LA SUFFISANCE DE LA GRÂCE
Par Jean leDuc Juillet 2020
UNE CARACTÉRISTIQUE DE MISÉRICORDE
LA PUISSANCE DANS LA FAIBLESSE
LA GRÂCE DE L'ADOPTION EN JÉSUS-CHRIST
Ma grâce te suffit; car ma force s'accomplit dans la faiblesse. (2 Cor. 12:9; Bible Machaira 2020)
UNE CARACTÉRISTIQUE DE MISÉRICORDE Lorsqu'une chose est suffisante, cela signifie que rien d'autre est nécessaire. En fait, y ajouter quelque chose annulerait par ce fait même la suffisance et l'efficacité de cette chose. Ceci est de la pure logique rationnelle que tout homme intelligent devrait savoir. Néanmoins, la suffisance de la grâce n'est pas un concept intellectuel, ni un principe théologique, ni une théorie philosophique. La grâce, du mot Grec charis, signifie «faveur imméritée de la miséricorde du bon plaisir de l'Esprit des vivants» envers ceux qu'il a choisi d'avance avant la fondation du monde. Elle est une caractéristique divine sélective déterminée d'avance par l'Esprit des vivants dans son décret d'élection qui se rapporte aux élus seuls pour leur salut dans le sacrifice de la croix. Elle est ainsi une qualité de miséricorde et de bienfaisance dans le renoncement de l'Esprit des vivants, en vue de son offrande de Lui-même qui donne l'assurance d'une nouvelle vie en Christ, afin que ses élus participent à l'héritage de sa gloire éternelle. En d'autres mots, la grâce est l'assurance elle-même de Christ d'accomplir son ministère de délivrance en faveur de ses élus. Cette assurance est ainsi elle-même «la suffisance de la grâce» que Christ nous transmet gratuitement et sans aucune condition. Elle nous est attribuée comme étant la nôtre dans les mérites du sacrifice de la croix, et activée par la Sainte Présence de Christ en nous. Nous ne pouvons rien y contribuer ni rien y ajouter, elle est parfaite et complète, elle est entièrement suffisante pour notre salut et sanctification, notre conversion, notre justification, notre adoption, notre transformation et notre glorification. Elle est entièrement de Christ selon le bon plaisir de sa volonté et pour la gloire de son Nom. Ainsi nous dit l'apôtre Paul: «Car par grâce vous êtes sauvés en raison de cette assurance de Christ; et cela est l'offrande de L’ESPRIT DES VIVANTS et donc pas de vous-même.» (Éph. 2:8; Bible Machaira 2020). Sur ces choses l'apôtre Jean avait dit: «Car L’ESPRIT DES VIVANTS s’est tant résigné pour cette disposition de la loi, qu'il s'est donné lui-même comme seul Fils engendré, afin que ceux qui ont cette assurance de lui ne périssent point, mais qu'ils possèdent la vie éternelle. (Jean 3:16).
Quoi de plus pouvons-nous avoir, car nous avons tout en Christ. Mais ceux du christianisme contrefait moderne sont mécontents, cela n'est pas suffisant pour eux, ils en veulent plus. Leur cœur est un gouffre sans fond qui crie: donne-moi encore davantage, ce n'est pas assez, ajoute en surcroît ce qui plaît à nos désirs, selon notre compréhension afin que nous puissions faire de plus grandes choses que Christ. Ils sont assoiffés de pouvoir et de gloire personnelle. Ainsi ils interprètent Jean 14:12 à leur façon pour justifier les aberrations de leurs dérèglements extravagants de puissances surnaturelles. Mais ce n'est pas le sens des paroles de Jésus lorsqu'il dit: «En vérité, en vérité je vous dis, celui qui croit en moi, fera les œuvres que je fais, et il en fera même de plus grandes que celles-ci, parce que je m'en vais à mon Père.» Ici le mot «grandes» dans le Grec est meizon et il signifie «plus large, plus vaste», c'est à dire «d'une plus grande étendue». Il est clair ici que Jésus parle du ministère des apôtres dans leur proclamation de l'Évangile à toutes les nations. Mais inutile de dire cette vérité aux sectes dites évangéliques, surtout aux pentecôtistes et aux charismatiques, car ils veulent la puissance de marcher sur les murs et sur les plafonds. Mais lorsqu'ils auront retenu leur souffle pour trois jours et demi nous en reparlerons.
