RENONCEMENT ET PARTAGE par Jean leDuc Juin 2019
LE CHRISTIANISME EST UNE DES PLUS GRANDES RELIGIONS DU MONDE
UNE RELIGION TRINITAIRE BABYLONIENNE
LE CHRISTIANISME EST UNE DES PLUS GRANDES RELIGIONS DU MONDE Depuis la fin du premier siècle et surtout depuis le 4ie siècle en l'an 325, le christianisme est considéré comme étant une religion d'influences considérables dans la société. Face au pluralisme religieux, certains considèrent même le christianisme comme étant la religion de l'Évangile, le cœur de la révélation chrétienne pour le salut du monde entier, c'est à dire de chaque personne qui se trouve sur la face de la terre, ou plus précisément pour «le salut de tous les hommes». Avant de procéder plus loin, il importe donc de savoir ce qui est impliqué par le mot «religion». Dans son essence la religion, chrétienne ou autre, est la tentative de l'homme de rejoindre Dieu par un système de croyances et de pratiques cultuelles dans le but de lui plaire ou d'apaiser sa colère. La religion est donc une organisation, un ensemble qui est structuré en vue de résultats ou d'actions déterminés, formant une association ou une institution avec ses dirigeants et ses membres destinés à exprimer, sur des matières d'intérêt commun, une volonté distincte pour le maintien de la croyance. Bref, la religion est de l'homme et non de Dieu, elle est en réalité la manifestation des aspirations de la nature humaine déchue. En d'autres mots, la religion chrétienne est une contrefaçon du christianisme authentique, un faux christianisme à l'apparence biblique qui a séduit les peuples de la terre depuis de nombreuses générations. Les trois branches principales de cette abomination à prétentions chrétiennes sont: le Catholicisme, le Protestantisme, et le mouvement Évangélique, les les trois grenouilles ou esprits diaboliques contre lesquels nous luttons présentement dans une guerre spirituelle qui se nomme figurativement «la bataille d'Armageddon» (Apocalypse 16:13-16).
Le vrai christianisme n'est pas une religion, mais un vent de l'Esprit de Dieu qui souffle la vie éternelle dans des cœurs assoiffés de la vérité, c'est à dire en ceux qui ont été déterminés de toute éternité pour en recevoir la révélation. Il s'agit de la libération de l'esclavage des principes de l'homme, de ses religions ou de ses cultes qui déforment le sens de la vérité avec des approximations subtiles et raffinées qui pourraient séduire les élus même, si cela serait possible, car le Seigneur veille sur les siens pour les protéger, les instruire, et les diriger dans la bonne voie de sa grâce souveraine. Or un vent n'a pas de forme comme les religions, il est libre des encadrements ou structures religieuses qui gardent l'homme sous l'esclavage de principes, de rituels, de cérémonies, et de pratiques captieuses désignées pour faire tomber les crédules dans un piège bien dissimulé sous des apparences chrétiennes et bibliques. Ainsi les religions s'enrichissent sur le dos des ignorants facilement manipulés par la flatterie, la peur et l'intimidation, se faisant dérober de leurs biens et écraser dans leurs estimes ou respectabilités.
Mais faisons un petit retour en arrière au niveau de l'histoire. Les fidèles du christianisme sont nommés «chrétiens.» ou plus précisément «christiens» selon le sens original du mot. Les Actes des Apôtres, un ouvrage du Nouveau Testament, indiquent que le nom de «chrétien» ou «christiens», signifiant «appartenant au Christ» ou «partisan du Christ», fut donné aux disciples de Jésus de Nazareth à Antioche au milieu du Ier siècle]. La référence la plus ancienne réputée pour le terme christianisme se trouve dans la lettre d'Ignace d'Antioche aux Magnésiens à la fin du Ier siècle. Or Ignace d'Antioche était un des premiers à considérer le christianisme comme une organisation, une caricature ou contrefaçon de l'original. Ses écrits révèlent les conflits et les tentatives d'ériger le christianisme sous un régime structuré dans lequel il s'attribuait le pouvoir de surveillant et de dirigeant spirituel. Plusieurs autres en différents endroits suivirent son exemple, et des conflits surgirent de toutes parts. Ce fut l'accomplissement de la prophétie de l'apôtre Paul qui, très peu de temps avant cette période, avait déclaré: «Car je sais qu'après mon départ, il s'introduira parmi vous des loups ravissants, qui n'épargneront point le troupeau; Et qu'il s'élèvera parmi vous des hommes qui annonceront des doctrines pernicieuses, afin d'attirer les disciples après eux. Veillez donc, vous souvenant que durant trois ans je n'ai cessé, nuit et jour, d'avertir chacun de vous avec larmes.» (Actes 20:29-31). Paul n'avait pas aussitôt quitté ce monde que le christianisme fut déformé par des hommes astucieux en recherches de pouvoir et de gloire. La perversion du christianisme se fit lentement à travers les siècles, jusqu'à ce que l'embryon du catholicisme fut formé à travers de nombreux conflits qui surgirent au Concile de Nicée en l'an 325 ordonné par l'empereur Constantin. Ce fut à ce point que le christianisme fut érigé en organisation ecclésiale officielle à travers tout l'empire romain. La bête insidieuse avait surgie de la mer des peuples et des nations avec ses Crédos diaboliques, le christianisme contrefait connaissait sa gloire dans les persécutions et les massacres de chrétiens authentiques, ainsi que dans la falsification d'anciens documents pour supporter ses fausses doctrines idolâtres et subversives qu'elle imposait avec force et arrogance, et cela va encore de nos jours car le catholicisme recherche la domination mondiale (Apoc. 13:1-10).
