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Les moines et les frères étaient l'épine dorsale de la politique des
conversions forcées. Beaucoup ont participé à des actes de
terrorisme. Par exemple Simic Vjeckoslav, un moine du monastère
de Knin, qui a tué des dizaines d'orthodoxes de ses propres mains.
Sidoniie Solo, un autre moine du monastère franciscain de Nasice,
déporta la population orthodoxe de villages entiers. L'abbé du
monastère de Gunlic, le père G. Castimir, dirigea le massacre de
centaines d'orthodoxes à Glina.
Le père Dragutin Kamber, un jésuite, a ordonné le massacre de
300 orthodoxes à Doboj et du conseil de guerre de 250 autres,
dont la plupart ont été abattus.
Le père Srecko Peric, du monastère de Gorica, en août 1941,
incitait personnellement le massacre de plus de 5 600 orthodoxes
dans le district de Livno.
Les frères étaient des officiers oustachi. Autres Commandants des
camps de concentration. Au-dessus, Ante Pavelic lors d'une de ses
visites périodiques aux monastères franciscains.