Puisque la grâce est entièrement suffisante, nous n'avons donc plus aucun besoin d'églises, de pasteurs, et de leurs sacrements ou ordonnances idolâtres, ni leurs séminaires de formation par manipulation. Christ est suffisant pour nous et sa Parole inspirée est suffisante pour nous instruire par sa Sainte Présence qui nous habite, et nous devons lui faire confiance pour toutes choses, car il est le Maître absolu de notre vie. L'ambition d'en vouloir plus est la voie de la perdition. Si la suffisance de la grâce n'est pas assez pour une personne dite chrétienne, elle n'est pas chrétienne et l'Esprit de Christ n'habite pas en elle. Elle est une réprouvée et sa foi est vaine, n'étant qu'une contrefaçon. Sans l'assurance de la suffisance de la grâce, il n'y a pas de salut possible, sauf l'attente d'un jugement terrible.
LA PUISSANCE DANS LA FAIBLESSE On ne peut marcher dans la suffisance de la grâce sans réaliser les faiblesses de la chair au niveau des épreuves et des afflictions. Ces choses sont même nécessaires pour la purification de notre foi (1 Pierre 1:6,7), elles font partie de notre formation pour la réalisation de l'intention suprême. Le but est de nous enlever toute confiance que nous pourrions avoir en nous-même. En d'autres mots, il faut être abaissé dans la poussière de l'humilité pour faire confiance à Christ pour toutes choses. L'être humain a des tendances naturelles de faire confiance en lui-même, à ses efforts, ses capacités, ses connaissances, ses choix personnels, sa force, sa productivité, ses exploits, et ses habilités. Il est ainsi porté à répondre à tous ses besoins par lui-même et pour lui-même, ne réalisant pas que sa nature humaine est complètement déchue et entièrement corrompue. Cela est la réalité de la vie pour tous les païens et pour tous les chrétiens. Il y a néanmoins une distinction importante, le païen n'a pas l'Esprit de Christ, tandis que le chrétien authentique a la Sainte Présence de Christ qui demeure en lui. En ce qui concerne les faux chrétiens des sectes dites évangéliques, ils doivent être considérés pire que des païens, mais comme des ennemis de la croix de Christ et des adversaires du renoncement de l'Esprit des vivants en faveur de ses élus seuls.
L'enseignement de l'apôtre Paul dans 2 Cor. 12:9 nous indique que la puissance du Seigneur Jésus agie seulement dans la faiblesse du chrétien authentique en qui sa Sainte Présence demeure. Il s'agit d'un Esprit de courage et d'humilité qui nous porte à reconnaître nos faiblesses dans le combat pour la foi et la vérité. Il nous faut tous apprendre à ne pas faire confiance en nous même, surtout dans ce domaine crucial. On voudrait peut-être agir par nos propres moyens dans la résistance contre les ennemis, mais se serait complètement l'échec, puisque nous agirions contraire à ce que demande le Seigneur. Nous avons peut-être la volonté mais non la puissance de nous opposer à la chair qui nous pousse à agir naturellement. Jésus avait dit à ses disciples: «l'esprit est voulant, mais la chair est faible.» (Mat. 26:41). Cette vérité essentielle doit être réalisé pleinement dans la vie du chrétien.
L'apôtre Paul était un homme mature dans la foi, il reçut des visions et des révélations sublimes, mais il fallut qu'il traverse lui aussi cette phase de formation pour devenir un solide soldat de Christ qui ne craignait aucun homme. S'il put combattre contre les nombreux ennemis de la foi, et endurer les épreuves et les persécutions, c'est qu'il s'appuyait solidement sur la suffisance de la grâce de la Sainte Présence de Christ en lui. Il nous donna ainsi un exemple de courage et d'humilité à suivre, traçant le chemin de la foi réelle pour toutes les générations et pour tous les élus. L'auteur de ce document connaît la puissance de la grâce dans la faiblesse, ne pouvant plus voir clairement dû à une maladie et une opération dans ses yeux. Néanmoins, même dans la faiblesse de ses yeux, la Sainte Présence de Christ en lui surmonte cette infirmité d'une vision double et toute embrouillée, pour qu'il puisse écrire des documents comme celui que vous lisez présentement. Rien n'est impossible à l'Esprit des vivants pour l'accomplissement de ses dessins et la gloire de son Nom. Il fait ce qu'il veut dans les cieux et sur la terre, car il a créé toutes choses et il en est le Maître absolu.