UNE RELIGION TRINITAIRE BABYLONIENNE On nous dit que les chrétiens croient que Jésus de Nazareth est le Messie que prophétisait l'Ancien Testament, et hormis quelques minorités qu'il est le fils de Dieu et de nature divine. Les chrétiens les plus nombreux, les catholiques et les orthodoxes des sept conciles, prennent énormément en considération l'interprétation patristique des textes scripturaires. Mais le Jésus en lequel ils croient est un faux Jésus, deuxième personne d'une trinité chimérique dans laquelle il y a trois personnes distinctes en Dieu, chacune étant Dieu dans une union indissociable qui forme un seul Dieu. La doctrine de trois dieux distinctes qui forment un seul Dieu n'est pas soutenable logiquement ni scripturairement, c'est pour cela que les théoriciens catholiques et protestants désignent cette abomination comme étant un mystère. Mais il y a plus, et cela va en surprendre beaucoup, mais la désignation de Jésus comme «fils de Dieu» ne se trouve pas dans les textes originaux de la Bible, l'article « de » est complètement absent dans tous les manuscrits du Nouveau Testament. Il ne s'agit donc pas de «Jésus le Fils de Dieu» mais de «Jésus le Fils, Dieu même», ce qui nous indique que le Fils est l'engendrement du Père dans la chair. En ce sens très réel, le Fils est ainsi l'enveloppe visible ou corporel du Père invisible incorporel, c'est à dire que nous avons ici la nature humaine et la nature divine en une seule Personne. Le Père qui est est pur Esprit et le Fils qui est pleinement homme sont un seul. C'est ainsi que les Juifs le comprenaient et c'est pourquoi ils voulaient le lapider. car pour eux une telle notion était complètement aberrante et un blasphème grossier intolérable. C'est pourquoi aussi qu'elle est rejetée par tous les faux chrétiens, car elle met fin à leurs prétentions et les expose pour ce qu'ils sont.
Le christianisme comme religion est une religion trinitaire babylonienne, la religion la plus commune dans le monde et a profondément marqué et influencé différentes cultures et civilisations au cours de l'histoire. Elle est présente sur l'ensemble des continents et surtout en Europe, en Amérique, en Afrique subsaharienne et en Océanie. Les croyances et pratiques chrétiennes se sont énormément diversifiées au fil des siècles et autour du monde. Par conséquent, il n'y a pas de définition synthétique de cette fausse croyance chrétienne et de ses doctrines néfastes. Cependant, il existe certains éléments d'homogénéité tels que la croyance centrale en le faux Jésus du Cerbère Nicéen, deuxième personne d'une trinité chimérique mystérieuse, un Jésus qui donne le libre-choix et qui est venu pour le salut de tous les hommes, si seulement ils veulent le croire par une décision personnelle d'une volonté qui est réellement esclave de la chair et du péché et qui ne détient en vérité aucune puissance de faire un tel choix. Le choix du salut appartient à Dieu seul et non à l'homme avec ses caprices et ses présomptions.
Le kérygme ou proclamation essentielle de la religion dite chrétienne, est la profession de foi principale des supposés chrétiens contenue dans l'Épitre de saint Paul aux Corinthiens, qui stipule que, si Jésus-Christ n'est pas ressuscité, la foi chrétienne est vaine. Or la résurrection de Christ est vraiment un des points les plus importants de la foi chrétienne authentique, mais quoique cela est juste nous savons que la religion chrétienne est fausse dans toues ses principes et qu'elle utilise la Bible pour couvrir ses perversions. Ce qu'elle veut dire par sa proclamation de la résurrection de Christ va vous étonnez. À cause d'un grand manque de connaissance au niveau de l'histoire ancienne et des religions à mystères de ces temps, trop de gens ignorent que la religion dite chrétienne est une réplique du Mithraïsme, ancienne religion solaire dans laquelle Mithra (Apollo chez les romains), le fils du dieu Soleil, fut crucifié et ressuscita des morts pour retourner vers son père. Le Mithraïsme était la religion officielle de Constantin, l'empereur romain qui siégea au Concile de Nicée où fut formé l'embryon du catholicisme.
