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l'archevêque Stepinac et d'autres hauts dignitaires catholiques qui
avaient participé au règne de la terreur de l'État catholique
devinrent le principal obstacle. Avec le temps, cependant,
l'indépendance de Tito, de la Russie soviétique, qui a été
encouragée par les Etats-Unis, a donné des résultats. Les Etats-
Unis ont fait pression sur le dictateur rouge pour qu'il se concilie
avec le Vatican. Un des préliminaires d'une telle démarche était
«d'oublier l'expérience croate». Quand une telle politique a été
acceptée, un nouvel ambassadeur a été nommé à Londres, en
même temps qu'un diplomate habile «spécial» du Vatican devenait
l'un des «invités principaux» de l'ambassade. Le même soir,
l'ambassadeur a demandé à l'auteur d'arrêter d'écrire sur la
Croatie. Immédiatement après il a été présenté à Mgr. Cardinale,
qui était à l'ambassade rouge en personne, en tant que
représentant officiel du pape.
Sur la photo, l'auteur s'adresse à l'ambassadeur lors de la
réception.
À cet effet, ils ont créé des cellules terroristes dans toute l'Europe,
en Australie, en Nouvelle-Zélande, au Canada et aux États-Unis.
En Australie, ils ont affronté la population locale et infligé de
graves dommages aux intérêts de la Yougoslavie communiste.
Pour rendre leur protestation plus efficace, ils ont fait exploser des
bureaux, des entreprises, des bureaux communistes ou libéraux.
Les bombes et les explosions sont devenues une caractéristique de
plus en plus récurrente de leur présence.