DES MATIÈRES CONTENUES DANS LE COMMENTAIRE
ET DES PRINCIPALES NOTIONS DU LIVRE SACRÉ.
Le chiffre romain indique le Commentaire.
ACALLAN, région basse et marécageuse située entre le· lac de Peten et la la-gunede Terminos, pag. cxxx etxxxvi. ACXITL ( Topiltzin -Quetzalcoiiuatl , dit Nacxit, dans l’Amérique centrale), dernier roi de T011an,d;ms l’Anahuac, pag. cclxvi .et note 3. — Concède la dignité royale aux princes quicliés, pag. ccLxvin, cclxix et 295.
AGAAB, nation puissante des bords du Lacandon, dans la Verapàz, pag.cclxiii. —Conquis par les Quicbés au xme siècle, pag. cclxxi.
AH-ACTULUL, nom commun de cinq tribus des environs du lac d’Atitlan, alliées anx Quicbés, pag. cclxxiv.
AHALGANA, nom symbolique d’un des princes de Xibalba, pag. 73.
AHALMEZ, nom symb. d’un des princes ’ de ^ibalba, pag. 75.
AHALPUH, nom symb. d’un des princes de Xibalba, pag. 73.
AHALTOCOB, nom symb. d’un desprin-■ ces de Xibalba, pag. 75. _
AHAU, nom d’une tribu antique dans Γ0-rient des Quicbés, pag. ceux et 207.
AHAU-AHPOP, titre suprême des rois du Quiché, pag. cclxxii.
AHAU-QU1CHE, nom d’une des trois maisons royales au Quiché et de sa capitale, pag. cclxiii et 207. — Son établissement définitif, pag. cclxxih. — Liste de ses rois et de ses dignités, pag. 345.
AHCANAB1L, nom d’un des chefs primitifs de la tribu de Tamub, pag. cclx. AHG1H (Celui du Soleil), devin, astrologue ou prêtre, pag. cxvm et note 3. AHQÎXB et AHQAHB, titre des chefs sa-criiicateurs quichés, pag. cclx, note 1, CCLXI CCLXVI. *
AH-TUCUR, Celui des Hiboux, ou gens de Tueurub, ville de la Verapaz, pag. cxxx, 188׳ et note 4.
AH-TZA (ou Itza), sobriquet donné aux Xibalbaïdes, pag. cxxx, cxxxi, 188 et note 4;
AH-TZ1QUINAHA, tribu de la race quichée qui régna à Atitlan, avec les Tzutohi-les, pag. cclxv. — Ses commencements, pag. cclxx, 207 et 217.
ΑΙΝΟ, peuple soumis au Japon. Avec quelle nation américaine il a de l'analogie, pag. xl.
AKBAL (la Marmite, en langue quichée), mythe antique, le vingtième signe dans les calendriers de l’Amérique centrale, pag. exxn. ־
ALL1GHEWI, peuple sans nom ni histoire aux Etats-Unis, pag. clxxiii. — Ses monuments, ibid.— Analogie avec ceux du Pérou et de Palenqué, ib. — D’où ils venaient, pag. clxxix. — Traditions de leur destruction, ib.
ALOM, QAHOLOM (Celui qui engendre, Celui qui donne l’être), mythe des anciens Nahuas et Quichés, pag. cxvn
et 2. — Se retrouve au Pérou, pag. CCXXXV11I.
AMARU ·(Tupac\ serpent sacré, mythe religieux au Pérou analogue à Quetzal-cohuatl, pag. ccxxxvin.
AMAUTA, sage et savant au Pérou, chargé des archives et écoles, pag. ccxx. — Un — est brûlé vif pour avoir inventé des caractères graphiques nouveaux, pag. ccxxvi!!.
AMÉRICAINS (indigènes). Caractères distinctifs des —, pag. xvm. — Leur infériorité relative, pag. xxi.— Leur supériorité sur les hordes nomades de l’Asie, ibid. — Moins sauvages qu’on ne le pense, ibid. — Causes de leur abaissement, pag. xxn. — De leur' ci-vilisp.tion première, pag. xxni. ■— Mys-1ère de leur décadence, pag. xxvni.— Leurs symboles primitifs, pag. xxix.— On en voit eji Europe avant Colomb et depuis, pag. xlviii et xlix. — Causes de leur décadence, pag. cxcvm..— Attachés à leurs usages, pag. ccl. .
AMÉRIQUE. Configuration physique de Γ—, page xxxnï. — Distances entre 1’—, l’Europe et l’Afrique, pag. xxxvi et xliii. — Rapports et distances de 1’— avec l’Asie, pag. xxxvn. — Avec la Chine, pag. xl — Usage des vaches et du lait en — avant Colomb, pag. xl, note 1, et clxvi. — Première date de partage des terres en —, pag. cxi. .
ANAHUAC. Vallée d’— au Mexique, pag. cxLii et note 1.
ANDES, chaîne de montagnes au Pérou, du nord au sud, pag. ccxvn.
ANTHROPOPHAGIE RELIGIEUSE. Origine de 1’—, pag. xxiv. — Se retrouve aux bords du Mississippi, page clxviii et clxix. — Si elle exista chez les Al-lighewis, pag. clxxxii. ■— Son. origine possible, ibid. — Chez les nations caraïbes du Darien et de la côte de Car-thagène, pag. ccvi et ccx. — Caractère distinctif de la race nahuatl, pag. CCXXIX.
ANTILLES. Séjour d’un peuple primitif aux —, pag. xxiv. — Migration primitive aux — pag. lxix.
AftTIS, peuple des Cordillères du nordest au Pérou, pag. ccxxi, note 1.
ANTISUYU, nom de la région étendue au nord-est du Cuzco, ibid.
APACHES, indigènes du nord du Mexique, sauvages destructeurs, pag. cxcv et cxcvi. — Leurs mœurs, ibid.
ARA, sorte de grand perroquet, symbole du feu et du soleil, personnifié dans Vukub-Cakix, pag. cxxvm, clvii, cc, ccxxvi et note 1.
ARI, fils de Mar-de-Holum, se laisse baptiser dans l’Irland-ik-Mikla, pag.CLXv.
ARICA, ville du Pérou,au bord de l’océan Pacifique, pag. ccxx.
ARISTOTE. Idées d’— sur la transatlantique, pag.· xcvn et suiv.
ART GRAPHIQUE, chez les nations caraïbes du Darien et de Carthagène,pag. ccv, ccvi et ccvii. — Au Pérou, pag. ccxix et note 2, ccxx, note 1, ccxxih. — Se perd au Pérou, pag. ccxxvi et c cxxvm.
ASTRONOMIE toltèque, pag. exivi I pé-revienne antique, pag. ccxxv.
ATIT, !’Aïeule, en langue quichée, mythe antique, pag. cxix, ■note 2. Voir Oxo-MOCO.
ATLA, ATLAN ou ACLA, ville antique de l’isthme de Darien sur l’Atlantique, pag. cxxx, note, 2, ccm, note 1, et ccv.
ATLANTIDE, son analogie avec l’antique empire de Xibalba, pag. cxxix, note 2. — Son étymologie, pag. cxxx, ibid.
ATLANTIQUE (Océan). Ses courants, pag. xlviii. — Sa navigation ancienne et idées à ce sujet, pag. lv, lix, xcviii et c.
ATOYAC, fleuve du Mexique, pag.ex.
ATUMU-RUNA, nom d’une population qui émigra anciennement au Pérou, pag. ccxxi et ccxxn.
AVILIX, nom du dieu dè la maison royale de Nihaïb, pag. 215. — Ses premiers autels, pag. 235.
AYAR, nom commun des quatre frères ou _ chefs créés à l’origine des temps au ' Pérou, pag. ccxxi et note 1. — Créés par Viracocha ; mythes analogues à ceux du Quiché dans le Livre Sacré, pag. ccxlii et CCXLIII.
AZTÈQUE (le plateau), région du Mexique où Xelhua fonde la ville de Cholu-lan, pag. ex.
BABYLONE. Oannès, homme-poisson, mythe à —; son analogie én Xibalba, - pag. cxxxix. — Mœurs dissolues de —
*a Teo-Colhuacan, pag. clxi. — Chez les Natchez, pag. clxviii.
BAKHALAL (ou BacalarI, ville du Yuca-. tan, fondée parles Tutul-Xiu, pag.cLvi. BALAM-AGAB, nom et titre d’un chef sa-crificaleur quiché, tige de la ,maison royale de Nihaïb, pag. cclxvi.’— Son origine, pag. 199.— Sa fin, pag. 287.
BALAM-CONACHÉ, fils du roi Qocavib, fait Ahpop-Camha, pag. cclxix. — Roi des Quichés, pag. cclxxii et 301.
BALAM-QU1TZE, nom et titre d’un chef sacrificateur quiché, tige de la maison royale de Cavek, pag. cclxvi. — Son origine, pag. 199.— Sa fin, pag. 287.
BARBE, cause'de la rareté de la — chez Jes Américains, pag. xx, note 1.
BÊTES FAUVES, image des tribus sauvages. Leur création, pag. 13.-—Combat-
tent la civilisation représentée par le défrichement de la terre, pag. cxxxvni et 123. — Convoquées par Xbalanqué, pag. 4C5.
BLANCS (Hommes). En Amérique, avant Colomb, pag. lxx, clxv et cc. — Fondateurs des édifices de Tiahuanaco, pag. ccxxm. — Si les mêmes que les Centzon-Vitzna.hn.as, pag. ccxxvi. — Ils sont massacrés, pag. ccxxvm et ccxxxin. — S’il y eut diverses migra-tiqns d’hommes —, pag. ccxliii .
BOCIIICA, nom d’un mythe ou demi-dieu du Cundinamarea, pag. ccxlvi et CCXLVII.
BOTTURIN1, savant Milanais cité pag. cxii, cxiv et cxlv.
BRANDAN (ou Saint Brandamis). Ses voyages, pag. lix.
BRAVO (Rio del Norte), nom d’un fleuve du Nouveau-Mexique et auxfron-tières du Texas. Les Toltèques établis sur ses bords, pag. clxiv. — Etat social des populations de ses rives, pag. CLXXXV.
BRÉSILIENS, nom d’une des divisions principales des races de l’Amérique du Sud, pag. cxcix. — Leur alliance avec les Caraïbes, pàg. ccxi. — Anthropophages, ibid.—Leur origine septentrionale, ibid.—Leur affinité et différences avec les Caraïbes, pag. ccxm.— Leurs alliances, ibid.
CABRAKAN, nom d'un fils de Vukub-Ca-kix, symbole des géants américains et synonyme de tremblement de terre chez les Quichés, pag. cxxvi et 35. — Vaincu et mis à mort par Hun-Ahpu et Xbalanqué, pag. cxxvn, Cl et suiv. — Son analogue au Pérou, pag.·ccxliii. —י Le mythe connu encore au Guaté-mala, pag. ccliii et ccliv.
CAHBAHA, nom d'un temple antique au Quiché, pag. cclxii, 3J9 et note 5.— Sa description, pag. 329,notes 2 et 3.
CAKCH1QUEL, nom d’un dialecte ■et d’une tribu d’origine quichée, puis du royaume ancien de Guatémala propre, pag. cclxv. — Ses commencements, pag. cclxx, 207 et 217. — Titres de ses princes, pag. 249 et note 2.
CAKOH-EKOME, titre des chefs de la tribu de Tamub, pag. cclxi.
CALENDRIER toltèque ou nahuatl. Son commencenlent, pag. cxn. — Système de —, pag. cxiv.—Par qui commencé, ■ pag. cxxiv. — Quand mis en vigueur, pag. cxlv.
CALIFORNIE (Haute et Basse), région située au nord-ouest du Mexique, pag. XL et clx. — Les Mexicains passent de labasse—àTeo-Colhuacan,pag. clxi.
CALUMET, pipe, symbole de paix dans l’Amérique du Nord, ses traditions, pag. cLxxvm. — Idées à' ce sujet, pag. CLXXXI1.
CANARIES (Iles), point d’arrêt entre l’Afrique, l’Europe et l’Amérique,pag. xxxvi. — Exemples prouvant la possibilité des anciennes communications, pag. xlvi. — Traditions à ce sujet, pag. lxviii, lxix et suiv.— Identifiées avec une ancienne tradition américaine, pag. lxxxviii, note 5.
CAN1L, nom patronymique des princes de Sacapnlas au Quiché, pag. cclxiii.
CAR, GARA, CARI, CALL etc., noms qui annoncent une origine caraïbe en Amérique, pag. ccvi, ccix et note 2.
GARA, chef d’une nation étrangère, mas; sacre les hommes blancs du lac de Ti-ticacaet de Chucuvitu, au Pérou, pag. ccxxvm, ccxliii.