L'astuce de Constantin était d'unir le christianisme au mithraïsme pour former une nouvelle religion qui détenait tout son pouvoir et son autorité impérial. Ainsi il est écrit: «Et on adora le dragon qui avait donné son pouvoir à la bête ; on adora aussi la bête, en disant : Qui est semblable à la bête, et qui pourra combattre contre elle ?» (Apoc. 13:4). Trois autres professions de foi sont venues préciser la foi de la religion prétendument chrétienne, le Symbole des Apôtres qui n'est pas des apôtres mais une forgerie apocryphe ou pseudépigraphe; le Symbole de Nicée-Constantinople qui posa une nouvelle fondation au christianisme sous couverture d'une domination impériale dans laquelle l'empereur Constantin fut déclaré «Évêque Suprême»; et le Crédo d'Athanase d'une duplicité presque inimaginable qui déforma la vérité des Saintes-Écritures pour accommoder la nouvelle religion impériale dite chrétienne. De même il est écrit: «Et on lui donna une bouche qui disait de grandes choses et des blasphèmes ; et on lui donna le pouvoir de faire la guerre pendant quarante-deux mois. Et elle ouvrit la bouche pour blasphémer contre Dieu, pour blasphémer contre son nom et son tabernacle, et contre ceux qui habitent dans le ciel.» (Apoc. 13:5,6).
Il devient donc évident que la profession de foi principale de la religion dite chrétienne repose sur une ancienne religion à mystères qui détient certains parallèles avec ce qui est écrit dans la Bible à propos de Jésus. Même que la naissance de Mithra est aussi miraculeuse et qu'une étoile apparue dans le ciel pour diriger des mages vers une caverne, l'endroit de sa naissance. Le Mithraïsme aussi avait son pape qui siégeait à Rome ainsi que ses évêques, sa Madone ou Reine du ciel, ainsi que tous les rituels que nous retrouvons dans le catholicisme. Considérant que le Mithraïsme date de plusieurs siècles avant Jésus-Christ, le parallélisme est vraiment inouïe. Inutile d'entrer ici dans une analyse complète de ce sujet mystérieux, sauf de dire que les fondateurs du Mithraïsme avaient surement accès aux livres prophétiques de l'Ancien Testament qu'ils interprétèrent à leur façon, en adaptant les principes à leur religion à mystères qui détenait en général une ressemblance extraordinaire avec le christianisme. Il faut admettre qu'ils étaient plus informé sur le christianisme que la majorité des gens le sont de nos jours. Il fut ainsi très facile pour Constantin, qui était le chef des mystères Chaldéens du Mithraïsme, d'en intégrer les principes au sein du christianisme pour former sa nouvelle religion impériale et universelle diabolique et meurtrière. Les résultats de cette abomination monstrueuse sont que nous avons encore de nos jours, une fausse église, une fausse foi, un faux Jésus, un faux Dieu, un faux évangile, un faux salut, un faux baptême, un faux repas du Seigneur, bref, un faux christianisme qui aveugle les peuples avec ses prétentions depuis de nombreuses générations. L'influence néfaste de ce «mystère d'iniquité» (2 Thes. 2:7) pénétra rapidement tous les niveaux du christianisme jusqu'à nos jours. Tellement les principes sont ancrés dans la conscience des gens qu'il faut littéralement un miracle pour les délivrer de cet esclavage religieux babylonien que l'on retrouve à différents niveaux dans toutes les branches de ce christianisme contrefait: catholiques, protestants, orthodoxes, anglicans, épiscopaliens, luthériens, presbytériens, réformés, méthodistes, mennonites, amishs, adventistes, irvingiens, trembleurs, baptistes, darbystes, pentecôtistes, messianiques, charismatiques, mormons, témoins de Jéhovah, etc.. Ces nids de vermines ont remplis toute la terre de leur disgrâce qui déshonore le nom de Christ, et ils refusent tous de se corriger se croyant tous meilleurs l'un que l'autre, et ils périront tous autant l'un que l'autre au jugement dernier pour récolter ce qu'ils ont semé. Jamais au grand jamais une telle corruption abominable ne c'est vue en ce monde.
