LA RESPONSABILITÉ DU PÉCHÉ

ET SES CONSÉQUENCES

 

Par Jean leDuc

Juin 2020

 

L'AUTEUR DE LA LOI ET SA RESPONSABILITÉ

 

L'ORIGINE PRIMITIVE DE LA LOI

 

LES PÉCHÉS PARTICULIERS DES RÉPROUVÉS

 

LE VIOL DE LA LOI CHEZ LES GENTILS

 


 

L'AUTEUR DE LA LOI ET SA RESPONSABILITÉ

Les implications d'une telle question sur qui repose la responsabilité du péché, sont vastes, complexes et énormes. Le sujet est extrêmement sensible et les grands théologiens, la plupart des Réformés dits calvinistes, ont préférés ne pas l'aborder en détails de crainte de faire de Dieu le responsable du péché, ce qui veut dire que dans leur logique fautive que Dieu serait Lui-même péché. A Dieu ne plaise qu'une telle notion soit véritable. Or nous savons, selon les Saines-Écritures, que le péché est une transgression de la loi, et aussi que le mot «péché» signifie littéralement «égarement, manquer le but». Nous avons vu également dans notre document «La loi abrogée par le sacrifice de Christ» que la puissance du péché est la loi, et que sans celle-ci le péché n'existe plus car nous ne sommes plus sous la loi mais sous la grâce.

 

Pour saisir l'ampleur de ce sujet, il importe de comprendre clairement que Christ a été prédestiné avant la fondation du monde pour s'offrir en sacrifice sur la croix, dans le but de racheter ses élus de la puissance du péché (1 Pi. 1:17-20). Cette décision a été prise avant la création de l'homme, ce qui nous indique que le péché était nécessaire pour accomplir ce but suprême. Sans le péché il n'y avait pas de rédemption possible. En d'autres mots, le péché avait été déterminé d'avance pour apparaître dans la race humaine, pour faire chuter l'homme dans ses égarements ou déviations pour accomplir le plan de Dieu. Le pourquoi de cela est que l'homme, lors de sa création, n'avait pas encore la conscience de son existence de créature charnelle, puisqu'il était constamment dans la présence de Dieu. Or il ne pouvait voir rien d'autre que son Créateur et pour lui c'était la seule vie qu'il connaissait. Mais il ne pouvait pas demeurer dans cette condition d'innocence et d'ignorance de son existence réelle, car la créature n'est pas le Créateur, et il devait en prendre conscience. D'où la nécessité du péché pour l'éveiller à la pleine réalisation de son existence de créature faible et limitée. Toute cette planification divine nous indique clairement que Dieu a déterminé d'avance la voie de tous les hommes dans son décret de la Double Prédestination: l'élection des élus et l'exclusion des réprouvés. Toute l'histoire de la race humaine se déroule sur ces principes, ainsi que le document présent que vous avez devant vos yeux.

 

Or il est évident que Dieu ne peut s'égarer ou manquer le but qu'il s'est proposé de toute éternité car il est Souverain absolu et entièrement Tout-puissant, et qu'en plus il est Lui-même l'Auteur de la loi. Il est donc impossible que le péché demeure en Lui, mais cela ne signifie pas qu'il n'en a pas déterminé le principe et n'a pas voulu qu'il se réalise; car assurément le péché fait partie de son décret de rédemption pour le rachat de ses élus de la malédiction de la loi. La fonction de la loi est donc celle de manifester le péché et de nous diriger à Christ pour en être délivré. Il en advient donc que la loi porte en elle-même la notion de responsabilité, d'obéissance, de culpabilité et de condamnation. En d'autres mots, la loi rend l'être humain responsable de ses actions, néanmoins il n'est pas responsable d'en avoir érigé le principe car la loi est de Dieu, notre Esprit des vivants, et non de l'homme.

 

L'homme subit les conséquences de la loi mais il n'en est pas l'auteur, et il doit plier le genou à ses exigences. La loi est la puissance du péché, mais la puissance de la loi repose en Dieu seul, il en est le seul responsable. Il n'est donc pas l'auteur du péché mais de la loi qui porte au péché, et cela il l'avait déterminé d'avance avant la fondation du monde. En d'autres mots, Dieu n'est pas directement responsable du péché, mais indirectement, afin que la loi soit justifiée dans toutes ses applications. La loi est donc l'autorité suprême et exige une parfaite obéissance. Le refus de se soumettre à la loi est ainsi de la rébellion et de l'indépendance, et la punition demandée par sa justice est la mort physique, spirituelle et éternelle.