CARAÏBES, nom d’une race célèbre dans l’Amérique du Sud. Idée de son existence et de son origine, pag. clxxxiii.— Différent des autres races indigènes, ibid. — Leur caractère et leur état social analogues à ceux des Néo-Mexicains, pag. cLxxxiv. — Leur décadence, pag. cxcvm. — Les — au Darien; leur race la même que la race nahuatl du Nica-■ ragua, pag. cciv. — Anthropophages en plusieurs endroits, pag. ccv et ccvi. — Caractère et état social des — et diversité de civilisation, ibid.—Sortis des régions du Mexique, ibid. — Mode de leurs migrations de l’Amérique du nord et du centre au sud, pag. ccvn, — Redoutaient la petitesse des yeux, pag. ccix. — Envahissent les Antilles, ibid. —Etymologie de leur nom, ibid., note 2. — Leur berceau, pag. ccx. — Nations identifiées avec eux, ibid. ■— Leurs migrations du nord au sud, ibid. — Leurs guerres, leurs institutions sociales, etc., pag. ccxi. — Anthropophagie religieuse, ibid. — Leur décadence, pag. ccxn. — Différences entre les — et les Guarani-Brésiliens, pag. ccxm.—Leur renommée parmi les au-très nations, ibid. — Leur influence, pag. ccxiv.— Leurs invasions au Pérou, pag. ccxxvm.
CARAMARI, nom d’une nation d’origine caraïbe de la côte de Carthagène, près du Darien, pag. ccvi. — Ses notions de l’art graphique, ibid, et ccvni.
CARAN, chef des Caras ou Scyri, débarque à la côte de Quito et donne son nom au port de Carangui, pag. ccxxxn. — Conquiert le royaume de Quito, ibid., notes 4 et 5. ־
CARCHAH (Nimxob), ville antique de la Verapaz, désignée comme une des entrees de !’Enfer ou de Xibalba, pag. cxxx.
— Théâtre des premières tentatives de révoltes contre cet empire, pag. cxxxiv. — Localité du Jeu de paume mystérieux, ibid, et note■ 3.— Siège de la conspiration permanente, pag. ccliv, 71 et 131. CARTHAGE, ville d’Afrique. Son corn-merce et sa navigation, pag. xcn. — Ses navigateurs découvrent une ile dans l’Atlantique, comparée à l’Amérique, pag. xcvm. — Etranger du continent saturnien ou transatlantique qui se montre à —, pa£. ci, civ et cvn. — Le magistrat de — défend à ses sujets de s’y rendre, pag. cvin..
CASTES. Origine de leur diversité, pag. cxxiii. — La — guerrière et sacerdo-taie créée pour la ·défense de Tulan, pag. cxxix, 195 et 1995 cxi.vin, clix, cl. — Ses dons, pag. 199 et suiv. — Mythe de sa création au Pérou, pag. ccxli et ccxlii. — Au Cundinamarca, pag. CCXLVII.
CAVEK, nom patronymique de la famille impériale du Quiché, pag. cclxv. — Ses premiers chefs, ibid. — Leurs ti-.très, pag. cclxvi.— Son berceau,ibid., note 1. — Commencement de sa grandeur, pag. cclxxiii. — Ses rois et les dignités de leur cour, pag. 339.
CAV1NAL, cité antique du Quiché, pag. cclxiii, note 3.—Capitale des Quichés, CCLXX11 et 299.
CAVIZIMAH, nom d’un abpop-camha ou roi en second qui régna avec Quicab Ier au Quiché, pag. cclxxvh.
CAYALA. Voir Paxil.
CENTEOTL ou CENTEOCIHUATL, déesse ou dieu du maïs, pag. cxvm et note 1 Voir Oxomoco.
CENTRE DE LA TERRE, titre de la divinité, pag. cxxi.
CE-TOCHTLI (Un Lapin), signe initial du calendrier toltèque ou naïiuatl, pag.
CXXIV.
CHAMALCAN, nom du dieu de la nation cakchiquèle, pag. 225, et note 2, pag. 249. , ·
CHAMIABAK, nom symbolique d’un des princes de Xibalba, pag. 73.
CHAMIAHOLOM, nom symbolique d’un des princes de Xibalba, pag. 73.
CHAMPOTON, ville antique du Yucatan et port sur le golfe du Mexique, pag. LXXX. Voir P0TONCHAN.
CHAN, Serpent, nom des habitants de Nachan (Palenqué), pag cix et note 2, cxxv et ce. Voir Coliiua.
CHANCA, nation du Pérou, pag. ccxxx, note 3. — Forme toltèque de son gou-verneraent, ibid.
CHAPA-NANDUIMÉ (Ara couleur de feu), nom de la citadelle des Chiapa-nèques. pag. clvii, cc, note 1.
CHAY-ABAH (Pierre d’obsidienne),sym-bole cakchiquel de la caste noble et guerrière, pag. cxliv, cl. — Divinité des Cakchiqnels, pag. 249 et note 1.
CHIAPANÈQUES, nation de l’Etat de Chia-pas,^pag. clvii. — Son origine, ibid. — S’ils sont des Centzon-Vitznahuas, pag. CLvm. — Leur habileté dans les aits, ibid. — Leurs luttes avec lesZot-ziles, ibid. — Leur établissement, pag. cxcix. — Affinités de leur langue, ibid.
CHIAPAS, nom d’un Etat du Mexique,pag. clvii, note 5.
CHIBCHA, nation du plateau de Bogota ou Cundinamarca, nommée aussi Muys-ca, pag. ccxlvii. —־ Son culte et son gouvernement, ibid.
CH1BCHACUM, divinité de la nation chib-cha, pag. ccxlviii.
CHICHEN-ITZA, ville antique du Yucatan, pag. cvn, note 3.— Sa fondation, pag. cxvii, note 1. — L’anneau du Jeu de paume de —, pag. exx, cxxxi.— Conquise par les Tutul-Xiu, pag. clvi.
CHICHILT1CALE, autrement Las Casas Grandes de Moctezuma, ville et ruines antiques aux bords du Rio-Gila au nord du Mexique, pag. cxci. — Si la même ville que Chïcomoztoc, ibid. — Son étendue,, ibid. — Par qui ruinée, pag. cxcii, çxcv.
CH1CHIMÉQUE, nom donné au Mexique à la plus ancienne population et aux. barbares de cette contrée, pag. xxvi. — Nations primitives,—, pag. xxix. — Date de leur première émigration, pag. Lxm. — Etymologie de leur nom, ibid., note 2. — Civilisés par les Col-huas, pag, lxxix. — Leur gouverne- . ment, pag, cxm. — Les mêmes appelés Quinamés. Voir ce nom.
CHICOMÊ-COHUATL (Sept-Serpents) , mythe mexicain, pag. exix, note!.
, Voir Centeotl.
CHÏCOMOZTOC (Aztlan) ou les Sept-Ca-vernes, si le même lieu que Chichilti-cale. pag. cxci.
CHICUNA-MICTLA, 011 les Neuf-Séjours des Morts, symboles de !’Enfer mexicain. pag. cxxxn.
CHICUNAOAPAN, ou les Neuf-Fleuves, épreuves ou passages symboliques de !’Enfer mexicain, pag. cxxxn.
CHIENS ' (Attelages de) au Nouveau-Mexique, pag.cxciv.
CHIHUAHUA, nom d’un Etat du Mexique vers le nord, pag. clxi.—Ruines antiques qu’on y trouve, ibid., note 1.
CHILI, région et Etat au sud du Pérou, dans l’Amérique méridionale, pag. eexx.
CHILMOL, nom d’un ragoût de piment fort ancien, pag. 129 et note 2.
CHIMALMAN, nom symbolique delà mère
de Quetzalcohuatl, mythe nahuatl,pag. XXX.
CHIMALMAT, nom symbolique delafemme de Vukub-Cakix, mère de Zipacna et de Cabrakan, pag. 35.
CHIMU, nom d’une nation antique du Pérou, désignée aussi sous celui de Géants, pag. ccxxu. — Arrive à la côte de Manta, .ib׳d. — Ses monuments, pag. ccxxm. —Entre dans les montagnes et redescend à la plage de Truxillo, ibid. — Race la plus anciennement civilisée du Pérou, pag, ccxxiv.— Sé sert d’instruments en fer, ibid., note?.— Ses vices, pag. ccxxv, ccxxxn, ccxxxm. — Supérieure aux Qquichuas , pag. CÇXLll.
CIHMU-CANCHU, nom vulgairement donné aux ruines des antiques édifices du Grand-Chimu, auprès de Truxillo, pag. ccxxm, note 3.
CHINCHA, nom d’une nation au nord du’ Cuzco au Pérou, d’où Chinch rsuyu à la région septentrionale, pag. ccxxi.—Si la même que ]es Chimus, pag. ccxxu, note?. "־-
CHINE (Empire de la). Ses anciens rapports possibles avec l’Amérique, pag. XXXIX, XL.
CHIQUIMULA DE LA SIERRA, ville et région au nord-est de Guatémala, pag. Lxxxiv. — Son origine, ibid, et cclvi.
CB1QUIMULA, autrement Tzolohché, ville ancienne du Quiché, soumise à la maison de Nihaïb, pag. 319.
CHIRIQUI, région sur l’isthme de Panama, colonisée par les Nahuas, pag. cci. — Par les Chorotecas; pag. ccm. — Ruines antiques qu’on y décou vre,zù?d.
CHOLULAN, ville antique du Mexique. Parqui habitée primitivement,pag.xxx. —Sa fondation, pag· lxxviii.—Xelhua, son fondateur, pag. ex et exxv.
CHOROTECA, nation de l’Etat de Nicaragua, pag. clvii.— Emigre à Nicoya, pag. ce. — Fonde Nagrando ou Léon, pag. ccn. — Emigre de Nicoya vers Panama, pag. ccn et ccm. —״Si elle bâtit les édifices antiques de Chiriqui et de Veragua, pag. cciv.
CHRONOLOGIE mexicaine, fort ancienne, pag. Lxiv. — Son commencement historique, pag. cxi. — maya, ses premières dates, pag. clv.—péruvienne, pag. eexx.
CIBOLA, autrement dit Pays des Sept-Villes, région au nord du Mexique,pag. CLXxxvn Voir Nouveau-Mexique.
CIHUA-COHUATL, ou la Femme-Serpent, mythe naliuatl, pag. cxx.
CINACANTAN, ville antique de l’Etat de Chiapas. Voir Tzinacantlan.
CIPACTLI on CIPACTONAL, mythe loi-
tèque, l’un des quatre grands dieux, pag. cxm, cxvii, cxx et cxxi. — In-vente■ du calendrier, pag. exxiv. — Origine possible de ce mythe, pag. CXXX1X.
CIUDAD-REAL, ville capitale de l’Etat de Chiapas, aussi appelée San-Cristobal, pag. cxxxi et clvii. .
COCHOCHLAM, nom d’un des chefs primitifs de la tribu de Tamub, pag. CCLX.
COCOHUA, ouïes Serpents-Jumeaux, mythe nahuatl. pag. cxx, note 2, et cxxvi.
CODEX CHIMALPOPOCA, manuscrit historique en langue nahuatl, pag. lxvi. — Son texte chronologique, pag. exi et cxvi.
CŒUR DU CIEL ET DE LA TERRE, titre de la divinité suprême, pag. cx1et3.
COHAH, nom d’une tribu antique dans l’orient des Quichés, pag. cclix.
COHÜATLICUÉ, ou le Jupon de Serpent, nom symbolique de la mère du dieu Huitzilopochtli, pag. cxxxvii, note 1.
COLHUA, nom d’une nation antique alliée aux Chichimèques, pag. xxvi. — Monarchie —, ibid. — Son antiquité, pag. xxix. — Etymologie du nom, ibid. ??ote 3.—Symbolisme du nom,pag. xxx. —Race civilisatrice, pag. lxxix et cix.
COLHUACAN, ville antique des Colhuas, pagi Lxvni. — Son origine,ibid.,note2, cix, note 2. — Si la même que Tlaxi-, Cohuhcan, pag. clix, note 4. — La secoude —. Voir Teo-Colhuacan. — La troisième—,ville antique de l’Anahuac, à 2 I. de Mexico, pag. clxii.
COLIMA, nation de la race nahuatl qui entre dans l’Amérique du Sud par l’isthme de Panama, pag. ccxxxi.
COLLA, nom d’un des quatre premiers hommes symboliques créés à l’origine des temps par Viracocha, mythe d’une des quatre races primitives du Pérou, pag. ccxxxviii.
COLLAO, nom de la région des Collas ou peuples méridionaux du Pérou, d’où celui de Collasuyu donné aux contrées qui s’étendent au sud du Cuzco, pag. CCXXI.
COLOMB (Christophe). Ses idées sur le lieu du Paradis terrestre, pag. liv.
COLORADO (Rio), ■fleuve au nord du Mexique, pag. cxciv.
COMAGRE,11om d’un des chefs ou princes des régions du Darien, pag. cciv.—Son . palais, ibid.— Il indique la mer du Sud à Balboa, pag. ccvn. ,
COMITAN, ville de l’Etat de Chiapas, pag. cl, etc.