Mais les andouilles du christianisme contrefait moderne des sectes dites évangéliques, s'imaginent autrement. Ils pensent que l'ambition, la présomption, et la gloriole sont des vertus, lorsqu'elles sont plutôt des verrues du corps malade de cette mouvance infernale. Ce n'est plus la suffisance de la grâce, mais la suffisance de soi sur laquelle ils s'appuient pour combattre, non pour la vérité mais contre la vérité. Lorsqu'ils font face aux épreuves de la vie, ils deviennent comme des enfants pleurnichards mécontents qui se lamentent à leur papa céleste imaginaire. Ils croient que le dieu qu'ils ont créé à leur image dans les délires de leur psychose va venir à leur secours sur les nuées des cieux, lançant des éclairs sur ceux qui ont osés les contredire et les reprendre dans leurs folies. Pour eux la puissance du Seigneur n'agit pas dans leurs faiblesses, mais dans leur détermination d'avoir raison dans leurs opinions insensées qu'ils cherchent à imposer à tous, car leur Seigneur est Satan sous couverture chrétienne et biblique, et ils suivent les instructions de leur père (Jean 8:44).
Pour les évangéliques, comme nous avons vu personnellement chez la secte Baptiste de SEMBEQ du Québec, la grâce est considérée comme un don dans le sens d'un cadeau qu'une personne offre à une autre qui aurait le choix de l'accepter ou de le refuser. Ceci est l'enseignement du fondateur de la secte, le pasteur Jacques Alexanian que plusieurs ont nommé «le pape Baptiste». Il va presque sans dire que cette notion est basée sur l'hérésie de la doctrine du libre-choix, devenue l'idole de ce faux peuple de Dieu. Ce même pasteur infernal enseignait que nous sommes identifiés à la mort de Christ sur la croix, mais non à son sang; ce qui est la pire perversion de la vérité que nous n'avons jamais entendu de nos propres oreilles. En plus, ce pasteur manipulateur et arrogant enseigne que la Bible que nous avons entre nos mains, n'est pas inspirée, elle ne serait donc pas plus utile que le journal du coin pour nous instruire dans les choses de la vie de tous les jours. Si la Bible n'est pas inspirée elle n'aurait donc aucune puissance pour convertir les âmes, ni pour les instruire dans la vérité. Ainsi la parole du pasteur devient donc la seule autorité en matière de foi. Et ces gens osent s'appeler chrétiens, lorsqu'ils sont plutôt des crétins qui salissent le nom de Christ. Voilà la preuve que le nom de «chrétien» ne veut plus rien dire de nos jours, c'est devenu même une honte d'être appelé ainsi, car tous se disent chrétiens sans vraiment l'être. Il s'agit simplement de se dire chrétien pour être considéré comme tel; ou encore «je crois en Jésus-Christ» et cela suffit.
Sans aucun doute, ce réprouvé et imposteur est le pionnier du faux évangile au Québec. Tout s'explique lorsque nous savons qu'il est de race arménienne et de théologie arminienne. Les arméniens ont toujours été considérés comme des hérétiques depuis le 4e siècle, de même pour les arminiens ou disciples du libre-choix. Mais contrairement à cet énergumène et ses pantins, on ne peut séparer la mort de Christ de son sang, sans se séparer de la grâce du salut. Notre identification au sang de Christ est vitale pour la purification de nos péchés. Comme notre Substitut, Christ est mort sur la croix en versant son sang en notre faveur. Sans le sang du sacrifice il n'y a pas de pardon pour les péchés, et donc pas de salut possible. De même si la grâce est un cadeau qu'une personne peut accepter ou refuser, elle est une fausse grâce qui mène à la perdition éternelle. Nous vous assurons aussi que la Bible que vous avez entre vos mains et pleinement inspirée, dans la mesure que ses traductions sont fidèles aux originaux: le Texte Massorétique Hébreu pour l'Ancien Testament, et le Texte Reçu Grec pour le Nouveau Testament. Évidemment que la traduction des mots peut variée, du temps que le sens réel et le contexte sont respectés, car un mot porte souvent plusieurs nuances ou synonymes.
Or la grâce n'est pas un cadeau, elle est le renoncement de l'Esprit des vivants dans l'offrande de Lui-même dans le sacrifice de la croix, dans des souffrances et des douleurs horribles inexprimables pour le rachat des élus. Si cela est un cadeau pour les baptistes réprouvés, on peut s'imaginer le genre de cadeaux qu'ils donnent à leurs enfants. Ils leur offrent l'enfer sur un plateau d'or, garni de friandises et de petits gâteaux empoisonnés par leurs perversions et leurs abominations. Il est presque inimaginable de voir des gens qui se disent chrétiens, maintenir une telle doctrine de perversion. La pensée seule d'une telle abomination répugnante nous porte à vomir.