 

L'ORIGINE PRIMITIVE DE LA LOI

Lorsque les gens entendent parler de la loi, leurs pensées se portent automatiquement vers la loi que Dieu donna à Moïse pour le peuple d'Israël, qui venait d'être délivré de l'esclavage en Égypte. Mais cela n'est qu'une partie de la vérité, il y a beaucoup plus que cela d'impliqué ici. Si on restait à ce point, cela voudrait dire que la loi n'existait pas avant Moïse, ce qui serait le résultat d'un raisonnement irréfléchi. Que Moïse en a mis les principes de base par écrit sous la révélation et la direction de l'Esprit des vivants, ne signifie pas pour autant que la loi n'existait pas auparavant. Les dix principes codifiés par Moïse provenaient de ce qu'on nomme «la loi de la conscience», et celle-ci existait depuis le début des temps dans un simple principe d'interdiction qui en contenait tous les aspects: «Mais, quant à l'arbre de la connaissance du bien et du mal, tu n'en mangeras point; car au jour où tu en mangeras, certainement tu mourras de dépérissement.» (Gen. 2:17).

 

A la différence de la loi écrite, la loi d'interdiction ou loi de la conscience, n'a pas la rigueur implacable de celle élaborée par Moïse en dix principes ou commandements. Elle a néanmoins la même autorité puisque venant d'une même Source divine. En fait la loi écrite est la même que celle de la conscience, sauf que la loi de la conscience est une seule parole, tandis que la loi écrite est l'élaboration de cette parole en dix paroles ou principes détaillés. La loi de la conscience se rapporte à tous les hommes sans exception, tandis que la loi écrite était strictement pour Israël. Cette loi primitive d'interdiction a été inscrite dans le cœur de tous les hommes (Rom. 2:14,15) depuis le début des temps. Son objectif primaire est d'irriter le cœur de l'homme, de contrarier sa conscience par rapport au pourquoi de son existence, ce qui le pousse inévitablement à prendre une décision dont le résultat avait été déterminé d'avance. Vu que l'homme n'est qu'une créature faible et limitée, sa réflexion était centrée sur lui-même et il fut indigné par cette interdiction car il pensait être comme son Créateur, ce qui engendra la rébellion en désirant son indépendance, de ce qu'il considérait comme étant une forme d'esclavage. En s'agitant ainsi, il ne réalisa pas qu'il se plaça directement entre les mains de Dieu qui en avait déterminé la cause et l'étendue de ses effets, pour l'accomplissement de ses desseins. Surtout en ce qui concerne le salut de ses élus, et la formation d'une nouvelle race parfaite, céleste et éternelle. Tout, absolument tout avait été déterminé d'avance. Rien n'échappe à la volonté souveraine de notre Dieu Tout-Puissant, le Seigneur JÉSUS.

 

Remarquez que le but de la Création était de créer l'homme à son image (Gen. 1:26,27), ce qui implique une transformation progressive. De toutes évidences l'histoire de la race humaine, du début à la fin des temps, n'est qu'un processus de formation pour atteindre ce but suprême, mais seulement avec ceux qu'il a choisi d'avance avant la fondation du monde: «prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde.» (Mat. 25:34). Tout cela implique la responsabilité du Souverain Suprême qui s'est incarné dans un corps de chair pour prendre sur Lui la responsabilité de nos péchés, en abolissant la loi en notre faveur.

 

LES PÉCHÉS PARTICULIERS DES RÉPROUVÉS

La transformation en l'image de Christ est en progression depuis le début des temps. Si cela paraît pour nous des milles années, ce n'est pas le cas avec Dieu qui habite l'éternité dans lequel le temps n'existe pas. L'éternité est un présent constant sans commencement et sans fin, inaltérable et immuable. Tout ce qui existe dans le temps a été planifié dans l'éternité, le temps n'est qu'une image de ce qui a été déterminé éternellement. Pour Dieu tout est déjà accompli, mais nous ne pouvons le voir puisque nous demeurons de l'autre côté du voile, où nous sommes prisonniers du temps et de la chaire dans une existence éphémère et superficielle, à laquelle nous donnons une importance idolâtre. Néanmoins le but suprême se réalisera par le fait que le temps a touché l'éternité à la croix; où le voile fut déchiré par le sacrifice de Christ (Mat. 27:51), comme il avait été désigné de se produire. C'est pour cela que Christ est entré dans le sanctuaire céleste pour nous ouvrir la voie, en traversant le voie de sa chair (Héb. 10:20), retournant ainsi dans sa gloire première comme Souverain Suprême, assurant ainsi notre salut éternel: ainsi dit Jésus «JE SUIS la voie, la Vérité et la Vie» (Jean 14:6).