COMÎTL. le Vase ou la Marmite, mythe nahuatl, pag. cxxii, note 1׳. Voir Con.
CON, aussi CON-TICCI-VIRACOCHA, my-
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the d’origine nahuatl au Pérou, pag. ccxxix.—Son temple à Liribamba,pag. ccxxxi. — Idée de ce mythe, pag. ccxxxviii. — Son étymologie, pag. ccxxxix et notes 2 et 3. — Ce qu’était cette divinité, pag. ccxl.— Descriptiori de l’idole à Liribamba, ibid. — Père de Pachacamac, ibid. — Disparait, pag. ccxli. — Son culte à Quito, ccxlv. — Au Cundinamarca, ibid. Voir Suha-Con.
CONQUÊTE de l’Amérique. Ses effets dé-sastre.ux, pag. xxi, xxn.
COPAN, ville antique de l’Amérique cen-traie, pag. lxxxiv. — Son origine, ibid. — Etymologie, ibid., note 1. — Si c’est là que se retira Xbalanqué, pag. CXLl, CCLVI.
COPICHOCH, nom d’un des chefs primitifs de la tribu de Tamub, pag. cclx. .
COTUHA, chef ou prince de Tzutuha, dans la Verapaz, adopté par les Quichés, pag. ccxxi.— Son mariage, ses alliances et ses conquêtes, pag. cclxxiv. — Jalousie contre lui et sa mort, pag. cclxxv et 301.
COTUHA II, roi des Quichés, assassiné, pag. cclxxvi.
COULEURS distinctes des races,pag. xix, Lxin, notes 2 et 3, — lxx et note 3, — CLXV,— CC, — CCXXIII, — CCXXVI, — ccxxvn, note 1, —’ ccxxvm, — ccxxxm, — ccxLin et 209.
COURANTS. Dans !’Océan entre l’Asie et l’Amérique, pag. xlii. — Entre l’Afri-■ que, l’Europe et l’Amérique, pag. xlv.
— Exemples à ce sujet, pag. xlvi et XLVIl.
CRANE (Déformations du") chez les nations américaines, pag. clxxi. — Symbole de son origine, ibid., note 1. — Sa raison d’ètrc, pag. ccn et note 3, pag. 125.
CRÉATEUR et FORMATEUR, titres desgrands dieux dans le Livre Sacré, pag. cxxui. — Leur analogue au Pérou, pag. ccxxxviii, ccxli., 7 et suiv. — S’assemblent pour former la caste noble, pag. 195. — Jaloux de sa perfection, pag. 203.
CREATION de l’homme, pag. c, cxxm, 7 et 17. — Autre, pag. 23. — Autre, pag. 25. — De la caste noble, pag. CXLV111 et cxLix, et cl. — Au Pérou, pag. ccxli et ccxlii. — Des choses, pag. 11.—De la terre, pag. 14.— Des animaux, pag. 15.
CRONIEN (le Continent) de Plutarque, pag. lx, c et suiv.
CUCHUMAQUIQ, nom symbolique d’un des princes de Xibalba, pag. 73.—Père de Xquiq, pag. 91.
CULTE DU SOLEIL, son origine, pag. xxv. — Apporté du nord et de l’est, ibid, et lxxi. — Chez les Natchez et les Floridieus, pag. clxvii, clxviii.— Chez les Allighewis, pag. clxxvi.
CUNDINAMARCA, nom donné au plateau de Bogota dans la Nouvelle-Grenade, pag. ccv. — Religion ancienne de scs habitants, pag. ccxlvi et ccxlvii. ־ CUNTISUYU, nom antique de la région qui s’étend à l'ouest du Cuzco, pag. ccxxi el'note 1.
CUSHIPATA, titre des prêtres de Pacha-camac, les plus sages du Pérou, pag. CCXLI.
CUZCO ou COZCO, cité et capitale antique du Pérou, pag. ccxxi. — Sa foh-dation par Pirhua, ibid. — Son abandon, pag. ccxxvn et ccxxvm. — Prise et rétablie par Inca-Zapana,pag. ccxxx. — Son étymologie suivant la langue nahuatl, pag. ccxxxix et note 3.
DAN. Qui était-il? pag. cxlvii. Voir Ta-mub.
DAN (Amag), ville antique et capitale de la tribu de Tamub au Quiché,pag. 237, cxlvii, note 1. — Sa situation, pag. CCLX1I.
DARIEN, nom d’une région voisine de l’isthme de Panama dans la Nouvelle-Grenade, colonisée par les N aimas, pag. cci. — Architecture des nations du —, pag. cciv.
DÉCADENCE de la race américaine, pag. ,xxvii, ccvm.—Ses causes, pag. ccxn.
DÉLUGÉ. Récit du — suivant le Livre Sacré, pag.,Lxv et 25, 27 et 29.—Son époque, pag. cxi. — Selon les Tupis, pag. eexm. — Selon les Yuracares et les Mbocobis, pag. ccxvï.
D1CUIL, moine irlandais du moyen âge, ses études, son ouvrage de Mensura orbis terræ, pag. lu et lix. .
DIEUX des Nahuas et Toltèques, échappés au naufrage, pag. lxxxii. — Leurs
. travaux, pag. lxxxiii. — Découvrent le maïs, ibid.—Sont quatre principaux, pag. cxm. — Se concertent pour le calendrier, ibid. — Dits Tedti, etc., pag. cxvi, cxvii, cxxi, cxxvn. — Se concertent pour former l’homme, pag. 7, 17, 23, 25.— Pour former la caste noble, pag. cxlviii, cxlix, cl, 195.— Jaloux de sa perfection, pag. 203.
DIGNITÉS de la cour quichée, pag. 311, 340, 344 et 346. ,
DIRIA, nation de l’Etat de Nicaragua, pag. clvii, ccn. .
DOBAVBA, nom de la mère des Dieux, mythe du Darien, pag. ccvi. — Analo-
, gue à Oxomoco, ibid.
ÉCLAIR (L’), un des trois signes de la trinité antique des Nahuas. pag. cxxi et 9.
EHECATL, mythe nahiiatl, le même que Ig, le vent, le souffle, etc., pag. lxxiu. -ך Le même que Hurakan, la "tempête, etc., pag. cxxi et cxxn. — Donne la mort aux dieux, pag. cxliii.
ENCENS, quel était celui des tribus qui-cbées, pag. 241.
EPOQUES, dites de la nature au Mexique, qu’étaient-elles, pag. lxv et suiv. — Celle du vent, pag. lxxx. —La même que le grand ouragan, ibid. — Première —, dite toltèque, pag. cxi. —De l’émigration toltèque, pag. cxxxm.
EPREUVES de Xibalba, symboles des mystères antiques, pag. cxxn, note 2. — Où entrent Hunhun - Ahpu et Vu-kub Hunahpu, pag. 85 et 86. — Où entrent Hun-Ahpu et Xbalanqué, pag. 149, 155, 159 et suiv.
ETUDES américaines, comment encouragées, pag. 11.
EZCUINTLA, ville de l’Etat de Guatémala, fondée par les Nahuas, pag. cci.
FER (le), s’il fut en usage en Amérique avant Colomb, pag. ccxxiv et note 2.
FEU (le), son origine par Tohil, pag. 215 et note 2. — Enveloppé, signe de la majesté, mythe toltèque, pag. 227. Voir Tlaquimilolli.
FLEURS (les) de Xibalba coupées et enlevées par les. fourmis, pag·. 153.
FLORIDE, région de l’Amérique du Nord, bordant le. golfe du Mexique. Les Na-huas s’y montrent pour la première fois, pag. lvi-lxxviii. — Les Toltè-ques dans la—, pag. clxv. — Habitants de la —, ibid. — Ses divers états, pag. clxvi. — Leurs coutumes, ibid. —Leur organisation sociale, pag. clxvii.
FO, ou le Renard, divinité des Chibchas, pag. ccxLviii. ·
FOURMIS (les) coupent et enlèvent les fleurs de Xibalba, pag. 155. — Attaquent les Xibalbaïdes après la victoire de Hun-Ahpu, pag. 187. .
FOUSANG, region à l’est de la Chine qu’on croit découvrir en Amérique, pag. xxxix. — Son analogie avec le pays des Natchez èt des Floridiens, pag. XL, note 1.
GALEL-AHAU, titre du roi de la maison de Nihaïb, dans l’empire quiché, pag. cclxxiii et 344.
GALERES ou navires en Amérique, pag. LVII-LXIX-LXXIX 6t 78.
GALE-ZIHA, nom d’une famille puissante au Quiché, pag. cclxiii.
GANCUEN, 011 Rio-Pasion, nom d’un fleuve au Peten qui s’unit au Lacan-don, pour former l’Uzumacinta, pag. cxxx.
GARCIA PELAEZ (Mgr don Francisco de Paula), archevêque de Guatémala, |
auteur de mémoires sur !'histoire de cette ville, pag. xm.
GEANTS au Mexique, pag. lxvi, cxxvn. — au Pérou, pag. ccxix, note 1. — Autres, dits Chimus, pag. ccxxn, ccxxxii. Voir les mots Quinamé et Chimu.
GÉOGRAPHIE (idées sur la) physique, pag. xxxii et suiv. xlv et suiv.״— sur la — mythique, pag. xcm, c et suiv.
GHOVEL ou HOVEL, dit aussi Zacatlan, ville ancienne, aujourd’hui remplacée par celle de Ciudad-Real de Chiapas, pag. cxxxi, CLV11. _
GILA (Rio), fleuve entre le Manque et la haute Californie, pag. clx. — Traces des Toltèques sur ses bords, ibid. — Ses ruines antiques, pag. clx, clxi, clxiv.
GOUVERNEMENT (forme du) chez les Toltèques, pag. cxvnetnote2. —chez les Natchez et les Floridiens, pag. clxvii et cLxvni. — Chez les Incas, pag. ccxxx. — An Bogota, ccxlvii. Au Zenu, pag. ccxlix.
GRAND’.! ״RE, titre symbolique des grands dieux nahuas, pag. cxvm. — Traditions qui le rappellent chez les Caraïbes, pag. ccxvi, 3.
GRAND-PÈRE, titre symbolique des grands dieux nahuas, ibid.
GROENLAND, région septentrionale de l’Amérique, découverte par les Scandinaves, pag. liv. — Carte antique du —, pag. xcvi. — Si de là sortirent les Néo-Mexicains, pag. cxc.
GUATÉMALA, région de l’Amérique centrale où arrivent les Nahuas, pag. lxxix. — Noms anciens de ce pays, pag. cxxv.
GUCUMATZ, ou le Serpent orné de plumes, mythe antique, en quiché, le même que Quetzalcohuatl en langue nahuatl, pag. cxn. — Titre commun des grands dieux nahuas, pag. cxvm. — Idée du symbole de — ibid, note 2. — cxx. — Comparé au mythe scandinave, pag. cxxi, note 1 — Trouve son analogue au Pérou dans Viracocha, pag. ccxxxvm. — 2, note k, 7. Voirie mot Quetzalcohuatl.
GUCUMATZ, nom d’un roi du Quiché, pag. cclxxvi. — Grandeur de son règne, ibid. — 307, 318. — Transporte sa capitale à Gumarcaah, pag. CCLXXVI.
GUERRE des dieux et des géants, son origine, pag. cxxv. — 31 et suiv.
GUMARCAAH, autrement dit Utlatlan, ancienne capitale du Quiché propre, .berceau probable des Hun-Ahpu, pag. cclv. — Gucumatz en fait sa capitale, pag. 307. — Abandonnée, pag. 309.
HACAVITZ, nom du dieu de la tribu
d’Ahau-Quiché, donné à la pi entière ville des Quicbés, pag. cclxvii, 215, 235. .
HERCULE, visite le continent cionien, pag. ci. — iMelkartos phénicien, pag. cm. note 5.
HOLON-CHAN-TEPEUH, chef des Tutul-Xin. pag. envi.
HONDURAS, région de l’Amérique cen-traie ·au nord-est de l’Etat de Guaté-mala, page cli.
HUEHUETENANGO, ville antique de 1Έ-tat de Ajuatémala, dite aussi Chinaba-liul eÆakuleü, pag. cclxiv.
HUEY-XALAC, ville antique des Toltè-ques. page cxxxiv, note 1.
HUITZILOPOCHTLI (Celui qui est sorti de la gauche, le bâtard), divinité mexicaine, mythe des Nahuas métis, pag. cxxii. Sa naissance , pag. cxxxvn, note 1, cxl.
