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conteste................4
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9 Il ne conteste pas à perpétuité, et ne garde pas sa colère à toujours. És. 57. 16; Jé. 3. 5; | 16906 |
9 C'est pourquoi je conteste encore avec vous, dit L’ADMIRABLE, et je contesterai avec les enfants de vos enfants. | 20684 |
1 Tu demeures juste, ô ADMIRABLE, quand je conteste avec toi; toutefois je parlerai de jugements avec toi. Pourquoi la voie des méchants prospère-t-elle? Pourquoi sont-ils en paix tous ceux qui agissent perfidement? Job 21. 7; Ps. 73. 11-12; Ha. 1. 3; | 20980 |
4 Mais que nul ne conteste, et que nul ne reprenne! Car ton peuple est comme ceux qui disputent avec le sacrificateur. | 24088 |
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contester...............2
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10 Ce qui existe a déjà été appelé par son nom; et l'on sait que celui qui est homme, ne peut contester avec celui qui est plus fort que lui. | 18970 |
16 Et si quelqu'un se plaît à contester, nous n'avons pas cette habitude, ni les convoqués à renaître de L’ESPRIT DES VIVANTS non plus. 1 Ti. 6. 4; | 31004 |
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contestera..............1
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19 Il ne contestera point, et ne criera point, et on n'entendra point sa voix dans les rues; | 25622 |
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contestera-t-il.........1
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2 (39-35) Le censeur contestera-t-il avec le Tout-Puissant? L'accusateur de L’ESPRIT DES VIVANTS répondra-t-il à cela? | 14890 |
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contesterai.............2
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16 Car je ne contesterai pas toujours, et je ne serai pas indigné à jamais; car l'esprit défaillirait devant ma face, et les âmes que j'ai créées. Ps. 103. 9; Hé. 12. 9; | 20468 |
9 C'est pourquoi je conteste encore avec vous, dit L’ADMIRABLE, et je contesterai avec les enfants de vos enfants. | 20684 |
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Contesterait-il.........1
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6 Contesterait-il avec moi dans la grandeur de sa force? Non, seulement il ferait attention à moi. | 14416 |
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contestes...............1
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20 Mais plutôt, ô homme, qui es-tu, toi qui contestes avec L’ESPRIT DES VIVANTS? La chose moulée dira-t-elle à celui qui l'a formé: Pourquoi m'as-tu fait ainsi? És. 45. 9; Jé. 18. 6; | 30524 |
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contestons..............1
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12 Si nous souffrons avec lui, nous régnerons aussi avec lui; si nous le contestons, il nous contredira aussi; Mt. 10. 33; Mc. 8. 38; Lu. 9. 26; Lu. 12. 9; Ro. 8. 17; 2 Co. 4. 10; Ph. 3. 10; 1 Pi. 4. 13; | 32340 |
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contestèrent............1
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13 Ce sont là les eaux de Mériba (contestation), où les enfants d'Israël contestèrent avec L’ADMIRABLE; et il se sanctifia en eux. | 4656 |
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contesté................2
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20 Mais les bergers de Guérar se querellèrent avec les bergers d'Isaac, en disant: L'eau est à nous; et il appela le puits: Esek (contestation), parce qu'ils avaient contesté avec lui. | 820 |
25 Au reste, vaux-tu mieux que Balak, fils de Tsippor, roi de Moab? A-t-il contesté et combattu contre Israël? No. 22. 2; | 7360 |
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contexte................6
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Un atout de cette édition de la Bible Machaira est de présenter, dans le fil du texte biblique, un grand nombre de références qui se rapportent à des passages parallèles, ainsi que des notes facilitant l'étude biblique et augmentant la richesse de lecture. A part l’excellente Bible calviniste de David Martin, elle est la seule à utiliser de tels renvois qui se rapportent à un même sujet, afin d’éclaircir l’enseignement donné dans un contexte particulier, comme vous voyez dans le passage suivant : | 6 |
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi. | 14 |
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi. | 14 |
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi. | 14 |
Nous avisons le lecteur que les mots en italiques ne se trouvent point dans les Originaux, mais sont suggéré par le contexte grammatical, historique, et linguistique. Souvent il s’agit de règles de grammaire, ou encore ils furent ajoutés soit pour éclaircir le sens de la phrase où ils apparaissent, soit pour préciser l’enseignement donné. Avec les italiques nous suivons la pratique des anciennes versions qui ajoutent plusieurs mots en italique pour but de transparence afin de ne pas induire les lecteurs en erreur, contrairement à ce que font les versions modernes tendancieuses. Nous avons été soucieux d'être transparent et de maintenir la saveur de l’ancienne traduction, tout en rendant la beauté du texte intégral inspiré dans un style simple et moderne, comme une lumière qui brille dans les ténèbres. Il est inévitable que certains, habitués avec les versions dénaturées de la Bible, s’imaginent que les mots et les notes en italiques font parti des originaux, c’est pour cela que nous trouvons important de le mentionner. | 18 |
9 Et de l'une d'elles surgit une petite corne* qui s'agrandit beaucoup vers le midi, et vers l'orient, et vers le pays de gloire. *dans le contexte historique de cette révélation, la petite corne se rapporte au roi despote, Hérode Antipas, qui fut donné par le Sénat Romain le titre de souverain pontife ainsi que la domination sur la province d’Israel. | 23904 |