LE REPAS SACRÉ DE L'ALLIANCE C’est souvent par un repas que sont scellés des contrats entre partenaires humains, on voit cela surtout dans les grandes entreprises pour former des alliances, et la religion dite chrétienne en est pas l'exception. En fait, le repas sacré de l'Alliance est devenu le pivot central d'une prétendue communion fraternelle qui scelle ou consolide les relations entre les croyants et aussi avec le divin, de même qu'avec l'administration de l'organisation religieuse qui en élabore les principes. Il est connu sous les noms de Sainte-Cène, d'Eucharistie, de Pâque chrétienne, et de repas du Seigneur. Dans la majorité des cas, il consiste à manger un tout petit morceau de pain et de boire une toute petite coupe de jus de raisin, puisque la plupart des prétendus chrétiens n'utilisent pas le vin car ils abhorrent l'alcool. Et dire que dans les cervelles hébétées cela est considéré un repas est le comble du ridicule. A ce baser sur une telle notion idiote les gens risqueraient de crever de faim. Mais comme les imposteurs et déformateurs de la vérité disent, ce n'est qu'un repas symbolique. Oui, mais ce l'était aussi pour Jésus et ses disciples qui mangèrent à leur faim en célébrant la Pâque. Cette petite cérémonie des religions prétendument chrétiennes est complètement téméraire et n'a aucun support biblique, sauf en apparence. Elle est superficielle et idolâtre dans son essence et dans sa forme dénaturée. Elle est une contrefaçon de la vérité conçue pour séduire les crédules et les ignorants pour en faire des pantins de la secte religieuse qui l'utilise à son avantage dans ses prétentions scripturaires. Il n'y a rien de sacré dans ce repas religieux, tout est profane et vulgaire dans ce rapport de relations mondaines d'apparences chrétiennes. Mieux pour le chrétien réel de rester chez-eux et de partager un bon repas et un bon vin avec sa famille ou ses amis, dans la reconnaissance de la grâce de Dieu et de ses abondantes bénédictions. Car pourquoi prostituerait-il sa foi en assistant à un culte religieux qui déforme la vérité avec un rituel captieux et idolâtre? «Sauvez-vous de cette génération perverse», dit le Seigneur par la bouche de l'apôtre Pierre (Ac. 2:40). .
Dans le catholicisme mithriaque ce repas est nommé l'Eucharistie, ancien rituel de communion avec le dieu Soleil. Les papiste mangent leur dieu galette sous la forme d'un petit soleil dans lequel ils sont conditionnés à croire que Jésus habite corporellement. Le catholicisme est la seule religion qui mange son dieu à cause de la doctrine diabolique de la Transsubstantiation dans laquelle le prêtre prononce une incantation magique qui transforme le pain et le vin en le cops réel et le sang de Christ. Donc attention pour ne pas y briser un bras ou une jambe en mangeant la galette solaire, il faut l'avaler tout rond; et si elle colle au palais interdit d'y toucher, il faut la laisser fondre pour que Christ pénètre en nous dans son entièreté. Il est inimaginable que des gens puissent croire en une telle absurdité. Le protestantisme n'est pas mieux sauf sauf qu'il s'agit ici d'un rituel symbolique dans lequel, néanmoins, la présence de Christ s'y trouve d'une façon spirituelle imaginaire dans les éléments du pain et du vin. Chez les baptistes on voit les gens prendre un petit morceau de pain au signal donné, puis fermer les yeux en une supposée adoration, mais adoration de quoi et de qui, car il s'agit ici d'une pure idolâtrie d'un morceau de pain qui symbolise la présence de Dieu, et encore de quel Dieu puisque pour eux Dieu est trois personnes. A vrai dire, l'absurdité ne connait aucune borne, et comme nous l'avons déjà dit auparavant: «tous les cornichons ne sont pas dans des flacon». La notion que Christ est présent dans cette supposée communion divine, soit réellement ou symboliquement, est une claire indication qu'il n'est pas présent en ceux qui y participent. L'apparence est tout ce qui importe dans cette supercherie, elle donne aux gens l'illusion de participer à quelque chose de sacrée, ce qui leur donne un sentiment de bien-être qui satisfait leurs cœurs ténébreux. Ainsi ils sont convaincus d'être de réels chrétiens, lorsqu'en réalité ils ne sont que des fourbes, des imposteurs et des idolâtres qui s'imaginent obéir à l'injonction de Christ: «Faites ceci en mémoire de moi» (Luc 22:19). Mais tel ne fut pas l'enseignement de Christ à ses disciples. Par ces paroles qui anticipaient sa mort sur la croix, il leur disait en substance «comme je me suis sacrifié pour vous, vous devez vous sacrifier les uns pour les autres, faites ceci en mémoire de moi». Il n'établissait pas une ordonnance, rituel ou cérémonie, comme se l'imaginent les réprouvés et imposteurs qui se moquent de son enseignement en le transformant en caricature. Il ne s'agissait pas d'en faire un mémorial pour perpétuer le souvenir, mais d'établir le principe essentiel de la vie éternelle en créant une attitude active et constante dans le cœur de ses disciple qui s'exprime par le renoncement de soi dans un partage émancipé. Cela est évident car le partage est essentiellement un sacrifice, un renoncement de soi pour le bien-être d'un autre qui est d'une même foi, d'une même conviction engendrée par la Sainte Présence de Christ en nous. Prendre un petit morceau de pain et une petite coupe de vin ou de jus de raisin est un affront, un blasphème hautain contre la vérité révélée en Christ. Plus, c'est une attaque directe contre le sacrifice de la croix, une agression infernale contre la grâce du salut.