L'expression «don de la grâce» signifie littéralement «offrande de la grâce» car la grâce est un sacrifice sanglant. Elle ne s'accepte pas ni ne se rejette pas, elle est une décision irrévocable de l'esprit des vivants attribuée aux élus seulement en Jésus-Christ. Elle a été déterminée d'avance depuis avant la fondation du monde. Elle est le choix de l'Esprit des vivants selon le bon plaisir de sa volonté, et non de l'homme qui en perverti le sens. Nous vous conseillons donc de quitter les églises baptistes le plus vite que possible, qu'elles soient traditionnelles, libérales ou réformées, elles sont tous des nids de vipères qui veulent votre perdition. Attachez-vous à Christ seul, le Chef de notre foi et notre seul Pasteur. Tout le reste sont des fourbes qui vous exploitent à leur guise. Mais si vous n'avez pas la Sainte Présence de Christ en vous, vous êtes vraiment sans espérance. Si la suffisance de la grâce ne vous convient pas, vous êtes perdus pour l'éternité.
De nos jours, le mot «grâce» est presque désuet dans le langage courant. En fait, même dans les milieux dit chrétiens, surtout parmi les sectes dites Évangéliques, il n'est pas compris dans son sens original. Ce terme majestueux a été dérobé de son essence et attribué une autre signification qui valorise la dignité humaine, et non plus la Souveraineté de Dieu, notre Esprit des vivants et Souverain Suprême. La définition biblique est que la grâce est «une faveur imméritée» ou plus précisément «le l'offrande imméritée du renoncement de l'Esprit des vivants en Jésus-Christ». Elle implique les souffrances et la mort du Seigneur Jésus-Christ qui a versé son sang sur la croix. En d'autres mots, l'offrande c'est le sacrifie, et le sacrifice c'est l'offrande. Mais chez les Évangéliques, elle est soit un cadeau comme chez la rapace Baptiste; ou comme chez d'autres vermines du même acabit, «le don de soi». C'est à dire «l'obéissance, la contribution des désirs et des efforts dans une coopération avec Dieu pour le salut et la sanctification». Cette nouvelle désignation subversive de la grâce divine la définie comme étant «le pouvoir de l'obéissance» en ceux qui sont «zélés pour les bonnes œuvres», et qui sont «toujours à la recherche de nouvelles choses ou expériences qu'ils pourraient faire pour obéir encore plus aux commandements de Dieu». Cette perversion diabolique nous provient d'une église de maison dite évangélique qui enseigne aussi la perte du salut, selon un document du réprouvé et faux chrétien, Claude Lamontagne. Voici ce qu'ils disent sur la Grâce: «La grâce n'est pas la faveur non-méritée. Une telle notion ne se trouve nulle part dans la Bible; cela appartient à des livres qui commencent par «Il était une fois...». Dieu ne vous considère pas comme quelqu'un de spécial, vous êtes par nature une personne vile, corrompue et complètement désobéissante. La grâce est l'obéissance non-méritée... C'est pour cette raison que Jésus est la «source» de salut uniquement pour ceux qui abondent en obéissance par la puissance de cette grâce... Tout sermon, toute publication, tout commentaire ou tout ministère qui ne définit pas la grâce de cette façon ne peut pas prétendre prêcher la grâce de Dieu. Selon Dieu, la grâce équivaut à l'obéissance... Aucune autre sorte de grâce ne peut nous sauver de l'enfer... même si la miséricorde de Dieu couvre nos péchés, tous ceux qui foulent aux pieds le sang de Jésus en résistant à Sa grâce sont en danger de perdre non seulement la grâce, mais également la miséricorde».