HUN-AHPU (Un tireur de sarbacane), nom d’un mythe et d’un héros nahua, vingtième signe du calendrier quiché, pag, exix, exx, note 2. — Suscité contre Vukub-Cakix, pag. cxxvi, 35. — Vainqueur des géants, pag. cxxvn. — Combat contre Xibalba, pag, cxxvm.. — Utlatlan, son berceau, pag. cxxxiv, ccliv. — Sa révolte et est appelé en Xibalba, pag. 133. —Symbole de la guerre des Nahuas métis contre Xi-balba, pag. cxxxv, cxxxvm. — Sa naissance, pag. cxxxvn, 107. — Ses luttes, pag. cxxxvm, 141. — Sa défaite, pag.cxxxix. —Ressuscite 110m-me־poisson, pag. 177. — Comme un saltimbanque, ibid. — Vainqueur de Xibalba, pag. cxl, 187. —Apothéose des —, cxliv, cxlv. !Mythe analogue au Pérou, pag. ccxliii. — Change ses deux frères aînés en singes, pag. 115. — Ses travaux d’agriculture, pag. 119. — Joue à la pelote en Xibalba, pag. 151. — Sa mort, pag. 165. — Livre aux flammes, pag. 175. — Adoré par Xmucané, pag. 191.
HUNAHPU-QOY, nom d’une pièce scénique indigène au Guatémala, relative aux héros de la mythologie antique, pag. ccLiv. — Son origine, pag. 113..
HUN-AHPU-UT1U, héros antique des Na-huas, meurtrier d’Utïu, pag. lxxxvi. — L’un des quatre grands dieux, pag. cxvm, 2.
HUN-AHPU-VUCH, héros antique et. mythe des Nahuas, pag. cxvm, 2.
HÜN-BATZ, symbole de la race nahuatl pure, onzième signe de plusieurs calendriers de l’Amérique centrale, pag. cxxxv, cxxxvm, cliv.—Son occupation, pag. 107.— Identique avec Ozo-matli du calendrier mexicain, ibid. — Changé en singe par .Hun-Ahpu, pag. cxxxm, 113. — Étymologie de ce nom, pag. 69. —·Invcqué avec Hun-Chouen par les peintres, sculpteurs et musiciens, pag. 117.
HUN-CAME (un Mort), symbole des rois de Xibalba, pag. cxxix. — Trompé et mis à mort par Hun-Ahpu et Xbalan-qué, pag. cxl, 73, note 1, et 185.
HUN-CHÔUEN, symbole de la race pure des Nahuas, pag. cxxxv, ccliv. — Son occupation, pag. 107. — Signe du calendrier maya, ibid., note 5· — Identique avecPiltzinteuctli,ïihd.— Changé en singe ,par ses frères, pag. cxxxvn, 113. — Étymologie de ce nom, pàg. 69.— Invoqué par les peintres, sculpteurs et musiciens, pag. 117.
HUNHUN-AHPU, fils de Xmucané, symbole de la première révolte des Nahuas contre l’empire de Xibalba, pag.,cxxxy. — Ses occupations, pag. 71. — Mis à mort, pag. cxxxvi, 89. — Sa tète changée en calebasse, pag. 89. — Parle à Xqniq et la rend mère, pag. Cxxxvn, 92. — S’il est identique avec Nanahuatl, pag. cxlii. — Son apothéose, pag. cxlv, 193. Son histoire, pag. 69. ־
HUN-PIC-TOK, on Un de 8,000 lances, divinité ·des Mayas, pag. cxxii.
HURAKAN, symbole de l’ouragan, du vent, de la tempête, titre de la diyi- . nité suprême,pag. 9,cxx. — Analogue au Pérou, pag. ccxxxv. .
IG, le Vent, le Souffle, au Quiché, le même que Ehecatl au Mexique, pag. Lxxiii. — Son temple souterrain, pag. cvii, note 2, evin, note 1, cxxi, cxxn.
ILANCUE1TL (Vieux Jupon), femme symbolique d’Iztac-Mixcohuatl et mère des races américaines, pag. xxix, lxxvi.
1LLAPA, Trinité du tonnerre chez les Qquichnas , pag. ccxxxv, note 2, çcxxxym. " .
ILLA-TICC1-V1RACOCHA, mythe antique au Pérou, pag. ccxxxvn. — Son sens étymologique, ibid., note 2, ccxxxvni, 11016 2, ccxxxix.Voir le motViRACOCiiA.
1LOCAB, nom d’une tribu antique, corn-pagne de celle ,de Tamub au Quiché, pag. CLix. — Émigre de Tulan, ibid., ccLin, cclx. — Étymologie du nom, ibid., note 3. — Noms de ses chefs, pag. cclxi. — Sa capitale antique; pag. ccLxni, 237. — Etendue de sa domination au Guatémala, pag. cclxiii, cclxiv. — Vaincue par les Quicbés, pag. cclxxiv, 303.
IMOX, premier signe des calendriers d־e !’Amérique centrale, symbole de la race nahuatl, pag. lxxii. — Identique avec Cipactli, pag. 71.
INCA, titre royal et patronymique clans la dernière dynastie péruvienne du Cuzco, pag. ccxxni.
INDIGÈNES. Voir le mot Américains.
INFÉRIORITÉ des Américains et ses causes, pag. xxi.
IQI-BALAM, nom symbolique d’un des quatre chefs sacrificateurs des Quichés, pag. cclxvi. — Son origine, pag. 199. — Sa fin, pag. 289.
IRLANDAIS en Islande, pag. lix, lxi.— Anthropophages, pag. lxxiv.
IRLAND-IK-MIKLA,ou la Grande-Irlande, région de !’Amérique du Nord, dite aussi Hvitramanaland ou terre des hommes blancs, pag. clxv. —Ari, fils de Mar de Holum, s’y laisse baptiser, îôid.
IROQUOIS et Hurons, s’ils eurent les coutumes déréglées des nations de la race nahuatl, pag. clxix, clxx, clxxi. — Aident les Leni-Lenape à détruire les Allighewis, pag. clxxx et suiv. — Comment ils devinrent anthropophages, pag. CLxxxn.
ITZA ou ITZAOB, nom d’un peuple qui fut chassé de Chichen-Itza ét de Polon-chan par les Tutul-Xiu, pag. cxxx, cxxxi. Voir le mot Ah-Tza.
ITZPAPALOTL, mythe nahuatl, le même que Xquiq. Voir ce nom. — Si c’est le même que le mythe de Comitl, pag. ccxxxix, noie 2. — 91, note 1.
IXCUINAMÉ, nom d’une secte impure et cruelle à Panuco et à Tollan, pag. clxix. — Analogie avec les Nahuas et les Xibalbaîdes, ibid., note 2.
IXTL1LXOCHITL, auteur mexicain, arrière-petit-fils du dernier roi de Tetz-cuco, cité pag. cxn, cxxvii, cxxxi, cxxxiii. — Ses dates incorrectes, pag. CXLV.
IZMACHI, ville antique et capitale de la nation quichée au Guatémala, pag. cclXxiii 299
IZTAC-MIXCOHÙATL, mythe primitif du père de la race américaine, pag. xxix. — Symbole du tourbillon, pag. lxxvi.
IZTAYÜL, fils de Balani-Conaché, roi des Quichés, nommé Ahpop-Camha, pag. ccLxxin. — On excite sa jalousie contre Cotuha, pag. cclxxv. ■— Roi des Quichés, pag. cclxxvi, 301.
IZTAYUL II, roi des Quichés, pag. 317.
IZTLAHQACAN (Santa-Caiarina)? hour-gade indigène de la république de Gua-témala, ville autrefois importante sous le nom quiché de Ziha, pag. cclxiii et note 2. — (San-Miguel), autre ville de la langue marne, importante naguère, pag. cclxiv, cclxv.
JAPON, ses rapports possibles anciennement avec l’Amérique, pag. xxxvm.
JEU DE PAUME, symbole de la révolte et de la guerre des Nahuas contre rem-pire de Xibalba, pag. cxxxiv, notes 4 et 5. — Ses instruments, pag. 83. — Découverts par le Rat à Hun-Ahpu et à Xbalanque, pag. 127. — Partie de — en Xibalba, pag. 151, note 1.
JEUNE, ses austérités chez les anciens Quichés, pag. 227, 331.
JUARROS, auteur guatémalien, son histoire citée, pag. xm.
LACANDON, autrement dit Chixoy ou Rio de Sacapulas, grande rivière de l’Etat de Guatémala$ formant, avec le Rio Gancuen ou Pasion, le fleuve Uzuma-cinta, pag. cxxx. — Son cours et sa source, pag. cclxiii, noZel.
LAIT (Usage du) en Amérique avant Colomb, pag. xl, note 1, clxvi.
LAMBAYÈQUE ou LLAMPALLEC, ville antique de la côte du Pérou sur l’océan Pacifique; son origine, pag. ccxxxm. — Son dieu et ses rois, pag. ccxxxiv et note 1. — Analogie avec les Wabi et les Chiliens, ibid.
LAS CASAS, écrivain espagnol du seizième siècle, cité au sujet des signes graphiques des Américains, pag. vm.
LÉNI-LENAPE, nation sauvage de l’Amérique du Nord, détruit les Allighewis, pag. clxxx.
LETTRES (Usage des) en Amérique avant Colomb, pag. vm. — Au Darien, pag. ccv, ccvi, ccvii. — Au Pérou, pag. ccxix et note 2, ccxx, note 1. — Se perd au Pérou, pag. ccxxvi, ccxxvm, note 1.
LIRIBAMBA, ville antique, capitale des Paruhuas au sud de Quito, pag. ccxxxi. — Son temple de Con et son idole, pag. ccxl. ,
LIVRE SACRÉ (le), premier ouvrage américain qui soit imprimé, pag. 1. — Son objet, pag. vu. — Son auteur, pag. vm. — Par qui trouvé et conservé, pag. xn. — Analyse du —, pag. x. — Son origine, pag. lxxvii, 5. — Cité pag. cxv, cxx, cxxi, cxxxv, CXLIV; CXLVIll, CXLIX, CLX, CCXXXV1.
LOTZQUIQ, remèdes mystérieux pour les yeux, pag. 137, note 1.
LOUISIANE, région de l’Amérique du Nord, baignée par le Mississippi, pag. clxiii. — Ses monuments antiques, pag. clxxii. — Leur analogie avec ceux du Pérou, ibid.
MADOC-AP-OWN, prince gallois, voyage en Amérique au moyen âge, pag. lxi.
MAHQUINALON, nom symbolique d’un des chefs primitifs de la tribu de Ta-mub, pag. cclx.
MAHUCUTAH,nom d’un des quatre chefs sacrificateurs de la nation quichée, tige de la maison royale d’A11au-Qui-24
ché, pag. cclxvii. — Son origine, pag. 199.—Sa fin, pag. 287.
MAIS, plante nutritive particulière à 1Ά-mérique ; son invention suivant la tradition quichée, pag. 195.
MALAIS (les); leurs entreprises maritimes, pag. xli.
MAM, ou !’Aïeul, mythe antique ·dans l’Amérique centrale, pag. exix. Voir le Grand-Père.
MAM ou MAM-YOC, nation ancienne dans l’Etat de Guatémala,pag. ccliv, cclxi, note 4. cclxii. — Etendue de sa domination, pag. cclxiv. — Ses villes principales, ibid.
MAMAH, nom d’une haute montagne au nord-est du Quiché, dans l’Etat de Gua-témala, pag. cclxii.
MANCO-CAPAC, mythe antique et héros divinisé au Pérou, pag. ccxvm, ccxxi, CCXXIX, ccxxx, ccxxxvm.
MANCO-CAPAC 111 et IV, rois du Cuzco, pag. ccxxvi.
MANDINGA, nation habitant la région de l’isthme de Panama, pag. ccm.
ΜΑΝΤΑ, ville antique et port de mer sur l’océan Pacifique vers FEqftateur, pag. CCXXII.
MAYAPAN, ville antique, capitale des Mayas dans !’Yucatan, pag. lxxxiv. — Son origine, ibid. — Conquis par les Tutul-Xiu, pag. clvi.
MEAVAN, nom d’une montagne célèbre dans la mythologie quichée, pag. cxxvn — 59.
MER (la) indiquée comme ayant été passée parles indigènes de l’Amérique, pag. 5, 233, 291, 293.
MeRÔPIDE (la) de Théopompe dans ses analogies avec l’Amérique, pag. xeix, cvi.
METELLUS CELER reçoit plusieurs Indiens du roi des Boii ", pag. xlix.״
METZLAPOHUALLI, calendrier sacré des Toltèques, pag. exiv.
MEXICAINS, nation du Mexique. Leur gouvernement, pag. cxiii. — Passent de lapéninsuleàe Californie àTeo-Col-huacan, pag. clxi. — Tributaires à Aztlan-Chicomoztoc, cxcu. t— Emigrent, ibid.
MEXICO, ville capitale du Mexique etaussi nom de la région où, suivant le Livre Sacré, émigrent les Yaqui, pag. clx, 247.
MEXIQUE, région considérable dans TA-mérique septentrionale, sa population primitive, pag. xxiv. — Symboles de ses premiers habitants, pag. xxix. — Autres, pag. ex.
MICHOACAN, région qui forme un des Etats du Mexique, pag. clx.
MICTIM, région atlantique citée par Pline, indication présumée de !’Amérique, pag. cv.
M1CTECACIHUATL, ou Femme qui étend les morts, mythe antique des Toltè-ques, pag. cxxxn.