Bibliquement ces repas d’Alliance s’inscrivent dans le droit fil du repas pascal apprêté en toute hâte alors que se profile le passage du Seigneur au milieu des premiers-nés de l’Égypte et que le peuple d’Israël s’apprête, lui aussi, à sortir de la terre d’esclavage pour entrer dans la terre de la promesse. En prévision de cet Exode, le peuple est convié à manger la viande rôtie au feu, des herbes amers et des pains sans levain (Ex 12). Lors de la Pâque, fête familiale par excellence de la délivrance, Jésus prendra l’initiative de recevoir lui-même ses hôtes à table: «Allez à la ville; vous rencontrerez un homme portant une cruche d’eau. Suivez-le, et là où il entrera, dites au propriétaire: “le maître te fait dire: où est la salle, où je pourrai manger la Pâque avec mes disciples ?” Et il vous montrera, à l’étage, une grande pièce garnie de coussins, toute prête; faites-y pour nous les préparatifs» (Mc 14:13-15). Ainsi prépare-t-il ses disciples à célébrer la nouveauté du passage par la mort dans l’offrande ultime de sa vie en nourriture: «Et comme ils mangeaient, Jésus prit du pain, et ayant rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, et dit: Prenez, mangez, de même est mon corps. Ayant aussi pris la coupe et rendu grâces, il la leur donna, et ils en burent tous. Et il leur dit: De même est mon sang, le sang de la nouvelle alliance, qui est versé pour plusieurs. » (Mc 14:22-24). La célébration de ce repas pascal rend présent ce passage par la mort dans la foi et l’espérance des disciples du Christ: «Car toutes les fois que vous mangez de ce pain, et que vous buvez de cette coupe, vous annoncez en partageant, la mort de L’ADMIRABLE, jusqu'à ce qu'il vienne.» (1 Co. 11:26). C'est par le partage entre chrétiens que nous annonçons réellement la mort de Christ sur la croix. Celui ou celle qui refuserait ou négligerait de partager avec un autre frère ou sœur en besoins, serait ainsi coupable envers le corps et le sang de Christ, car le Seigneur a tout partagé avec nous en se sacrifiant lui-même pour notre délivrance. Nous devons donc faire de même envers les frères et les sœurs en besoins, nous sommes responsables de leur bien-être et nous devons y voir sérieusement de crainte qu'ils périssent et que nous en portions le fardeau sur notre conscience devant Christ. Les conséquences en seraient désastreuses.
Nous sommes tous, en tant qu'élus, membres du Corps de Christ et il ne convient pas qu'un membre ne soit pas conscient des besoins d'un autre membre et qu'il ne réagisse pas pour régler la situation en se sacrifiant pour son frère ou sa sœur afin de pourvoir à leurs besoins. Nous avons tous besoin l'un de l'autre pour notre existence en ce monde, et nous devons tous contribuer l'un envers l'autre pour combler les lacunes dans la mesure de la grâce qui nous est accordée gratuitement et inconditionnellement. Soyez donc consciencieux et honorable dans l'attente de la gloire à venir qui est notre héritage à tous, et ne vous relâchez point dans votre constance et votre renoncement dans la mesure que Christ vous accorde pour le bon fonctionnement de son Corps, car qui de nous voudrait faire honte au Chef de notre foi par sa négligence et déshonorer son nom glorieux. Ceci est le seul, le vrai et authentique Repas du Seigneur, assurez-vous donc d'y participer activement avec joie et persistance. Nous faisons appel ici à votre cœur et conscience, ne négligez pas de pourvoir aux besoins de vos frères et de vos sœurs en Christ pour qui Christ à payé le prix ultime de son sang verser sur la croix. Trop de gens dits chrétiens ignorent cet aspect fondamental de la croix et plusieurs chrétiens réels qui sont dans la misère de la pauvreté en souffrent à cause de cela. À vous d'y voir car le sujet est très sérieux et même urgent. Ne prenez pas pour acquis que si un frère ou une sœur ne vous en parle pas qu'ils n'ont pas de problèmes à ce niveau, ils veulent simplement vous en épargner le fardeau, ou ne sont pas à l'aise pour vous parler de choses personnelles. Vous devez donc être prévoyants et faire le premier pas pour vous renseignez sérieusement sur leur condition, afin d'évaluer équitablement la situation pour agir convenablement en répondant à leurs besoins. Ne dite jamais «nous allons prier pour eux et le Seigneur s'en occupera», car vous êtes les outils que le Seigneur utilise pour combler ces lacunes. Communiquer avec vos frères et vos sœurs en Christ et parler honnêtement avec eux de ces choses et offrez votre assistance sans quelle soit demandée et agissez en fonction de vos capacités; car un corps sans communication est un corps mort, mais vous êtes vivant en Christ si du moins l'Esprit de Christ habite en vous réellement.