Le faux évangile de l'obéissance que nous venons de voir, est le même que celui du salut par les œuvres de la loi, et le même que le salut par le choix de croire, le salut par les sentiments et le salut par les expériences, le salut par la tolérance et l'estime de soi. Si le salut réel pouvait se perdre, il n'y aurait absolument aucune assurance d'être sauvé, ni aucune certitude de la purification des péchés dans le sacrifice de la croix. L'Évangile serait ainsi une lettre morte sans aucune efficacité. Mais contrairement à ces mensonges d'hypocrites évangéliques qui déforment la glorieuse vérité de la grâce du salut, la Bible enseigne clairement que le salut est par la grâce de la foi (Éph. 2:8), et que la foi est une assurance (Héb. 11:1), c'est à dire une certitude absolue qui repose sur la promesse de Dieu, notre Esprit des vivants. Puisque le salut est de Dieu et non de l'homme, il ne peut se perdre. Il est clair que ces andouilles évangéliques sont des menteurs odieux et des faux chrétiens qui ont pour père le diable (Jean 8:44). La mouvance Évangélique est vraiment celle du peuple de Satan. Dire qu'un grand nombre de personnes fait confiance en de tels escrocs, dépasse les bornes de la logique. Ceux qui croient aux évangéliques, donnent l'évidence d'un sérieux dérèglement de conscience qu'aucun psychiatre ne peut redresser, ni même le faux Christ de leurs imaginations perfides.
Or tous bons dictionnaires définissent l'obéissance comme étant «une action, une soumission aveugle à des ordres reçues», et par définition lexicale «toute action est une œuvre, qu'elle soit physique ou cérébrale». Par une telle obéissance charnelle et mondaine, les évangéliques font de Dieu un Tyran cruel qui abuse de son autorité en exigeant notre servitude. En fait, de nos jours, le concept de servitude ou esclavage n'est pas toléré, puisqu'il cause une distinction entre les races et les religions, dans une société d'un multiculturalisme dysfonctionnelle sans aucun discernement historique, culturel ou biblique. Or il s'agit clairement ici avec «la grâce comme une obéissance» du salut par les œuvres et non plus du salut par la grâce, un salut présenté sous les aspects d'une grâce subversive très subtile et très raffinée, qui séduit facilement ceux qui sont en quête de valorisation. Il ne s'agit donc plus d'un salut par grâce mais d'un salut par disgrâce, ce qui est en réalité de la perdition. Ainsi les évangéliques sont vraiment sauvés, non de leurs péchés mais de la grâce et de la vérité dans un monde de duplicités.
La nouvelle désignation de la grâce des sectes dites Évangéliques est nulle autre que de la manipulation textuelle, conçue délibérément dans le but spécifique de déformer la vérité pour séduire les crédules et les ignorants. Dans le Grec, le mot «grâce» est «CHARIS» et le Dictionnaire Grec-Français de J. Planche (1843) nous dit que ce mot signifie «faveur, bienfait, bienveillance, service, reconnaissance, contentement, satisfaction» d'où nous avons aussi les mots «amour» et «sacrifice». Or jamais le mot «obéissance» vient en ligne de compte parmi toutes les nuances du mot «CHARIS». Étrange n'est-ce pas que les Évangéliques le déduisent de ce terme lorsqu'il n'y a absolument aucun rapport. D'après le «Vine's Expository Dictionary of New Testament Words», le mot «grâce» ou «CHARIS» signifie: «faveur, être rendu favorable, bienveillance, gratitude, remerciement». La Concordance de Strong (5485) nous dit que le mot «grâce» ou «CHARIS» signifie «faveur, gratitude, plaisir». Le célèbre Commentaire de Matthew Henri nous dit à propos de la grâce: «La grâce qui nous sauve est la faveur gratuite et imméritée de Dieu, il nous sauve non par les œuvres de la loi, mais par la foi en Jésus-Christ... la foi et le salut sont les deux des dons de Dieu.» Nous pourrions citer des Dictionnaires et des ouvrages de grands théologiens de réputation depuis des centaines d'années et en grand nombre, mais cela serait inutile car tous sans exception, définissent la grâce de Dieu comme «une faveur imméritée», et jamais comme «une obéissance imméritée». Cela dit quoi pour les Évangéliques si ce n'est qu'ils sont des menteurs, des hypocrites, et des faux docteurs qui déforment la vérité à leur guise pour se glorifier sur l'ignorance des crédules, et tous ces pharisiens modernes qui filtrent des mouches avalent le chameau.