 

Que le péché manifeste sa présence dans l'existence de l'homme moderne, est indéniable lorsque nous regardons à tous les niveaux de la société. A travers toute l'histoire de l'humanité avec tous ses conflits, sa violence, ses crimes, ses guerres, ses massacres, on aurait tendance à penser que l'homme aurait appris sa leçon pour ne pas recommencer sa bêtise, mais ce n'est pas le cas. Le péché est comme une maladie incurable qui ronge comme la gangrène, dont l'infection se transmet de génération en génération. Cela est l'évidence que la nature humaine est complètement dépravée, totalement déchue et entièrement corrompue (Rom. 7:21-25), et que le cœur de l'homme est tortueux par-dessus toutes choses et désespérément malin (Jér. 17:9). Cette vérité est essentielle à la grâce du salut; la négliger, l'ignorer ou la rejeter comme le font les sectes dites évangéliques, est l'assurance de la perdition éternelle, et cela se rapporte à la grande majorité des gens en ce monde de ténèbres.

 

On réalise ainsi que l'homme ne peut changer sa personnalité, malgré tous ses efforts et bonnes intentions. Même que la psychiatrie est impuissante dans ce domaine, elle ne peut que contribuer des théories inefficaces, et chercher à apaiser le mal humain avec des drogues ou médicaments qui occasionnent des dépendances inutiles et nuisibles à la santé mentale. Toutes les études entreprises sur ce sujet sont complètement vaines. Nous sommes ce que nous sommes et rien ne changera cela, du temps qu'ils ne reconnaissent pas que le péché est la source du problème. Prenons par exemple le sujet de l'alcoolisme qui est considéré une maladie ou une déficience de la psyché occasionnée par l'abus. Du temps que l'alcoolisme (ou autres dérèglements similaires) est traité comme une maladie, il n'y aura jamais de solutions efficaces et permanentes. L'alcoolisme n'est pas une maladie mais un péché, et il est grand temps que les gens le réalisent. Donc l'alcoolique doit admettre son péché s'il veut réellement en être complètement délivré. Mais cela lui est impossible sans conviction du Saint-Esprit. Or la conviction vient de l'élection, si donc l'alcoolique n'est pas un élu, il demeurera dans sa condition misérable et lamentable malgré tous ces désirs d'en être délivré. Il aura donc recours à la psychiatrie et en deviendra esclave pour le reste de sa vie. Il en est de même pour tous les réprouvés dans leurs péchés particuliers.

 

Il s'agit ainsi d'un dérèglement spirituel, et non physique ou mental. Toutes formes dérèglements ou d'obsessions est péché, que ce soit pour l'alcool, la drogue, le sexe ou la pornographie, le sport, les jeux de chances, la soif de l'argent ou du pouvoir, la tolérance du mal, ou l'extorsion et l'exploitation des pauvres. Lorsqu'une personne devient obsédée d'une chose en ce monde, elle est coupable d'idolâtrie, dont la condamnation est la perdition éternelle. L'obsession est un manque de contrôle de soi, il n'y a plus de juste milieu, elle témoigne d'un manque d'équilibre spirituel dont la solution se trouve uniquement en Christ. Vrai que le chrétien réel trébuchera parfois car il est encore dans un corps de chair, mais Christ en lui est en contrôle et le redressera dans un juste équilibre, afin qu'il puisse jouir de la vie sans perdre les pédales. C'est ce que la Bible nomme de la sagesse ou attitude de prudence dans toutes les situations qui se présentent à nous dans la vie de tous les jours.

 

LE VIOL DE LA LOI CHEZ LES GENTILS

Maintenant il est très important de comprendre clairement ce que nous allons dire. Lorsque nous parlons du péché ici, nous n'en parlons pas dans le sens des Juifs de la Bible que le péché est une transgression de la loi ou dix commandements, que Moïse a reçu de Dieu pour le peuple de la nation d'Israël. Pourquoi? Simplement à cause que nous ne sommes pas des Juifs de l'ancienne nation d'Israël. Ce peuple n'existe plus. Nous sommes ce que la Bible appelle des Gentils, c'est à dire des non-juifs. La loi de Moïse a été donnée strictement et uniquement pour la nation d'Israël et non aux autres nations de la terre. En d'autres mots, nous n'avons aucun rapport à cette loi ni aucune obligation envers elle. Néanmoins elle peut nous aider par analogie à comprendre certains aspects de la vie, et peut servir de guide à la loi de la conscience qu'on peut nommer aussi la Loi des Gentils. Nous ne sommes donc pas sans loi, car la loi de la conscience détient certaines similarités. Pour nous, les Gentils, le péché est le viol des principes d'interdiction inscrit dans le cœur de tous les hommes depuis le début des temps pour nous dire ce qui est bien et ce qui est mal (Rom. 2:14,15). Ce que la majorité de nous savons instinctivement.