MICTLAN (ou Mitla), ville antique de l’Etat d’Oaxaca au Mexique; ses monuments photographiés, pag. n, note 2. — Nom symbolique indiquant le septentrion, pag cv. — Sa signification, pag. cxxviii, note 2, 70, note 1.— Symbole de l’enfer, ibid. — Ses épreuves ou séjours divers, pag. cxxxn. — Autre ville de —, fondée par les Nahuas, au Guatémala, pag. cci.
MICTLANTEUCTLI, ou le Seigneur du séjour des morts, mythe antique des Toltèques, le même que Hun-Camé, pag. cxxxn. — Xolotl lui demande un os de mort, pag. cxliii.
MIGRATIONS des nations américaines. Une de leurs sources, pag. clxxxi. — Comment elles s’opèrent, du nord au sud par l’isthme de Panama, pag. ccvn. —Des Brésiliens et des Caraïbes, pag. ccxiii.—De quelle manière, pag. ccxv. —Au Pérou, pag. ccxx, ccxxi. — Des Chimus, pag. ccxxii, ccxxm. — Au-très, pag. ccxxv, ccxxvi, ccxxvm.— Remarques à ce sujet, pag. ccxxvm, CCXXX, CCLI.
MISSISSIPPI, grand fleuve de l’Amérique septentrionale. Toltèques sur ses bords, pag. cLxiv. — Quelles furent ses nations, pag. clxvi. — Leur état social, pag. cLxvn. — Leur religion, pag. CLXvm.—Ses monuments pyramidaux, pag. CLxxn.
MIXCOHUATL, ou le Serpent nébuleux, mythe mexicain et nahua, sa signification, pag. lxxvi et note 7.
MIXTECATL, symbole de la race des Mix-tecas dans la province d’Oaxaca, pag.
. XXX.
MOMOSTENANGO, ville antique dite aussi Patzaka, capitale de la maison royale de Nihaïb au Quiche, pag. cclxxiii.
MONTÉZUMA, monarque mexicain, fait prisonnier par Cortès; son discours aux grands de son royaume, pag. cix. — Roi d’Aztlan-Chicomoztoc, pag. cxçi, cxcu.
MUSÉE américain au palais du Louvre, pag. n, note 1.
MYTHES du monde ancien sur les terres transatlantiques, pag. xcm. — géographiques, pag. xcm et xeix. — américains, pag. cxvn, ccxxxv.
NACXIT, dernier roi de Tollan, fonde l’empire de Huey-Tlato , etc. Voir Acxitl
NAGARANDO ou NAGRANDO, ville antique fondée par les Chorotecas sur le
lac de Managua dans l’Etat de Nicara-gua, pag. ecu.
NAHUA on NAHUATL (Race), ses sym-boles, pag. xxix. — Ses notions des géants, pag. lxviii. — Son arrivée au Mexique, pag. lxxiii, lxxviii.—Jalon-sie qu'elle inspire, pag. lxxx. — Ses chefs victimes de l’inondation et de !,ouragan, pag. lxxxi.— Ses premières luîtes, pag. lxxxiv, lxxxv, lxxxvi.— Date antique qui les concerne, pag. cxi. —Epoque de leur déluge, ibid. — Dé-libèrent sur le calendrier, pag. cxm. — Leur histoire, pag. cxv. — Sym-boles des héros —primitifs, pag. cxvn. — Commencement de leurs luttes, pag. cxxiv, cxxv. — Vainqueurs des Quinamés, pag. cxxvn. — Provinces habitées par eux, pag. cxxxm. — Se soulèvent contre les Quinamés, ibid.— Image de leur révolte dans Hun-Abpu et Xbalanqué, ibid. Vainqueurs de Xibalba, pag. cxl, cxli. — Leurs grandes migrations, pag. clv. — Leur fuite vers l’océan Pacifique,pag. clviii. —Chassent les Chorotecas, pag. cc.— Emigrent au Nicaragua, ibid.—Au Pa-nama et au Darien, pag. cci, ccn. — Pourquoi ils dépriment la tête des en-fants, ibid., note 3. — Emigrent au Pérou , sous le nom de Cara, pag. ccxxvm.—Leurs caractères distinctifs, pag. ccxxix. — Autres émigrations au Pérou, pag. ccxxxi.— Antres du Mexi-que, ibid. — Leur religion supplantée par celle des Qquichnas, au Pérou,pag. CCXXXVI, CCXLIII.
NAHUAL ou NAUAL, qualification indi-quant la sagesse et la puissance dans le Livre Sacré, pag. 11.
NAMBI-HINA-YACA, la Cité grande du Singe, nom indigène de !,antique Chia-pa-de-Indios, dans l’Etat de Chiapas, pag. clvii, note 6.
NANÀHUAC, titre ou nom divin dans le Livre Sacré, pag. 211, note 3.
NANAHUATL, le Vérolé, symbole mysté-rieux de la race nahuatl, pag. cxlii et notes 2 et 3. — Se jette dans les flam-mes et est transformé en soleil, pag. cxliii. — Pyramide érigée à son hon-near à Teotihuacan, pag. cxlv.
NANNE-YAH, ou les Collines de Dieu, nom donné par les Choctaws aux mo-numents pyramidaux ; comparés à la pyramide de Cholulan, pag. clxxvii. NATCHEZ, nation habitant les bords du Mississippi dansTAmérique duNord ; son gouvernement, pag. clxvii. — Son culte et sa dissolution, pag. clxviii. — Son origine, pag. ci.xx. — Déprime la tête des enfants, pag. clxxi.
NICARAGUA, région de TArnérique cen-traie, pag. clvii. — Colonisée par les Nahuas, pag. cci, ccn.
NICOYA, nom d’un golfe et d’une région de TArnérique centrale, pag. clvii. — Colonisée par les Chorotecas, pag. ccm.
N1HAIB, nom patronymique de la seconde maison royale de Tempire quiché, pag. cclxxi, etc. — Ses conquêtes et sa grandeur, pag. cclxxiii. — Ses rois et dignités, pag. 343.
NIL, nom antique d’un fleuve de l’Amé-rique centrale sur l’océan Pacifique, conquis par le roi Quicab l·‘, pag. CCLXXVII.
NIMPOKOM, ville antique, dont ]es rui-nés existent à 2 1. de Rabinal dans la Verapaz, capitale des Pokomams, pag. CCLX1V.
NIMXOB-CARCHAH. Voir Carchab.
NOIRS (Hommes), en Amérique avant Co-lomb, pag. lxx. — Armée de — au Pérou, pag. ccxxvn et note 1.
NORMANDS (Expéditions des) en Is-lande et ailleurs, pag. lu.
NOUTKA, région au nord de la Californie. Si lesToltèques y émigrèrent,pag. clx.
NOUVEAU-MEXIQUE, région aii nord du Mexique. Traces d’un sabéisme antique au —, pag. xxv. — Son ancienne po-nidation, clxi, note 1, clxiii.— Ses populations diverses, pag. clxxxiv. — Architecture de leurs maisons, ibid. — Leurs coutumes, pag. clxxxvi. — I euroriginepossible,pag.cLxxx1x, cxc.
NUNEZ DE LA VEGA, évêque de Chia-pas, écrivain espagnol, cité pag. cxn.
OCOCINGO, ville de l’Etat de Chiapas, à 15 1. au S.-O. des ruines de Palenqué, pag. cl.
ODON ou OTON, mythe antique des Na-huas au Michoacan, chef-dieu des Oto-mis, si le même que l’Odin des Scan־ dinaves, pag. lxxvi. — Ses descen-dants peuplent l’Anahiiac, pag. ex.
OGYGIE (l’ile d’), n’était pas '!’Ultima-Thulé et à quelle distance de Britannia, pag. c.-ci.
OLMECA, nation de race nahuatl, débar-que avec les Xicalancas et peuple le plateau de Cholulan, pag. xxx, note 2. — Venaient de la Floride, pag. lxxix. —Les — Vixtoti, populations qui s’é-tendent par le Zapotecapan jusqu’à l’océan Pacifique, pag. ex. — Poursui-vent les Chorotecas, pag. cc.
OLMECATL, mythe de la race des Olme-cas, pag. xxx.
OLOMAN, nom d’une tribu antique, éta-blie dans !’Orient suivant les Quichés, pag. 207.
OMECIHUATL, la Dame double ou Deux fois dame, mythe nathuatl, personnifi-cation d’un des quatre dieux, pag. exix.
OMETEUCTLI, h Seigneur double ou Deux fois Seigneur, mythe nahuatl, personnification d’un des quatre grands dieux, pag. cxix.
OMEYOCAN, Lieu double ou de Deux, localité symbolique, sorte de paradis terrestre chez les Nahuas, ibid.
OMUCH-QAHOLAB ou les Quatre Cents Jeunes Gens,mythe nahuatl,pag. cxxvi. —Vaincus parZÏpacua,ï&id.,53.—Sym-bole des Pléiades, ibid., note 1Leur apothéose, pag. cxlv, 193.— Le mythe conservé au Guatémala, pag ccliv.
OPU ou l’invisible, mythe divin dans la théogonie toltèqiie, pag. cxxi.
ORDONEZ, écrivain chiapanèque d'une histoire sur Palenqué, pag. xiv.— Cité pag. LX1X,LXXX1V, LXXXV1I, CV11,CXXX1.
ORÉNOQUE, grand fleuve de l'Amérique méridionale" Restes d’antique civilisation observés sur ses bords, pag. ccxn.
ORIGINE. Idées des Américains sur leur —, pag. lxx, 5 et suiv.— Des choses, pag. 11.
OTOMI, nation ancienne et nombreuse de !’Anahuac et du Michoacan, pag. ex.
0T0M1TL, symbole de la race otomie, nag. xxx. ״Voir Odon.
OURAGAN (F) des livres mexicains, vent violent, considéré comme une époque mytique et événement historique, pag." lxxx. — Sa description, *ibid., note 3.
OXOMOCO, mythe de la théogonie toltè-que, l’un des quatre grands dieux, pag. cxm et note 1, cxvn, exx, cxxi. — Créateur du calendrier, pag. exxiv.
OZOMATLI, onzième signe du calendrier mexicain, divinilé identique avec Hun-Batz, pag. cxxxv.
PAC AM, nom d’un devin en Xibalba, pag.
171.— Consulté au sujet de Hun-Ahpu et de Xbalanqué, pag. 173,175.
PACARIC-TAMBO ou Maison de Production, mythe antique au Pérou, identique avec le Tonacatepetl des Mexicains et le Paxil des Quichés, pag. ccxli, note 5, ccxlii.
PACHACAMAC ou le Créateur de toute chose, mythe divin au Pérou, pag. ccxxni.—Crée les Chimus au milieu de 1 Océan, pag. ccxxiv.—Son temple à Lutin, ibid.^ ccxli. — Analogue au mythe quiché, pag. ccxxxvin, etc. — Suprématie de son culte, pag. ccxl.
PACHACUTEC, mythe divin an Pérou, pag. ccxxxvin.
PA-HOM, nom du lieu du jeu de paume en Quiché,p. cxxxiv, 71, 79 et noted.
PALENQUÉ (Santo-Domingo de), bourgade de l’Etat de Chiapas aux frontières de Yucatan, célèbre par les grandes ruines qu’on voit dans son voisinage et
connues sous le même nom, photogra phiées, pag. 1, note 2.— Si elles sont identiques avec Colhuacan et Nacban, pag. lxvii, note 2, cix.—Avec Xibalba, pag._cxxx, cxxxi, cli.
PAMPÉENS, classification de races indigènes des plaines intérieures de l’Amérique du Sud, pag. cxcix.
PANAMA, ville et territoire sur l’isthme de ce nom au bord de l’océan Paciti-que, entre les deux parties de l’hémisphère américain, et où l’on trouve des traces de la race nahuatl, pag. cci.
PANUCO, ville antique sur la rivière du même nom, à 8 lieues au-dessus du port de Tampico, dans le golfe du Mexique, où débarquèrent les premiers Nahuas ou Toltèques, pag. lxxiii, lxxviii. —Culte du phallus chez ses habitants et leurs mœurs licencieuses, pag. clxix. — Leurs prestidigitations, pag. 177׳, note 4.
PAPAR ou PAPŒ, moines irlandais en Islande avant les Normands, pag. lui. — Si identiques avec les Papahuas au Mexique, ibid., note 2.
PAPUHA, nom de la région où débarqué-rent les Xicalancas, si elle est identique avec la contrée arrosée par l’Uzumacinta, pag. lxxix, 140, note 3.
PARADIS TERRESTRE, idées du moyen âge et de Colomb à ce sujet, pag. lv, lvi.—Traditions aborigènes de l’Amérique sur le —, pag. lvii. — Le — de l’ile d’Ima, pag. lix, lx.
PATAN.nom symbolique d'un des princes de Xibalba, pag. 75.