Rien n'est plus riche en symbolisme que de briser le pain avec un ami ou un frère. Ce geste nous parle profondément de partage avec une personne qi nous est chère. Ainsi en est-il dans le christianisme authentique. Nous devons nous concentrer ici sur son aspect figuratif plutôt que littéral, car là est l'essence même de la vie éternelle. Comme nous avons vu plus haut le renoncement et le partage signifient une seule et même chose, «se sacrifier en faveur d'un autre», ce qui implique la résignation, le dévouement, et la bienveillance. Le renoncement ou partage est le principe fondamental du christianisme authentique. C'est le message central du Seigneur Jésus: «Ainsi quiconque parmi vous ne renonce pas à tout ce qu'il a, ne peut être mon disciple.» (Luc 14:33). Aucun n'est réellement chrétien sans avoir cette disposition d'esprit qui se dégage ouvertement dans ses actions ou sa conduite. Elle est la réaction naturelle évidente de la Sainte Présence de Christ en nous. Elle est un mouvement spirituel d'expression constante du don de soi dans un partage émancipé qui favorise le bien-être des relations fraternelles que nous entretenons dans l'Esprit de Christ. En toutes ces choses elle est la vie éternelle qui se manifeste en ce monde temporel dans une disposition perpétuelle indestructible de l'essence divine qui habite le cœur des élus. Un élu agirait-il injustement envers un autre élu, cela est impossible autrement il se rendrait coupable d'avoir violé l'alliance du sang de Christ et subirait les peines du châtiment éternel réservé aux réprouvés, ce qui est impensable. Pourtant plusieurs élus sont indifférents à la misère de leurs frères et sœurs en Christ qui sont en besoin et en péril constant au niveau de l'existence. Certains vont donner pour un instant pour venir à l'aide, nais leur don de soi n'a pas de consistance. Ils ont voulu bien agir mais après ils se retirent et les laissent dans leur misère qui ne tarde pas à revenir. Une telle situation est déplorable. «Suis-je le gardien de mon frère?» disait Caïn (Gen. 4:9). La réponse est pourtant simple, il s'agit d'un OUI retentissant. Or un chrétien réel n'a pas l'esprit de Caïn mais de Christ.
Chacun doit contribuer aux secours de ses frères en besoins et de façon constante. Les besoins peuvent êtres variés, certains qui n'ont rien, n'ayant même pas le nécessaire pour la vie en ce monde vont contribuer à l'instruction et à l'édification en rédigeant des documents selon la grâce qui lui est donnée. D'autres qui sont en moyens vont contribuer financièrement selon la capacité qui leur est accordée par la grâce de Christ; d'autres qui ont été bénis de connaissances informatique vont contribuer leur expérience pour la gloire de Christ; d'autres qui ont été donné des talents artistiques vont venir à l'aide en composant des cantiques merveilleux qui soulagent la misère de ceux qui sont écrasés par les pressions de la vie et qui ne savent plus comment s'en sortir; d'autres qui ont traversés des difficultés semblables mais qui ne peuvent donner rien d'autre vont contribuer leur encouragement; d'autres qui ont des possessions vont les vendre pour assister leur frère en besoin; mais tous peuvent contribuer quelque chose même s'il s'agit d'envoyer quelques dollars pour soulager la misère de leur frère, mais les dons doivent être constant et régulier pour ne pas laisser le frère dans le découragement. Mieux donner un petit montant à chaque mois que de ne rien donner ou de combler un besoin puis après se retirer. Le brisement du pain représente l'anéantissement de soi et la douleur de la rupture, car il est souvent douloureux de renoncer aux choses que nous aimons en ce monde pour en faire part à un autre. Tout comme «Ananias, avec Saphira sa femme, qui vendit une possession» (Ac. 5:1) préféra en garder une partie (possiblement pour leur vieux jours), plusieurs sont retissant à s'offrir pleinement pour supporter leurs frères en besoin. Certains peuvent penser que l'instruction que nous vous donnons ici est inconvenable et présomptueuse, mais ce n'est pas le cas, nous parlons par expérience et nous ne cherchons pas notre bien mais le vôtre.