 

Le problème est que dans notre génération de la fin des temps, que le mal s'est tellement accentué et répandu, que la loi de la conscience a perdue presque toute son efficacité. Elle est devenue tellement ignorée que les gens ne reconnaissent plus son existence. Puisque dans leur orgueil et leur indépendance, ils n'ont plus aucun guide pour leur expliquer la loi de la conscience, du fait que cette loi n'a jamais été élaborée en détails avec autorité pour notre civilisation. Nos gouvernements démon-cratiques de poli-ti-chiens crapuleux et hypocrites, presque tous des enculeurs homosexuels ou des lâches exécrables, ont pris la relève pour nous l'expliquer à leurs façons, nous disant ce qui est bien et ce qui est mal pour nous, et nous imposants leurs principes dénaturés avec rigueur et menaces. Le résultat est que ce qui était considéré comme bien auparavant est maintenant considéré comme mal, et ce qui était mal est mal est considéré comme étant bien. Ils ont inversé les principes de la moralité et de la bienséance. Et les peuples, aveugles comme des taupes, se mettent en ligne pour embrasser leurs culs merdiques, et ils en demandent encore plus. On nous a donc ajouté toute une gamme de nouveaux péchés sociaux qui contredisent catégoriquement les enseignements de la Bible, et la tolérance de tout ce qui est mal est maintenant obligatoire sous menaces de sanctions judiciaires d'une loi qui ne connaît plus aucune vraie justice. On se retrouve donc sous la domination de l'injustice de l'homme corrompu et dépravé, sous l'administration de dirigeants politiques assoiffés de pouvoir et de richesse. Mais viendra le jour où ils auront des comptes à rendre à Dieu, et ce jour est beaucoup plus proche qu'ils se l'imaginent.

 

L'abomination du mariage entre couples du même sexe est maintenant légal, et il est interdit de parler contre les communautés homosexuelles. Le multiculturalisme est à l'ordre du jour et l'intolérance n'est pas tolérée par ceux qui enseignent la tolérance. On laisse entrer les ennemis du peuple parmi nous par le truchement de l'immigration, et maintenant les musulmans, qui veulent notre destruction, ont une voix dans les couloirs politiques de nos nations troublées. Et maintenant l'anti-racisme est devenu l'idoles des peuples ignorants et anti-chrétiens. Ils ne réalisent point que le racisme est une invention des noirs qui ne peuvent accepter ce qu'ils sont dans leur position sociale, cherchant constamment à s'en prendre à la race blanche. Ils veulent tout gratuitement sans ne rien payer ni rien faire, comme si on leur devait l'existence et les biens de notre société. S'ils n'ont pas ce qu'ils veulent, ils saccagent tout, se donnent au pillage et mettent le feu aux bâtiments de commerçants innocents. Ils ont la rébellion dans le cœur et n'ont aucun respect pour les autorités, s'imaginant d'être respecté en retour. C'est le comble de l'absurdité. Évidemment qu'il y a des exceptions, mais elles sont rares. Certes qu'ils ont été souvent victimes de l'injustice, mais ils ne sont pas les seuls, ils sont donc inexcusables. La vie de tous est importante et non seulement celle des noirs qui se sentent opprimés par leur propre faute, car ils ne veulent pas la responsabilité de leurs agissements et se croient tout permis. Ils veulent l'égalité avec les autres races tout en se disant supérieurs. Leur raisonnement est complètement fautif et leur conscience totalement enténébrée. L'égalité des peuples est un mythe conçu par les dirigeants politiques qui cherchent des votes au scrutin pour demeurer en pouvoir, et ils vont mentir aussi longtemps que cela est nécessaire pour atteindre leurs buts. Ils témoignent ainsi que leur père est le diable (Jean 8:44), tout comme les évangéliques qui leur font compétition.