Le comble de l'arrogance des réprouvés qui déforment la vérité sur la grâce, se voit dans les dires d'une personne mentalement détraquée du nom de Michelle d'Astier, nommée aussi la sorcière de la Vigerie et la reine des démons. Dans le but de discréditer la grâce souveraine du Dieu Tout-Puissant, cette vipère charismatique évangélique, d'une ignorance crasse et d'une arrogance infernale, utilisa le terme «hypergrâce» et lui donna une connotation négative. Or «Hyper» est un préfixe qui vient du grec, il signifie «supérieur» ou «au-dessus» et s'oppose au préfixe «Hypo» qui lui signifie «inférieur» ou «en-dessous». Il n'y a absolument aucun doute que la grâce du salut en Jésus-Christ est «supérieure» à la loi, autrement elle ne serait pas une grâce mais un salaire mérité. Il est ainsi évident qu'elle est «au-dessus» de tous nos efforts et nos choix, car autrement elle serait une œuvre et non plus une grâce. La grâce de Dieu provient de sa souveraineté absolue et il l'accorde uniquement à ceux qu'il a choisi de toute éternité: «Selon qu'il nous a élus au salut en lui avant la fondation du monde, afin que nous soyons saints et sans reproches devant lui dans la charité; Nous ayant prédestinés au salut pour être ses enfants adoptifs par le moyen de Jésus-Christ, d'après le bon plaisir de sa volonté; À la louange de la gloire de sa grâce, qu'il nous a gratuitement accordée en son Bien-aimé. En qui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon les richesses de sa grâce, Qu'il a répandue sur nous abondamment par toute sorte de sagesse et d'intelligence; Nous ayant fait connaître le mystère de sa volonté selon le dessein bienveillant qu'il avait auparavant résolu en lui-même...» (Éph. 1:4-9); «Je ferai miséricorde à celui à qui je ferai miséricorde, et j'aurai compassion de celui de qui j'aurai compassion. Cela ne vient donc ni de celui qui veut, ni de celui qui se presse; mais de Dieu qui fait miséricorde... Il fait donc miséricorde à qui il veut, et il endurcit celui qu'il veut.» (Rom. 9:15,16,18) L'hypergrâce est donc l'opposé de l'hypogrâce, c'est à dire que la grâce souveraine du salut est supérieure à la fausse grâce inférieure qui nécessite des efforts ou des œuvres pour se maintenir dans la foi. L'hypergrâce est basée sur la Souveraineté de Dieu, tandis que l'hypogrâce est basée sur la souveraineté de l'homme. Ainsi en utilisant le terme «hypergrâce» les réprouvés comme Michelle d'Astier et ses sbires affirment eux-mêmes de leur propre aveu qu'ils ont reçu une fausse grâce et qu'ils proclament un faux évangile, et cela est indéniable. Dans leur arrogance et leur ignorance ils se sont exposé eux-mêmes pour ce qu'ils sont, à savoir de faux chrétiens et des enfants du malin. Michelle d'Astier affirme même à plusieurs reprises que la grâce souveraine du salut, qu'elle nomme hypergrâce, est «un évangile apostat...», «ta théologie de l'hypergrâce que tu répands sans cesse sur les blogs chrétiens est EXÉCRABLE...», «fausses doctrines de l'hypergrâce...», «l'hypergrâce est l'évangile le plus apostat qui soit ! ... Cette doctrine vient directement de l'enfer ! ...», «évangile-fiction de l'illusion du salut», «évangile pernicieux de l'hypergrâce», «L'hypergrâce... EST UNE VÉRITÉ TRONQUÉE !», «cette déviance de l'hypergrâce», «la doctrine de l'hypergrâce est fausse est dangereuse».
Cette femme névrosée condamne, juge et s'est fait sa propre religion et ses codes au nom de Dieu et même plus... en le supplantant et manipulant les textes de la Bible. Elle s'est constitué une cour de gens ignorants qu'elle a fidélisés en les terrorisant à coups de condamnations au nom de Dieu et de méfiance d'un monde impur et corrompu. Son enseignement excrémentiel principal est que les chrétiens peuvent être possédés par des démons lorsqu'elle n'a aucune notion véritable en quoi cela consiste, et sa secte nauséabonde de bouffons se donne à toutes sortes d'extravagances, jusqu'à même exorciser des jeunes enfants et des nourrissons, violant ainsi leur conscience fragile. Mais de telles aberrations ne sont pas nouvelles au sein des mouvements Pentecôtistes et Charismatiques. Voici ce que dit «Les Assemblées de la Pentecôte du Canada» dans son «Questionnaire d'accréditation»: «Le salut ne s’est pas vraiment produit à moins que la personne ne soit baptisée d’eau et d’Esprit avec le signe initial du parler en langues... Le Saint-Esprit ne participe pas au salut... Personne ne sait vraiment s’il est sauvé avant le Jugement devant le grand trône blanc... Le maintien de notre salut dépend de la foi que nous continuons à mettre en Christ qui se manifeste par notre désir d’obéir à Dieu... Personne ne peut être absolument certain d’entrer au ciel... Une fois sanctifiée, une personne ne pèche plus... La sanctification est produite dans la vie du croyant par la dévotion aux bonnes œuvres.» Et ces gens osent dire qu'ils sont de vrais chrétiens. Rien n'est plus dégoûtant que de telles affirmations aberrantes qui déforment la vérité de la Parole de Dieu.