PAUME. Voir les mots Jeu de paume, PAXIL (Pan) et PA CAYALA, nom d’une contrée fertile, sorte de paradis terrestre où les grands dieux découvrent le maïs,LXxx1n.—LesNahuass’enrendent maîtres, lxxxiv. — Idées à ce sujet, .,pag. exiv, exxv, ccliii.
PÉROU, grande région de l’Amérique du Sud. Antiquité de ses annales, pag. ccxvm, ccxix.—Epoque de confusion dans son histoire, pag. ccxxvn.
PÉRUVIENS (Ando), classification des races indigènes du Pérou, pag. ccxcix.
PETEN-ITZA, nom d’un lac et d’une région dans l’Amérique centrale, entre le Yucatan au nord et l’Etat de Guaté-mala au sud, rapprochée de Xibalba, pag. exxx. — Identique avec le pays des Ah-Tza, ïôûL, 188׳, note 4.
PHALLUS (Culte du) dans diverses parties de l’Amérique, pag. clxviii. —A Panuco, ibid.—A Teo-Colhuacan, pag. clxix. — S’il exista chez les Allighe-wis, pag. CLxxxn.— Chez les Caraïbes du Darien, pag. ccvi.
PHENIX (Mythe du) en Xibalba, pag.175׳.
P1LTZ1NTEUCTLI, divinité mexicaine identique avec Hun-Chouen, pag. cxxxv^ PINAHUA, nom d’un des quatre mythes des races primitives, créés par Viraco-cha au Pérou, pag. ccxxxvm.
PIRHUA, dit aussi Ayar-Uchu-Topa, premier souverain du Cnzco au Pérou, pag. ccxxi.—Le dieu, pag.ccxxxvi, note %.
PLINE, texte de ses ouvrages sur les Indiens amenés à Rome, pag. xlix. — Sur Mictim, pag. cv.
PLUTARQUE, ses idées sur les iles sacrées de Saturne, pag. lx, xcix. — Sur le continent cronien, pag. c et suiv.
POISSON (Homme), mythe en Xibalba, pag. cxxxix, 177. '
POKOMAM, nom d’une ancienne nation dans !,État de Guatémala, pag. clvu, cclxi et note 4, cclxii. — Vaincu par les Quichés, pag. cclxvii.
POPOL-VUH, le livre primitif des Quichés, pag. vu.
POPULATION ; primitive, problème inso-lubie en Amérique, pag. xvn.— Ses analogies avec d’autres peuples, pag. xviii. — Ses caractères spéciaux, pag. xix, xx. — Son antiquité, pag. xxv. — Si distribution dans les deux Amériques, pag. xxvh. — Ses symboles, pag. xxix. — Son berceau, pag. lxx. — Première date à son sujet, pag. cxi.
POTONCHAN, ville antique du Yucatan sur le golfe du Mexique, pag. i.xxx. — Etymologie, ibid., note 2.—Conquise par les Tutul-Xiu, pag. clvi.
PRESTIDIGITATIONS ^des Cuextecas, pag. 177. — De Hun-Ahpu et de Xba-lanqué, pag. 181 et suiv. .
PRIÈRES antiques des Américains, page 211 251 383.
PUEBLA (la) de 10s Angeles, ou la■ ville des Anges, cité moderne du Mexique, pag. lxxix.
PURUHUA, nation qui émigre à la côte de l’Equateur, dans le royaume de Quito, pag. ccxxxi. — Son dieu, ibid.
PYRAMIDES dans l’Amérique du Nord, pag. clxxii. — Leur étendue, pag. CLxxiv. — Leur style, pag. clxxv. —. Consacrées au soleil, pag. clxxvii. — Leur antiquité, ibid., clxxviii.
QABAUIL, nom de la divinité dans la langue quichée, pag. 9.
Q0CA1B, fils d’Ahcan, issu de Balam-Quitzé, l’un des pères de la maison , royale de Cavek au Quiché, pag. 287.
— Son voyage à la cour d’Acxitl, pag. cclxviii, 293. — Sa générosité avec son frère, ibid. "
QOCAVIB, fils d’Ahcan, issu de Balani-Quitzé, l’un des pères de la maison royale de Cavek au Quiché, pag. 287, 293. — Sen voyage dans I’Anahuac,
pag. cclxviii. — Connaît illicitement sa belle-sœur et en a un fils, pag. cclxix. — Roi des Quichés, pag. cclxx. — Ses conquêtes, pag. cclxxi. QQUICHUA, nom d’une nation et d’une langue principale au Pérou, pag. ccxxiii, noie 3, ccxxvni. — Commencements de la dynastie —, pag. ccxxx. — La langue — se retrouve à Quito,
pag. ccxxxn.
QUAUHTLI-OCELOTL, ou Aigle et Tigre, symboles mexicains du peuple et de ! année, pag. cxliii, 171, note 1.
QUELÉNE, nom d’une nation de l’Etat de Chiapas,identique avec les Zotziles, pag. clvu.
QUENECH, nom d’une tribu antique, existant dans l’orient des Quichés, pag. CCLIX.
QUETZALCOHUATL, autrement dit Cu-culcan et Gucumatz, pag. lxx. — Son arrivée, ibid. — Identique avec Votan, pag. lxxi. — Ses symboles divers, ibid. —Chef des T01teques,pag. lxxv. — Son portrait, ibid. — Symbole des Colhuas, pag. lxxvii. — Découvre le maïs, pag. lxxxui. — S’il lutta avec les Nahuas, pag. lxxxv. — Son départ, pag. lxxxvi. — Le premier, il partage la terre américaine, pag. cxn. — Idee du mythe de —, pag. cxvm. — Sous les attributs d’Akbal, pag. cxxn. — Personnifié dans Ehecatl, donne la mort aux dieux, pag. cxliii , ccxxix et note 3. — Analogie avec Vi- _ </ racocha, pag. ccxxxvi, ccxxxvm.
QUETZALTENANGO, ancienne et grande ville des Mams, dans l’Etat de Guaté-mala ; ses divers noms, pag. cclxiv, 319, note 8.
QUICAB I-r, roi des Quichés, ses grandes conquêtes, pag. cclxxvh, 3Î7 et suiv.— Son humiliation, pag. cclxxviii, 325.—Grandem? de son règne, pag.329.
QUICHÉ, nom d’une nation et d’une région dans l’Etat de Guatémala, pag. cl. — Ses premiers Etats, pag. cclvh, CXLX111. — Ses commencements, pag. cclxvii. —Abolition de la féodalité au —, pag. cclxxviii. — Origine de son histoire, pag. 3, 207, note 1. — Sa puissance, pag. 313, 335.
QUICHÉ (Santa-Cruz del), bourgade qui a remplacé l’antique Utlatlan ou Gumar-caab, à 1 lieue des ruines de cette capitale, dans l’Etat de Guatémala, p. 347.
QU1NAMÉ. Qui étaient les—, pag. lxvi, noie 2. — Dits géants et Tzocuilhio-xime, pag. lxviii. — Identiques avec les Chichimèqiies, ibid. — Civilisés par les Colhuas, pag. lxxix, cix. — Guerre des Nahuas contre eux, pag. cxxv, cxxvn,cxxx111. Détruits,pag.clv.
QUIPO, nœuds de cordons de diverses couleurs, servant à conserver des cal-culs, etc., pag. ccxix.
QUITO, ville et royaume de F Amérique du Sud, sous la ligne équinoxiale, au nord du Pérou propre, pag. ccxxxi, ccxxxn.— Conquis par les Garas, ibid.
QUIVIRA, région située au nord du Non-veau-Mexique, pag. cxcm.
RABINAL, nom d’une antique tribu de la race quichée,aujourd’hui d’une hour-gade de la Verapaz, située à 22 lieues nord de la ville de Guatémala, pag. cclxv. — Ses commencements, pag. cclxx. — Ses conquêtes, pag. ccxxi.
RELIGION mexicaine compliquée, pag. cxx; — des Natchez et des Floridiens licencieuse, pag. clxvhi ; — des po-pulations du Nouveau-Mexique simple, pag. clxxxvii; — des Qquichuas, pag. ccxxxvi ; — des Chibchas ou- Muys-cas, pag. ccxlvi.
RÉVOLUTION anti-féodale au Quiché, pag. cclxxvih, 325, 327.
RIGSMAAL, ses analogies avec le Livre Sacré des Quichés, pag. cxxi, cxxiv, cxlix, note 2, cl.
SABÉISME (traces de ל en Amérique, pag. lxx; — au Nouveau-Mexique, pag. CLXXxvni. — Pratiqué par la tribu de Tamub, pag. cclx, 207.
SACAPULAS, autrement Tuhal, ville an-tique au Quiché ; ses chefs primitifs, pag. cclx, note 1. — Ses princes, pag. CCLX11I.
SACRIFICES HUMAINS en Amérique, leur origine, pag. cxlv, 225, 227. — Chez les Natchez, pag. clxvhi ; — à Panuco et à Tollan, pag. clxix. — Mêlés à !’anthropophagie, pag. cLxxxn, ccx, ccxi. — Au temple de Con à Li-ribamba, pag. ccxxxn. — Rites issus des — au Pérou, pag. ccxlv, ccliv. — 253, 259, 261, 263, 303, 305.
SAHAGUN, écrivain espagnol duxv1esiè-cle, cité pag. cxn, cxlv, clii, 177, note 4.
SANG-DE-DRAGON, arbre de l’Amérique dont. la résine remplace le cœur de Xquiq, pag. 97. — Mystère de cet ar-bre, pag. 99.
SATURNE (terre de) ou Cronienne, pag. c, cr, cm. — Sommeil dedans l’ile Sacrée, pag. civ.
SAUVAGÉS de l’Amérique, causes de leur infériorité, pag. xx. — Etaient moins barbares au temps de la décou-verte qu’aujourd’hui,pag. xxi.— Leur organisation, ibid. — Leurs coutumes barbares, pag. xxn. — Traces d’une civilisation antérieure parmi eux, pag. xxvn, cxcvn, cxcvni.
SCANDINAVES, leurs navigations en Is-.lande, pag. lui; — au Groenland, ibid. dans }’Amérique du Nord, liv. — Au-thenticité de leurs voyages, pag. lxxxix. — Analogie de leurs mythes avec ceux du Livre Sacré, pag. cxxm, cxxiv.
SEPT-VILLES (îles des) où se réfugient les Espagnols et les Portugais lors de l'invasion des Arabes, pag?Lx. — Pays des —, ou Cibola, pag. clxxxviii.
SEPT-GROTTES et Sept-Ravins, contrée primitive des Toltèques, pag. cxcu.
SERPENT, origine de son culte, pag. xxv, lxxi. — Ses rapports, pag. 3 et sniv., cix, note 2. — Sang du — en-tre dans la chair de l’homme noble, pag. cl. — Son culte à Panuco, pag. CLXIX.
SINGES, hommes changés en —, pag. LXXXI, 31. .
SKUGGAM, pays de l’ombre dans les Sa-gas, son analogue dans le Livre Sacré, pag. lxxvii.
SOGAMOSO ou SUGANMOXI, demi-dieu du Cundinamarca, pag.ccxlvi,ccxlvii. — Analogie avec les mythes nahuas, ibid.
SOLEIL, origine du culte du — en Amé-rique, pag. xxv. — Son berceau, pag. lxxi. — Nanahuatl métamorphosé en —, pag. cxLin. — Pyramide du — à Teotihuacan, pag. cxlv. — Son ori-gine, pag. cxlvi. — Culte du — chez les Natchez et les Floridiens , pag. clxvii, clxvhi. — Titre des rois-pon-tifes, pag. clxvhi. — Son culte chez les Qquichuas, pag. ccxxxv. — Sup-• plante celui des Nahuas, pag. ccxliv.
— Lever du soleil sur les tribus qui-chées, pag. 243, 245.
SUHAtCON, demi-dieu du Cundinamarca, pag. ccxlvi.
TAHUES, nation de la Sonora, si les mê-mes que les Tarahumaras, pag. cxci.
TAMBOTOCO, ville antique du Pérou, auprès du Cuzco, refuge des rois de cette ville, pag. ccxxvn. — La même que Pacaric-Tambo , pag. ccxxvm, note 1.
TAMOANCHAN, nom donné au paradis terrestre des Américains, pag. lvii, lxxviii. — Les Nahuas y abordent, ibid. — Si là eut lieu le sacrifice de Nanahuatl, pag. cxlh.
TAMUB, autrement Tanub, Dan et Tan, famille et tribu■ antique, pag. cxlvii, note J, 207. — Au Guatémala, pag. cxLvm. — Se sépare des Toltèques, pag. CLix, clx, ccLiii. — La plus an-cienne tribu connue au Guatémala, pag. cclix. — Leur domination, pag. ccLxiii, cclxiv.— Sa décadence, pag. cclxxhi, 31S, note 5.
TAPIR, animal sacré en Amérique, pag. cvn, note *3. — Sa trompe figurée sur les monuments, pag. cxvm. — Son sang entre dans la chair de l’homme noble, pag. cl.