De nos jours plusieurs religions supposément chrétiennes exhortent leurs membres à pourvoir à la construction de bâtiments prestigieux qu'ils nomment des églises au coût de millions de dollars, sans se préoccuper de ceux parmi eux qui n'ont rien à se mettre sous la dent ou qui ne peuvent arrondir la fin des mois, tellement ils sont en manque. Ils ne comprennent pas que l'Église est vivante et qu'elle est composée de gens comme vous et moi. Une telle abomination ne doit pas être la nôtre, il n'y a pas de place dans le christianisme authentique pour une telle attitude néfaste. Ils serait mieux pour eux de vendre leurs bâtiments et tout ce qu'ils contiennent, puis de ditribuer l'argent à part égal à leurs membres. Mais ne nous faisons pas d'illusions, une telle choses ne se produira jamais car leur dieu est Mammon, et ils sont assoiffés de puissance et de gloire, mais d'une puissance et d'une gloire mondaine qui contribuent à la satisfaction de la nature humaine déchue. Entre temps, endettés jusqu'à la lie, les pauvres ignorants qui les supportent risquent de crever de faim ou de se retrouver sur la rue sans logement convenable. Laisseriez-vous vos frères et vos sœurs en Christ traverser de telles épreuves? Pensez y bien, car la Parole de Dieu nous dit clairement que l'on récolte ce que l'on sème. Si on sème selon la chair nous récolterons selon la chair toutes les conséquences désastreuses que cela implique; mais si on sème selon l'Esprit nous récolteront selon l'Esprit toutes les bénédictions de la grâce que cela implique et cela pour l'éternité.
Nous touchons ici un avertissement de l'apôtre Paul que dans le contexte du Repas du Seigneur que des chrétiens s'assemblent pour empirer, et il nous en donne la raison. Mais regardons premièrement le contexte de son enseignement dans 1 Cor. 11:17-34:
Nous avons déjà toucher plusieurs points de cet enseignement de l'apôtre Paul qui évoque la communion fraternelle. En regardant ce texte, il est évident qu'il y avait de sérieux conflits dans cette communauté chrétienne primitive. Ceux qui étaient en moyens et que nous pouvons appeler «les riches», refusaient de partager les fruits de leurs labeurs avec les pauvres qui n'avaient rien. Après tout ils ont travailler tellement fort dans leur vie pour obtenir ce qu'ils ont, qu'ils croyaient avoir le droit de s'en réjouir aux dépends de ceux qu'ils pensait probablement être des paresseux et des vauriens. Le résultat est que plusieurs sont morts par manque de soins et par la négligence de faux frères qui ne voulaient pas supporter les pauvres dans leurs besoins. L'apôtre Paul doit intervenir en leur rappelant que Christ s'est entièrement sacrifié pour les siens, nous indiquant en même temps ce qu'est vraiment le Repas du Seigneur. Rien n'est plus essentiel à la communion fraternelle que le brisement du Pain de Vie, c'est à dire le renoncement de soi en faveur d'un autre et le partage des bénédictions que nous avons reçues. Partager c'est briser notre pain et en donner une partie à un autre dans la reconnaissance de la grâce de Dieu. Nous avons reçu gratuitement et nous devons donner gratuitement (Mat. 10:8), car en réalité rien de ce que nous avons nous appartient en propre, tout est au Seigneur, nous en recevons simplement les bénédictions, non pour s'en accaparer mais pour les partager dans la mesure du possible. Tout en ce monde est éphémère, nous n'apporterons rien de ce monde avec nous à notre mort et nos biens seront tous dissipés. Donc de votre vivant utilisez les avec sagesse et ayez de la compassion pour les autres qui partagent une même foi avec vous. Ayez du discernement en ces choses, car il est évident que tout ne se partage pas, il y a toujours des exceptions. Le partage consiste à se réjouir ensemble dans les merveilles de la grâce de Dieu, de venir en aide à ceux qui sont en besoins et de combler les lacunes.
Un bon nombre de chrétiens authentiques travaillent toute leur vie pour se payer un style de vie au-dessus de la moyenne et s'endettent davantage pour s'acheter une maison, une auto, ou un camp de vacances avec tous les jouets nécessaires pour s'amuser, ou encore pour faire des voyages ou des excursions en différents coins du monde, et doivent être en moyens pour rencontrer les payements sur leur carte de crédit et généralement ils sont sans inquiétudes en cela. Mais qu'ils ne s'imaginent pas que ces le cas pour tous les frères et les sœurs en Christ, car c'est loin de l'être. Nous sommes appelés à faire des bonnes œuvres, c'est à dire des réalisations gracieuses de la foi. Agissez donc en conséquence de la grâce qui vous est accordée gratuitement en Christ. Au lieu de vous payer un voyage ou un camp de vacance, prenez l'argent et donnez la à un frère ou à une sœur en besoins. Vous en serez richement récompensé par le Seigneur. N'oubliez pas qu'il y a plus de joie à donner qu'à recevoir (Ac. 20:35).
