le dit l’Evangile,
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« incité » par sa mère, la
demoiselle ne hésite pas.
Nous pouvons facilement
remplir l’image de ce qui a
suivi l’indiqué. Il
suffirait de suggestion
chuchotée de la mère, et
encore vidées de sa danse,
Salomé a réintégré la salle
de banquet. « Avec hâte, »
comme si aucun temps ne
devait être perdue, elle
monta au roi : « Je voudrais
que tu immédiatement me
donner dans un chargeur, la
tête de Jean le Baptiste ! »
Silence doit sont tombés sur
l’Assemblée. Même dans leurs
cœurs une telle demande de
la bouche du plus petit
qu’un enfant doit ont frappé
en horreur. Tous savaient
John d’être un homme juste
et Saint. Méchant comme ils
étaient, dans leur
superstition, sinon la
religiosité, sporadiques, si
un d’eux, seraient ont
volontiers prêté lui-même à
ces travaux. Et ils ont tous
su, aussi, pourquoi Salomé,
ou plutôt d’Hérodias, avait
fait cette demande. Hérode,
comment ? « Le roi a été
supérieur à Désolé. »
Pendant des mois, il avait
lutté contre cela. Sa
conscience, la peur du
peuple, l’horreur vers
l’intérieur à l’acte, tous
lui auraient gardé d’elle.
Mais il avait juré de la
jeune fille, qui maintenant
se tenait devant lui,
réclamant que le gage être
rachetées, et tous les yeux
dans l’assembly a été
maintenant fixé sur lui.
Infidèle à son Dieu, à sa
conscience, à la vérité et
la justice ; pas honte d’un
crime ou un péché, il serait
encore fidèle à son serment
de moitié-ivre et
apparaissent les honorables
et vrai avant ces
compagnons !
Il
a été mais le concours d’un
moment. « Aussitôt » le roi
donne l’ordre à l’un de la
garde du corps.
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La
jeune fille a retiré
d’attendre le résultat avec
sa mère. La garde a quitté
la salle de banquet. Dans la
nuit de printemps froid,
jusqu'à cette pente et dans
le cachot profond. Alors que
la porte s’ouvre, le bruit
de la débauche est livré
avec la lumière de la torche
qui porte l’homme. Pas le
temps de préparation est
donné, ni nécessaire. A
quelques minutes de plus et
le Gore chef de Baptiste est
portée à la jeune fille dans
un chargeur, et elle donne
le plat horrible à sa mère.
C’est fini ! Comme le flux
lumineux matin pâle dans le
donjon, les fidèles
disciples, qui avait été dit
de lui, venir avec révérence
à supporter le corps sans
tête à l’enterrement. Ils
vont viennent à jamais de
cet endroit maudit, qui est
si peu de temps pour devenir
une masse de ruines
informes. Ils vont lui dire
à Jésus et désormais de
rester avec lui. Nous
pouvons imaginer quel
Accueil les attendait. Mais
les gens toujours maudit le
tyran et cherché les
jugements de Dieu à suivre,
qui ont si peu de temps à
descendre sur lui. Et
lui-même était toujours
agité, misérable et pleine
d’appréhensions. Il pouvait
difficilement croire que
Baptiste était vraiment
mort, et quand la gloire de
Jésus atteint lui et ceux
qui l’entourent a suggéré
qu’il s’agissait d’Elijah,
un prophète, ou comme l’un
d'entre eux, esprit
d’Hérode, au milieu de ses
étranges perplexités,
revenue toujours à l’homme
qu’il avait assassiné
.
Il
s’agissait d’une inquiétude
nouvelle, peut-être, malgré
tout, un nouvel espoir ; et,
comme auparavant il avait
souvent et volontiers
entendu Baptiste, alors
maintenant il aurait fain vu
Jésus.
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Il
verrait lui ; mais pas
maintenant. Dans ce sombre
nuit de trahison, il, qui à
la demande de l’enfant d’une
femme adultère, avait
assassiné le Forerunner,
pourrait, avec l’ACCEPTATÎON
d’un Pilate, ont secouru
dont témoin fidèle John
avait été. Mais la nuit
était de fusionner en une
nuit encore plus sombre. Car
c’était le temps et la
puissance du malin. Et
encore : « Jéhovah règne. »