TEGPAN îles treize clans de), nom po-tronymique des tribus pokomames, au Guatémala, pag. cclxi. Voir le mot Po-KOMAM.
TECPANTLAN, ancienne ville capitale de la nation des Zoqui, dans l'Etat de Chiapas, réduite aujourd’hui au village de Tecpatan, pag. ex et note 6, cxxvi. TEGPAÏL ou TEGPATLTEUCTLI, le Silex, mythe mexicain, dix-huitième signe du calendrier nahuatl, pag. exxn.
TECüCIZTECATL , dit aussi Metztli , compagnon de Nanahuatl, mythe na-huatl, transformé dans la lune, pag. cxLii. — Sa pyramide à Téotihuacan, pag. cxliii et note 2, cxlv.
TEHUANTEPEC, ville de l’Etat d’Oaxaca, au Mexique, près de l’océan Pacifique, pag. clx.
TENUCH, mythe de la race mexicaine et toltèque, symbole ;de l’un des grands dieux, pag. xxix.
TEO-GOLHUAGAN , ville antique des Toltèques dans l’Etat de Sonora au Mexique, pag.' clxi. — Ses mœurs licencieuses, ibid, clxii.— Nouvelle sé-parution des Toltèques dans cette ville, pag. clxiv. — Style de ses construe-tions, et leur analogie avec celles du Nouveau-Mexique, pag. clxxxvi.
TEOPIXCA, cité des Prêtres de Votan, antique Valum-Votan, dans l’Etat de Chiapas, pag. cxxxi.
TEOTI, titre des dieux ou héros, pag. cxvi et note 1׳.
TEOTIHUACAN, ville antique d’Anahuac, où commença le calendrier toltèque, pag. exxv. — Si la même que Tolte-cat, pag. cxxxiii et note 3. — Si Xba-lanqué s’y retira, pag. cxli. — Coin-mencement des sacrifices humains à—, pag. cxlii. — Sacrifice de Nanahuatl à —, ibid. — Pyramides du soleil et de la lune, pag. cxlv.
TEO-YAO-TLATOHUA, ou Celui qui proclame la guerre sacrée, mythe toltèque, pag. exxn.
TEPEPUL I, roi des Quichés, pag. 317.
TEPEU (Celui d’en haut ou le Dominateur), mythe nahuatl et titre des grands dieux , pag. cxvm , exx , cxxi, 3 et suiv. — Se retrouve au Pérou, pag. ccxxxvm. — Nom d’une tribu antique dans l’orient des Quichés, pag. ccLix, 207.
TESORO de las lenguas quiche, cakchi-quel y tzutohil, ouvrage manuscrit de Ximenez, pag. xn. '
ΊΈΤΕΟΙΝΑΝ, ou la Mère des dieux, mythe nahuatl, pag. exix.
TETZCATLIPOGA׳, ou le Miroir fumant, mythe nahuatl, pag. ;cxxi, cxxii , ccxxix, note 3.
TEXAS, région de l’Amérique du Nord, au nord-est du Mexique, pag. clxiv. — Traces des Toltèques au —, pag. clxv.
TEYAS (les) ou Vaillants, nation nomade du Nouveau-Mexique qui ruine plusieurs villes, pag. cxcin. — Ses coutumes, ibid.
THULÉ (Ultima),opinions à ce sujet, pag. xci, xen et note 1, c, cv. — Route de la Bretagne à —, ibid.
THYLÉ ou TILE, région au delà de l’Atlantique où les Hérules se retirent, pag. lix. — S’il y en eut une de ce nom en Amérique, pag. xci. — Voir Tulan.
T1AHUANAGO, ville antique de la Bolivie, au bord du lac de Titicaca, ses monuments, pag. ccxxm. — Bâtis par des hommes blancs et barbus, pag. ccxxvi, note 1. —Qui furent massacrés, pag. ccxxvm. — Ses édifices restés inachevés, ibid.— S’ils sont analogues à ceux de !’Amérique centrale, ibid, note 3. — Berceau des mythes nahuas au Pérou, pag. ccxliii. ”
TITICACA, ou la Montagne de plomb, ile qui tonne son nom au lac de Chu-cuvitu entre le Pérou et la Bolivie, pag. ccxxvi.
TITRES territoriaux des nations guatémaliennes, pag. vu, note 2, cclviii.
TLAGHGO, ou le Lien du Jeu de Paume en langue nahuatl, pag. cxxxiv.
TLACHICATZ1N, nom donné par quelques auteurs à la ville capitale des Toltèques, dite aussi Toltecatl, pag. cxxxm et note 2. — Si c’est le nom de Tulan, ibid.
TLACHIHUALTEPEC, ou Mont de la Sen-tinelle,nom de la ville de Cholulan, pag. exxv. Voir ce dernier mot.
TLALLOCAN, ou Terre de l’abondance, sorte de paradis terrestre, pag. cliii.
TLALOG ou TLALLOC,le fécondateur de la terre, mythe nahuatl, pag. cxxi.
TLALTETEGUI, mythe nahuatl, l’un des quatre grands dieux de la théogonie toltèque, pag. cxiii, cxvn, cxx.
TLAPALLAN ou HUEHUE-TLAPALLAN, terre sacrée, berceau primitif de la race américaine, pag. lxiii et note 3. — Où était —, pag. lxv. — Si en Xibalba, pag. cxn. — En Huehue— se réunissent les astrologues ibid. — cxxviii, cxxxi, — dit de Cortès où? pag. cxxxnr, note 3. — clxi, clxii.
TLAPALLANTZINGO, ville sur l’océan Pacifique, fondée par l’émigration toi-
tèque, pag. clix. — Conquise par les rois quichés, ibid, note 3.
TLAQUIMILOLLI, ou le Paquet enveloppé, la Majesté, le Feu caché, symbole de la divinité chez les Nahuas et les Toltèques, pag. cxvm et note 2,
TLAXI-COL1UHCAN, ville antique, probablement la même que Colhuacan et la capitale de Xibalba, pag. clix.
TOCAY, nom d’un des quatre mythes des races antiques du Pérou, créés par Vi-racocha, pag. ccxxxvm.
TOCI ou Notre Aïeule, aïeule des dieux, mythe nahuatl, pag. cxix, la même qu’Atit, ibid.
TOHIL, TOH etHUNTOH, mythedivin des Quichés, allusif à la pluie, an tonnerre, etc. pag. cxxii, 215. — Les tribus offrent leur sang à — pag. cclxvi, cclxvii et note 2.— Il crée le feu, pag. 219 et note 2.—Premiers autels de—, pag. 237. — H parle aux sacrificateurs, pag. 251. — Son temple à Gumarcaah, pag. 307, 329.
TOLTECAT, nom d’une ville antique, si Tulan, pag. cxxxm, note 3.— Berceau des nations guatémaltèques, pag. ccliv. — Titre de Xmucané et de Xpiyacoc, pag.' 21, note.
TOLTÈQUES, nation dite aussi race na* huatl primitivement; leur ®rrivée et leur portrait, pag. lxxii.— S’ils étaient Irlandais, pag. lxxiii. — Anthropophages, ibid. — Leur multiplication en Tulan, pag. ex. — Leur gouvernement, pag. cxiii.— Leurs quatre calendriers, pag. cxv. —Massacrent les Quinamés, pag. cxxxm.—Cause de leur sortie de Tulan, pag. cliii , cliv. — Leurs grandes migrations, ibid. — Fondent Tlapallantzinco, pag. clix. — Séparation de leurs tribus, ibid.— Leur marche an nord-onest, pag. clx. — Fondent la ville de Teo-Colhuacan, pag. clxi.—Tollantzinco, pag. clxii.—Edi-fient Tollan dans !’Anahuac, ibid. — Leur nouvel empire, ibid.— Leur destraction au onzième siècle, ibid. — Cause de leur prodigieuse multiplication, pag. clxiii. ·— Leur esprit de prosélytisme, pag. clxiv. — Leur migration en Californie et au Nouveau-Mexique, ibid. — Sur les bords du Mississippi et aux FÏorides, pag. clxv. — Fuient de Nicaragua à Nicoye, pag.
CCII CCI1I.
TONACACIHUATL, ou la Femme de notre subsistance. Voir le mot Tonacaieuc-TLI.
TONACATEPETL, ou la Montagne de notre subsistance, pag. lxxiv, lxxix. — Identique avec Paxil, ibid. — cxix.
— Le même mythe au Pérou, pag. CCXLII
TONACATEUCTLI, ou le Seigneur de notre subsistance, mythe nahuatl, pag. exix. — Ordonne à Nanahuatl de se jeter dans les flammes, pag. cxlii.
TONALPOHUALLI, calendrier civil des Toltèques, pag. exiv.
TONAT1UH, ou le Resplendissant, mythe du soleil, pag. cxxn.
TORAS, dieu des Tarasques, au Michoacan, lxxvi, ex.
TOTEOUH, on Notre Dieu, symbole divin des Toltèques, pag. exxn.
TRIBUS quichées, leur organisation, pag. cclviii, 206, note 1.— Les premières, pag. 207.
TRINITÉ divine ou de héros, origine des rois du Zenu, pag. exix. — de princes dans le gouvernement, ibid. — exx, cxxi. — Chez les Allighewis, pag. clxxvii.—Chancas, p.ccxxx, note 3.— Au Pérou, pag. ccxxxv.— Du tonnerre chez les Qquicbuas, ibid., 7.
TRUXILLO, ville moderne du Pérou, fon- ’ dée près des ruines du Grand-Chimu, non loin de l’océan Pacifique, pag. ccxxm.
TUCUR ou Hiboux, nom symbolique des sicaires de l’empire de*Xibalba qui vont citer les fils de Xmucané, pag. cxxxvi, 79. — Ahpop-Achih ou capitaines,pag. 77, 79.
TULA ou TULAN, ville ou région antique, patrie des Toltèques, pag. lxxxv. — Divers pays de ce nom, pag. xci, cxxix. — Celui de Xibalba où? pag. cxxxi. — Si le même que Toltecat et Tlachicatzin, pag. cxxxm. — Confusion de ces localités diverses, pag. cxLviii. — Chay-Abah créé pour protéger, pag. cl. ״■— Situation probable, ibid. — Si Tulan-Zuiva, ibid., note 1. — Description de —, pag. clii. — Son histoire obscure, pag. cliu. — Emigrations de —, ibid., cliv, 915. — Berceau des nations guatémaltèques, pag. ccliv. — Ses derniers temps, pag. ccLvii. — Ses rois, ibid.
TULE, nom d’une nation indigène de l’isthme de Darien, pag. can.
TUMACO (le Cacique de) décrit à Balboa la figure des côtes du Pérou, pag. ccvm.
TUPIS, nation de l’Amérique du Sud, ses traditions relatives à son union avec les Caraïbes, pag. ccxm.
TUTÜL-XIU, tribu nahualt au Yucatan, pag. cxxxi. — Epoque de son émigration, pag. clv. — Ses conquêtes an Yucatan, pag. clvi.
TZENDAL, nation et langue de l’Etat de Chiapas, pag. clvii, note 4.
TZINACANTLAN ou Zotzlem, Hen des Chauves-Souris, ancienne ville de TE-tat de Chiapas, berceau des Zotziles, pag. cxxxi, clvii , ■note 4.
TZ1TE, arbre, sorte de liège, dont fut fait (’homme, suivant le Livre Sacré, pag. cxxm. — Ses graines servent aux sortilèges, pag. 2], 25.
TZ0CU1LH10X1ME, sobriquet donné aux géants ou Quinamés au Mexique, pag. LXVIII.
TZUNUNIHA, nom d’une famille puis-santé an Guatemala, pag. cclxih.
UMINA, pierre précieuse, nom d’une divinité aux cotes de l’Equateur, pag. CCXXIi.
UQU1NCAT, ville antique, capitale des princes d’ilocab, pag. cclxih, 237.
UT1U, nom d’un chef de Paxil, tué par les Nahuas, pag. lxxxiv, cxx.
UTLATLAN, dit aussi Gumarcaau, capitale desQuichés,d’où partirent anciennement les Hun-Ahpu, pag. cxxxiv, note 2.— De là sort Xbalanqué, pag. cxli,cclv.
UXAB, nation de la Verapaz, toujours citée avec les Pokomams, pag. cclxih.־
UXMAL, ville antique du Yucatan, pag.
h, note 2. — Trompes de tapir et d’élé-pliant sculptées dans ses édifices, pag. cvn, note 3. — Royaume d’ —, fondé par les Tutul-Xiu, pag. clvi.
UZUMACINTA, grand fleuve de l’Amérique centrale, ses premiers colons, pag. lxxix, cxxv. — Origine de son nom, pag. cxxxvu, note 3.
VALUM-VOTAN, région antique de Votan, pag. Lxxxviii et note 2, cxxxi, note 3.
VERAGUA, région de la Nouvelle-Grenade, confinant à l’Amérique centrale, pag. cci. — Traces de l’antique civilisation qu’on y trouve, pag. ccm. — Dorachos, ses'habitants, pag. cciv.