Pour mettre les choses à point, être riche ne signifie pas nécessairement d'être millionnaire et de vivre dans la luxure et tous les plaisirs de la vie sans restreintes. Certes qu'il y a des gens qui ont des vies extravagantes au-dessus du commun des mortels, mais ce n'est pas le sujet ici. D'ailleurs il y a très peu de vrais chrétiens dans cette classe supérieure, et s'il s'en trouve vraiment un nous n'en avons jamais entendu parler. Les chrétiens authentiques se trouvent généralement dans la classe inférieure de la société, et plusieurs se trouvent dans la classe moyenne. Toutefois il y a des prétentieux à tous les niveau de la vie en ce monde. Mais être riche signifie amplement d'être capable de répondre à tous ses besoins sans trop de difficultés et d'inquiétudes, et de vivre une vie qui est un peu au-dessus de la moyenne des gens, par comparaison à ceux qui n'ont rien ou très peu pour survivre. De même un pauvre n'est pas nécessairement un mendiant sur le coin d'une rue qui sollicite de l'argent des passants, ou un misérable et un va-nu-pieds. Un pauvre est une personne dont les ressources sont insuffisantes, qui possède à peine le strict nécessaire pour subvenir à ses besoins, et qui a très peu d'argent pour survivre, et généralement il n'en a pas du tout. Personnellement on se retrouve dans cette catégorie qui nous occasionne des misères et des découragement constants que nous surmontons par la foi en Christ, et dans l'anticipation d'une meilleure vie à venir dans l'héritage céleste qui est la nôtre, et la vôtre. Nous avons connus les douleurs atroces de la famine, une tentative d'assassinat d'un prétendu chrétien à cause que nous supportions le Texte Reçu Grec du Nouveau Testament, les menaces de pasteurs impies, la trahison de faux amis et de faux frères, les harcèlement des créditeurs sans-cœur, et des collecteurs d'impôts qui cherchent à nous dérober du maigre moyen de subsistance qui nous reste pour survivre. Nous connaissons aussi les mépris de la société, les injures des mécontents, la diffamation des réprouvés, et les misères d'une santé fragile, ainsi que la maladie et le manque de moyens pour se payer les médicaments nécessaire, et beaucoup d'autres épreuves trop horribles pour mentionner. Néanmoins nous vivons jour à jour et nous persistons dans la grâce merveilleuse de notre Sauveur et Maître, le Seigneur Jésus-Christ, pour vous exhorter à ne pas lâcher prise dans le brisement du pain de vie, ce qui st votre part active dans le Corps de Christ. Ceci va possiblement être notre dernier message, car nous perdons notre vision et il y a un danger réel que nous devenions complètement aveugle d'ici peu. Présentement nous avons perdu au-dessus de 50% de notre champ vision et nous ne pouvons plus reconnaître la profondeur et la distance des éléments qui nous entourent, et nous vous écrivons ce message avec grande difficulté, ne pouvant presque plus voir les lettres sur notre clavier. Médicalement il n'y a rien à faire pour notre condition, il est trop tard et nous sommes trop avancé en âge pour prendre les risques d'entreprendre des procédures dangereuses qui pourraient ruiner le reste de notre vie. Toutefois notre vision spirituelle n'est pas en défaut et nous voyons clairement la vérité et la révélation de la gloire à venir.
Il y a un temps pour toutes choses et nous avons accompli notre mission envers vous. Maintenant c'est un temps de repos et de réflexions jusqu'au jour ou le Seigneur nous rappellera à la maison. Notre passion est la Parole de Dieu et de vous partagez ses merveilles, vous allez nous manquer mais on va se retrouver en un meilleur monde. N'abandonner pas le bon combat de la foi, car plusieurs imposteurs sont parmi nous voulant notre perte. Nos ennemis vont se réjouir de cette nouvelle et vont doubler leurs efforts. Soyez donc vigilant et courageux. Nous avons obtenu un an de grâce en votre faveur, notre site web va demeurer ouvert pour cette période, sachez en profiter. Nous vous écrivons ces choses non pour vous attristez, mais afin que votre joie soit parfaite et que vous obteniez le discernement pour reconnaître le vrai Corps de Christ. Nous avons combattu le bon combat, désormais la couronne de gloire nous est réservée et nous la remettrons avec joie aux pieds de l'Agneau qui s'est sacrifié pour nous, car à Lui appartient toute la gloire, maintenant et pour tous les temps. Que le Seigneur vous comble de toutes les merveilles de sa grâce.
A Christ seul soit la Gloire
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