Le faux évangile que proclame Michelle d'Astier est le même que celui des Évangéliques que nous avons vu plus haut, sauf quelques petites variations. Voilà ses propres paroles sur le sujet: «Nous sommes PLEINEMENT COOPÉRANTS À NOTRE SALUT ET À NOTRE SANCTIFICATION», «le salut est gratuit, mais persévérer dans le salut est CONDITIONNEL, comme le salut lui-même d'ailleurs...», «la doctrine du "salut acquis une fois pour toutes" est tout aussi dangereuse et mortelle, voire plus, que l'hérésie de l'existence d'un purgatoire...», «L'apostasie actuelle consiste à croire que la grâce nous absout "automatiquement" de nos péchés quand nous avons reçu le pardon des péchés par notre foi dans le Seigneur Jésus Christ...», «si nous pensons que nous sommes affranchis de la loi du péché et de la mort, c'est vrai, MAIS UNIQUEMENT QUAND NOUS MARCHONS PAR L'ESPRIT DE DIEU, DANS L'OBÉISSANCE AU SEIGNEUR...», «la foi et la grâce sont démontrées par le fait que nous obéissons NATURELLEMENT à la loi», «la foi en Jésus-Christ conduit naturellement à obéir aux commandements de Dieu: c'est même le signe de la nouvelle naissance» (elle n'est pas arrivé encore au point de chier dans ses petites culottes comme signe qu'elle est un bébé en Christ, mais connaissant ses extravagances ça ne tardera pas, d'ailleurs déjà la puanteur de ses doctrines merdiques se fait sentir partout), «Répands-tu des fleuves de vie ou des fleuves de mort ? Fais-tu des choses semblables à celles que Jésus a faites? Chasses-tu les démons, guéris-tu les malades? .... CE SONT POURTANT LES SIGNES QUI ACCOMPAGNENT LA VÉRITABLE FOI BASÉE SUR LA SAINE DOCTRINE, C'EST À DIRE SUR LA MISE EN PRATIQUE DE TOUTES LES ÉCRITURES, DE L'ALPHA À L'OMÉGA (Jésus est l'Alpha et l'oméga)».
Il est souvent dit que Satan est le singe de Dieu parce qu'il pratique la parodie et l'énorme masse des incrédules se laisse berner. Tel est le cas de la vipère évangélique, Michelle d'Astier. Cette réprouvée se donne comme loisir à imiter, contrefaire, falsifier, déformer, et trahir la VÉRITÉ, et ainsi fait croire que l'apparent est le réel. Chacun de ses adeptes vit ainsi dans l'illusion de la liberté et, aveuglé, ne voit pas sa prison "dorée" et sa fin tragique. Il en est ainsi de tous ceux qui enseignent la perte du salut. Il en est de même aussi avec le pasteur démoniaque du Cameroun, Christian Becquet, surnommé aussi le Nègre Blanc, qui enseigne dans ses délires de psychopathe que le salut est possible «sans la connaissance» de Jésus-Christ et de la vérité. En fait, il méprise la connaissance et préfère l'ignorance tout en se disant intelligent dans le bourbier excrémentiel de ses nombreuses abominations. Son arrogance surpasse même celle de son maître, Lucifer, le prince de la noirceur.
LA GRÂCE DE L'ADOPTION EN JÉSUS-CHRIST Des aspects les plus merveilleux de la grâce est celui de notre adoption comme enfants de Dieu. La base de l'adoption est la justification, procédé judiciaire par lequel nous sommes redressés, sanctifiés, purifiés, et innocentés, c'est à dire blanchies de toutes responsabilités envers le péché, afin que nous puissions devenir de nouvelles créatures d'une nouvelle race céleste et éternelle. En d'autres mots, nous devenons des enfants adoptifs de l'Esprit des vivants par le sacrifice de la croix, chacun des élus étant membre du Corps de Christ pour l'éternité. Quoique le terme «fils» est souvent employé plutôt que celui «d'enfants», les deux signifient une seule et même chose: «Car vous n'avez point reçu un esprit d'esclavage, pour être encore dans la crainte; mais vous avez reçu un Esprit d'adoption, par lequel nous crions: Abba, Père... Car nous savons que, jusqu'à présent, toute la création soupire, et souffre les douleurs de l'enfantement; Et non seulement elle, mais nous aussi qui avons les premiers fruits de l'Esprit, nous soupirons en nous-mêmes, en attendant l'adoption, la rédemption de notre corps.» (Rom. 8:15,21,22).