VERAPAZ, province considérable dépendante de la république de Guatémala vers le nord, pag. cxxx, etc.
VIRACOCHA, antique mythe divin au Pé-roui pag. ccxxix. — Son portrait et son apparition, pag. ccxxxvi. — Son analogie avec Quetzalcohuatl, pag. ccxxxviii. — Son nom donné aux Espagnols, ibid. — Explication du mythe, pag. ccxxxviii, ccxxxix.— Créateur des hommes et des astres, pag. ccxli. — Son culte rétabli au Pérou, pag. ccxliv.
VIRACOCHA-INCA, l’un des rois delà dynastie qquichua, pag. ccxxxvi, ccxliv.
VITZNAHUA (Centzon) ou les 400 Méridionaux, pag. cxxxvn, note 1. — Sym-hole des Xibalbaïdes qui émigrèrent au sud après leur défaite, pag. cxl. — Si les Chiapanèques en furent, pag. CLV111, cc. — S’ils bâtirent les édifices antiques de Vêragua, pag. cciv. — S’ils émigrèrent au Pérou, pag. ccxxvi. — an lac de Titicaca, pag. ccxlih.
VOC, sorte d’épervier, messager symbolique de Hurakan, pag. 71.'
VOLCANS (Eruption des) au Mexique et leur date afntique, pag. lxvi.
VOYAGES de l’auteur en Amérique, pag. in, note 2. — des Normands 011 Scandinaves, pag. lui , liv. — de saint . Brandan, pag. lx. — des sept évêques, ibid. — de Madoc, pag. lxi. — des Celtes et des Basques,'ibid.—des Phé-nicieiis et des Carthaginois, pag. lui, xen, xcvii, cviii. — des Chinois et des Japonais, pag. xl.—des Wabi, ibid. — des Malais, pag. xli.
VOTAN, mythe antique parmi les Tzen-dales, troisième signe de leur calendrier, pag. lxxih. — Si le même que Quetzalcohuatl, pag. lxxvi. — Identique avec Odin,md.—Ses voyages, pag. Lxxxvn. — Transporte des tapirs à Huehuetan, pag. cvn. — Le premier partage la terre, pag. cxn.
VUKUB-CAKIX où Sept-Aras, nom d’un mythe antique, symbole des géants américains et d’une race primitive, adoratrice du soleil sous la figure de l’Ara, pag. lxxx, note 1,31. — Première vietime des Nahuas, pag. cxxiv, cxxvn, 45. — Si identique avec les bas-reliefs de Tiahuanaca, pag. cxxxvm. — Si ses adorateurs bâtirent les édifices de Veragua,pag. cciv.— Mythe conservé dans le nom d’une bourgade au Guaté-mala, pag. ccliii.
VUKUB-CAMÉ, ou Sept-Morts, l’un des symboles des rois de Xibalba, pag. cxxix. — Trompé et mis à mort par Hun-Ahpu et Xbalanqué, pag. cxl, 73 et note 1, 185.
VUKUB HUNAHPU, fils de Xmucané, symbole des premières luttes des Nahuas contre Xibalba, pag. 69, 73, cxxxv. — Mis à mort, pag. cxxxvi.. — Son épitaphe retrouvée, pag. 193, cxliv. — Son apothéose, cxlv, 193.
WABI ou Huabes, nation maritime du voisinage de Tehuantepec, son origine, pag. xl. — Affinités de la langue, pag. cxcix, ccxxxii. ·
WODAN, divinité germanique, si identique avec Votan et Odon, pag. lxxvi, cxxii.
XBALANQUÉ , mythe quiché, symbole de la révolte des Nahuas métis contre Xibalba, pag. cxxxv, cxxxvm, ccliv. Sa naissance, pag. 107.— Cité à Xi-balha, pag. 133. — Ses luttes, pag. cxxxix, 141. — Sa défaite , sa résurrection comme homme-poisson et saltimbanque, pag. 177.—Vainqueur de Xibalba, pag. cxl, 187, — Sortd’Utla-lan, pag. cxli.— S'il se retira àCapan, pag. CCLV1.— Le premier sacrifie des victimes humaines, ibid. —Mythe qui se retrouve au Pérou, pag. ccxliii.— S'il fonda Copan, pag. cclvi.—Change ses frères en singes, pag. 115. — Ses travaux, pag. 119. — Joue au ballon en Xibalba, pag. 151. — Convoque les brutes, pag. 165.— Livré aux flammes eu Xibalba, pag. 175. — Ressuscite et apparaît de nouveau, pag. 179. — Ses prestidigitations, pag. 181. — Adoré par Xmucané, pag. 191.
XCACOU,Xganil,Xtoh, génies des mois-sons et de l’abondance^ pag. 105.
XELAHUH. Voir Quetzaltenango.
XELHUA, mythe toltèque, l’un des grands dieux échappés à l’inondation, symbole de la race tecpanèque, pag. xxix.
XIBALBA, nom de l’empire primitif dans le Livre Sacré, pag. lxxix et note 5.— Commencement de la révolte contre — pag. cxvi, cxxv, gxxvi.— Son origine, pag. cxxvni. — Ses rois, pag. cxxix. — Son analogie avec l’Atlantide, ibid, note 2.— Chemin de — , pag. cxxx. — Si identique avec Palenqué, pag. cxxx, cxxxi. — Caractère de ses prin-ces, ibid. 189. — Epreuves en —, pag. cxxxn, note 2. — Site de—, pag. cxxxvi. — Vaincu par Hun-Ahp״ et Xbalanqué, pag. cxl, cxli. — Vaste étendue de ]’empire de—,pag. cli. — Si de là vient la civilisation au Pérou, pag. ccxxvi. — Concordance des prin-cipaux événements de — avec ceux du Pérou, pag. ccxxvm. — Chemin de Nimxob-Carchah à—, pag. ccliv, 81. — Derniers temps de l’empire de —, pag. cclvii.—Chemins des quatre cou-leurs en —, pag. 83. — Partie de paume en —, pag. 151.
XIC, nom symbolique d’un des princes de Xibalba, pag. 75.
XICALANCA, nom d’une nation pri-mitive au Mexique qui débarqua à la lagune des Terminos, pag. xxx.— Peuple toute la côte du golfe, pag. tyyvtit r yyty γυ
XICALANGATL, mythe nahuatl, symbole de la race Xicalanca, p. xxx.
X1CALANCO, ville et station primitive de la race nahuatl située entre 1’Atlanti-que et la lagune de Terminos, pag. LXXII, LXXVIII, LXXIX.
XIMENEZ (Francisco), écrivain espagnol au Guatémala, pag. xi.
XIPE-TOTEC, ou Notre seigneur de l’écorchement, dieu et sacrifice cruel ; son introduction, pag. clxix — 151, note 2.
YIQUlRIPAT,nom symbolique de l’un des princes de Xibalba, page 73.
XIUHTEUCTLI, ou Seigneur de l’herbe, du feu ou de l’année, mythe nahuatl, pag. cxxi. — Commande à Nanahuatl de se jeter dans les flammes, pag. cxlii.
XMUCANÉ, mythe nahuatl identique avec Oxomoco, pag. cxvm. — Crée l'homme, pag. cxxin, 23. — Ses fils, pag. cxxxv, 69. — Traditions de —, chez les Caraïbes, pag. ccvi, ccxvi.— Repousse Xquiq, pag. 103, 105. — Voit danser le Hunahpu-Qoy, pag.
XOCHITL ou Fleur, mythe nahuatl, ving-tième signe du calendrier mexicain, nag. cxix.
XOLÔTL, mythe nahuatl, pag. cxliii.
XP1YACOC, mythe nahuatl, l’un des quatre grands dieux, pag. cxvm. —-Identique avec Cipactonal, ibid. — Crée l’homme, pag. cxxm, 23. — Tra-ditions caraïbes à son sujet, pag. ccvi,
XPURPUVEK, cri de nuit en Xibalba, pag. J 57 et notei.
XQUIQ, ou la Femme-Sang, pag. cxxxvi et note 4. — Va visiter le calebassier de Xibalba, pag. 91, 93. —Enceinte de Hunhun-Ahpu, pag. cxxxvn, 93. — Condamnée par son père se soustrait à la mort, pag. 95,*.99. — Donne le jour à Hun-Ahpu et à Xbalanqué, pag. cxxxvn, 107. — Symbole de l’union illégitime des Nahuas, pag. cxxxvm.
XUCHICAOACA, mythe nahuatl, symbole de l’un des quatre grands dieux, pag. cxiii, cxvii, cxx.
XULU, nom d’un devin en Xibalba, pag. 171. — Consulté au sujet de Hun-Ahpu et de Xbalanqué, pag. 173, 175.
YAQUI, nom identique avec celui de Na-huatl ou Toltèque en langue quichée ; les —, se séparent au sortir de Tulan, pag. clx. — Leur origine, pag. 215 et .note 2.
YUCATAN, région péninsulaire de l’Amé-rique centrale, séjour des nations pri-mitives, pag. xxv. — Premièie émi-gration au —, pag. lxix. — Ses habi-tants se peignaient le visage, pag. cxxxn. — Conquêtes des Tutul-Xiu dans le —, pag. clvi.
YUNCA, nom générique des habitants des plaines, désignant ici spécialement ceux des terres baignées par l’océan Pacifi-que, pag. ccxxiii, ccxxxiii. — Leur état social supérieur à celui des Incas,■ pag. ccxliii.
YURACARÈS , nation de l’intérieur de l’Amérique du Sud, ses traditions, pag. CCXVI·
ZAKI-NIM-AK, ou le Grand-Sanglier-Blanc, mythe nahuatl, pag. cxxvn.
ΖΑΚΙ-ΝΙΜΑ-ΤΖΥΙΖ,οη le Grand-Blanc-Pi-
queur-d’Epines, mythe' nahuatl, pag. cxxxvn, 2.
ZAPANA (Inca), nom d’nn conquérant, donné comme le fondateur delà dynastie des Incas au Pérou, pag. ccxxx.
ZENU, région située aux bords du fleuve Magdalena, non loin du golfe d’Urraba, son gouvernement de trois, pag. ccxlix. — Ses tombeaux, ibid.
ZIBAK, moelle d’un jonc, dont se fit la femme, suivant le Livre Sacré, pag. cxxiii, 21, 27.
ZIPACNA, nom du fils aîné de Vukub-Cakix, mythe antique, symbole des géants américains, pag. cxxvi, 35. — Vaincu par Hun-Ahpu, pag. cxxvn, 33. — Son analogue au Pérou, pag. ccxliii. — Le mythe existant encore au Guatémala, pag. ccliii, ccliv.
ZOQUI, nation de l’Etat de Chiapas, pag. ' cLvii. —Affinités de sa langue, pag.
CXCIX·
ZOTZIL, nation de l’Etat de Chiapas, pag. CLvii. — Son origine, pag. clviii.
ZOTZLEM. Voir le mot Tzinacan-tlan.
ZUNI, nom d’une tribu au Nouveau-Mexique, pag. clxi, note 1, clxxxv.
ZUQUI, nom d’un .souterrain construit par Votan, pag. cvn.
FIN DE LA TABLE.
EXPLICATION DES PLANCHES.
N° 1. Le vase antique représenté dans I la planche qui fait face an frontispice a ' été trouvé dans l’Etat d’Oaxaca au Mexique ; il parait appartenir à la civilisation zapotèque. D’après les explications du père Fabregat, le sujet ferait allusion à Tetz-catlipoca, et les lunettes placées devant les yeux de cette divinité seraient un symbole de la providence. Le dessin en a été fait en ma présence par M. Edouard Pin-gret à Mexico.
N° 2. La gravure de la page lxix représente une sorte de galère antique sculptée sur un rocher de ï’île de Pedra, dans le Rio-Negro, un des affluents de l’Amazone : elle appartient au voyage de M. R. H. Schomburgh dans la Guyane, exécuté en 1838 et dont le journal a été inséré dans le Bulletin de la Société de géographie de Londres, vol. x, de l’année 1841. J’ai cru qu’il serait intéressant de reproduire cette gravure à propos de la navigation des anciens Américains.
N° 3 et 4. Les deux petites gravures de la page lxxv reproduisent deux sujets des peintures qui existent dans un des édifices de Chichen-Itza, dans !'Yucatan : c’est également à propos de la navigation américaine que l’idée m’est venue de les placer ici, quoiqu’elles n’aient pas un rapport tout a fait direct avec les pages où elles sont intercalées. Quant à la gravure du titre, elle offre les symboles de deux Quetzalcohuatl, d’après une pierre sculptée servant d’anneau enchâssé dans la muraille d’un Jeu de paume à Chichenltza. Voir la page cxx et note 2.
PLACEMENT DES CARTES.
La carie de l’Amérique centrale doit 1 cxxxi. Celle de la Nouvelle-Grenade et du être placée de manière à faire face à lapage I Pérou de manière à fairefaceàla page ccxxi.