 

Or l'anti-racisme est anti-chrétien et anti-biblique. En vérité le racisme est avec nous depuis le début des temps, il a toujours été l'état normal des peuples de la terre. Historiquement et bibliquement, le racisme est parfaitement légitime et n'a jamais été considéré comme un péché ni un crime. Nos politiciens crapuleux sont ceux qui en font un péché et un crime social pour avoir les votes des noirs, et les nègres sont trop ignorants pour le réaliser. Ils sont simplement des pantins dans un jeu de pouvoir politique. Spirituellement, la race noire est l'image parfaite de la nature humaine déchue et corrompue. Ils se veulent libre lorsqu'ils sont esclaves de la chair et du péché.

 

Dans son essence le racisme consiste à favoriser une race au-dessus d'une autre. D'après le Dictionnaire Crisco, il s'agit «d'une doctrine politique de domination d'une race sur les autres». Dans l'antiquité la race Sémitique ou brune de l'ancien Israël était supérieure aux autres. Dans nos temps modernes, la race Japhétique ou blanche est supérieure aux autres. Historiquement la race noire n'a jamais produit rien de significatif qui contribue à une civilisation organisée, comme chez les anciens Grecs et Romains qui construisirent des villes, des temples, des maisons, des routes, des aqueducs, des égouts sanitaires, des systèmes d'éducation, des navires et des ports de mer. Que produisit la race noire durant tout ce temps? Il est temps d'être réaliste et de faire face aux faits.

 

Ainsi on attend seulement qu'ils accusent Dieu d'être raciste car il a favorisé l'ancienne nation d'Israël au-dessus de toutes les nations de la terre. En plus que dans sa grâce il favorise seulement ses élus, et non les pauvres petits réprouvés qui se lamentent et contestent sa décision suprême irrévocable. Sûrement il serait aussi accusé d'avoir mis la malédiction sur la race noire pour tous les temps, à cause qu'ils se moquaient de leur origine, et qu'il les a soumis à la servitude des autres races jusqu'à la fin des temps (Gen. 9:22-26). Évidemment, selon eux, Dieu n'avait pas raison d'agir de la sorte, son racisme est évident, il aurait donc commis un crime et serait ainsi pécheur. En plus qu'il n'avait pas demandé la permission à nos gouvernements diaboliques qui le crucifieraient de nouveau, si jamais ils réussiraient à lui mettre la main au collet. Puis on se demande pourquoi Dieu envoie toutes sortes de fléaux sur la race humaine, comme celui du coronavirus qui présentement se propage mondialement (Apoc. 3:10), comme l'ange de la mort qui se promène dans nos rues, pour prendre avec lui ceux que Dieu a marqué pour servir d'avertissement aux hommes de la terre. Mais ils n'écouteront point et iront en empirant. Or ce n'est que le commencement des douleurs de l'enfantement d'un nouveau monde, le pire est encore à venir (2 Pierre 3:3-13).

 

Le viol de la loi de la conscience a changé le péché et en a produit des nouveaux. Tout ce qui est bon, louable, vertueux, honnête, tout ce qui est bienséant et saint, tout ce qui est digne et honorable, tout ce qui est vrai, juste et droit, tout ce qui est de la vérité, tout ce qui est de Dieu est maintenant péché. Le monde a atteint le sommet de sa corruption. La rétribution est à la porte. On ne se moque pas du Dieu vivant et Tout-puissant, et les nations du monde et leurs chefs l'apprendront bon gré mal gré.

 

Présentement, le chrétien authentique doit vivre dans le bourbier de ces excréments politiques des nations de dépravés. Il est en ce monde mais n'est pas de ce monde, et il doit marcher dans l'assurance inébranlable que Christ en lui est en contrôle de sa vie et qu'il n'a rien à craindre. Là est la grâce de la persévérance des saints élus. Christ en nous achèvera parfaitement l'œuvre qu'il a débuté et rien en ce monde ne l'empêchera, car il est l'Esprit des vivants, le Souverain Suprême Tout-puissant. Les nations de la terre plieront le genou devant Lui et subiront sa colère, car notre Dieu est aussi un feu rugissant et malheur à ceux qui s'opposent à Lui, et à ses élus qu'il a racheté au prix de son sang. Maudit soit l'homme qui met sa confiance en l'homme, il en payera les conséquences éternellement. Nous avons la pleine assurance que ces choses arriveront bientôt et qu'aucun n'échappera à sa justice. Notre message à la communauté mondiale des élus est: persévérez sans relâche dans le bon combat de la foi et de la vérité, car la couronne de gloire vous est réservée et aucun ne peut vous la dérober.

 

A Christ seul soit la Gloire

Amen !