Nous sommes donc, présentement, dans l'attente de recevoir un nouveau corps, céleste, immortel et éternel (1 Cor. 15:35-54). Ainsi notre adoption sera accomplie dans une nouvelle dimension d'existence, parfaite, insondable et inaltérable. Jamais plus nous ne verrons la corruption, les faiblesses et les infirmités. Tout sera nouveau dans un éternel présent, sans commencement et sans fin. Un seul Corps pour tous, un seul Esprit pour tous, une seule Conscience pour tous et en tous, une seule Existence sublime et glorieuse. Cela est l'héritage des élus qui leur a été promit depuis avant la fondation du monde.
L'apôtre Paul déclare en effet que «Mais, lorsque la plénitude des temps est arrivée pour l'accomplissement de la loi, L’ESPRIT DES VIVANTS a délégué son Fils, né d'une femme, né sous la loi, Afin qu'il rachetât ses élus qui étaient sous la loi, pour que nous recevions l'adoption comme fils de L’ESPRIT DES VIVANTS. Et, parce que vous êtes fils, L’ESPRIT DES VIVANTS a envoyé dans vos cœurs l'Esprit de son Fils, lequel crie: Abba, ô Père.» (Gal. 4:4-6).
Par analogie, celui qui reçoit la grâce de l'adoption débute comme un cadavre en état de décomposition. Il ne peut même la recevoir par la foi, car il est mort spirituellement, et un mort ne peut rien faire sauf dégager l'odeur de la corruption. Il faut une intervention divine, une recréation totale de l'être, tout comme ce fut le cas avec Lazare, l'ami de Jésus qui était mort depuis quatre jours (Jean 11:1-44). L'histoire de la résurrection de Lazare est le plus bel exemple de la nouvelle-naissance, dans laquelle nous naissons en une nouvelle vie par la grâce de l'adoption (voir: La Gestation des Élus). Cette grâce merveilleuse et souveraine, consiste uniquement à l'attribution des mérites du sacrifice de Christ à ses élus, dans lesquels ils reçoivent gratuitement et sans aucune condition, tout ce qui est nécessaire à leur salut. Elle est donc entièrement suffisante dans tous ses aspects. Puisqu'ils sont morts spirituellement, elle est reçue passivement et prodigieusement, non comme une chose méritée, mais comme une puissance qui leur est attribuée. Elle est entièrement selon le bon plaisir de la volonté souveraine de l'Esprit des vivants, ayant été déterminée de toute éternité dans son décret d'élection en faveur de ses élus seuls.
Il ne s'agit donc pas ici d'accepter Christ comme son Sauveur personnel, comme l'enseignent les sectes évangéliques de réprouvés, car accepter est un verbe actif qui implique de faire un effort ou un choix. Or un mort ne peut rien faire et ne peut prendre aucun choix. Tout est donc selon la volonté de Dieu (Jean 1:12,13), absolument rien n'est de l'homme. Un homme ne peut même pas s'humilier et renoncer à lui-même, car il est mort. Il faut absolument un miracle pour qu'il revienne à la vie, et cela est le domaine de Christ qui relève ses élus d'entre les morts, par la puissance de la croix et de la résurrection, venant ainsi habiter en nos cœurs dans son ministère d'exaltation. Par sa Sainte Présence en nous, il produit «l'aspiration de la réalisation selon son plaisir» (Phil. 2:13), d'une nouvelle vie. Il s'agit ainsi de l'opération de l'Esprit de Christ en nous dans sa puissance de transformation qui fait de nous des enfants d'adoption à la gloire de son Nom. Nous devons donc progresser dans cette grâce de sa Sainte Présence avec humilité dans une révérence respectueuse (Phil. 2:12), et dans une pleine reconnaissance. Lorsqu'on considère que le Seigneur JÉSUS, le Créateur de l'univers et l'Auteur de notre salut est venu demeurer en nous, nous ne pouvons faire autrement. Il n'y a pas de plus grande joie que d'avoir été donné la réalisation de cette révélation glorieuse qui fait de nous des enfants de Dieu. La suffisance de la grâce est incomparable, elle surpasse les bornes de toutes nos aspirations et de toutes nos imaginations.
A Christ seul soit la Gloire Amen !
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