|
traduire................3
|
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi. | 14 |
10 Un autre, le combat des puissances de cette disposition mondaine; un autre, l'explication des Écritures; un autre, le discernement des raisonnements; un autre, la diversité des langages étrangers; et un autre, le privilège de traduire ces langages. | 31034 |
13 C'est pourquoi, que celui qui parle un langage étranger, prie pour qu'il puisse le traduire. | 31084 |
|
traduise................2
|
5 Je souhaite que vous parliez tous les langages de la terre, mais surtout que vous interprétiez les Écritures; car celui qui interprète, est plus grand que celui qui parle les langages des différents peuples, à moins qu'il ne les traduise, afin que les convoqués à renaître en reçoive de l'accroissement. | 31076 |
27 S'il y en a qui parlent le langage d'un peuple étranger, qu'il n'y en ait que deux ou trois, tout au plus, et l'un après l'autre; et qu'il y en ait un qui traduise. | 31098 |
|
traduisent-ils..........1
|
30 Tous sont-ils des privilégiés à la restauration des âmes blessées? Tous parlent-ils les langages des différentes nations? Tous traduisent-ils ces langages? | 31054 |
|
traduit.................11
|
Machaira est le mot Grec pour Épée et il s’agit ici de l’Épée de l’Esprit qui est la Parole de L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS. Le texte de cette Version est une révision de la Bible de l'Épée 2010, Version leDuc, contenant plusieurs nouvelles traductions dans un très grand nombre de passages. Elle comporte de nombreuses précisions sur les Originaux Hébreu et Grec, surtout dans le Nouveau Testament. Le lecteur habitué aux traductions classiques ou régulières se trouvera perplexe devant plusieurs nouvelles expressions, mais qu'il soit assuré que toutes les précautions ont été prises pour qu'elles demeurent fidèles aux originaux, même si parfois une traduction peut sembler étrange à votre entendement. Les traductions ont été vérifiées sur les Lexiques Hébreu et Grec de la Concordance Strong Française, sur l’étymologie des mots dans les Dictionnaires Hébreu-Français et Grec-Français, et sur un Dictionnaire de Synonymes très réputé, et tout cela sous la direction et la puissance de l’Esprit de Christ qui veille jalousement sur sa Parole. Tout ce travail à contribué à éclaircir le texte davantage, surtout dans le Nouveau Testament. Notre but était d'atteindre une clarté d'expression plus limpide et plus compréhensible à tous, sans toutefois départir du sens réel des mots dans leur langue d'origine qui détiennent une grande variété de nuances applicables dans différents contextes. Les nouvelles traductions furent discutées et analysées avec plusieurs afin d'assurer une transmission précise de leurs significations. Nous avons surtout cherché à maintenir l'uniformité de traduction envers certains mots qui n'avait jamais été traduit auparavant. La Bible est pour les simples, et les gens du peuple commun ont besoin de savoir ce qu'elle dit, et non ce que les experts et les savants disent qu'elle dit (1 Corinthiens 1:24-29). | 10 |
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi. | 14 |
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi. | 14 |
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi. | 14 |
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi. | 14 |
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi. | 14 |
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi. | 14 |
Nous avons placé l’importance sur l’exactitude des termes originaux, et à plusieurs reprises, nous avons utilisé des synonymes et des termes modernes qui correspondent aux originaux, afin d'obtenir une clarté d’expression qui ne se trouve point dans les traductions stéréotypées ou traditionnelles de la Bible. Aussi la composition de certaines phrases fut restructurée, réajustée et retouchée, lorsque la nécessité s’imposait pour but de fidélité. Nous faisons remarquer aussi que l'expression «JÉSUS LE MESSIE» est la signature officielle de cette nouvelle version de la Bible, car aucune autre ne traduit le nom du Souverain ainsi. En fait, il ne peut avoir de plus belle signature que le nom de L’ESPRIT DES VIVANTS même qui signifie «YHWH le Sauveur choisi» ou plus précisément «L’ADMIRABLE Sauveur», nous indiquant que le Père, le Fils, et l’Esprit sont identique et non trois personnes distinctes. Nous avons fait ainsi à cause que plusieurs s'imaginent que «Christ» est le nom de famille du Souverain Jésus. Vous trouverez cette nouvelle traduction principalement dans le premier chapitre de chaque livre du Nouveau Testament, car nous ne l'avons pas traduit uniformément à travers tout le texte puisque nous l'utilisons comme signature d'introduction seulement, quoiqu'elle peut se trouver dans différents passages qui demandent une telle précision. | 16 |
Nous avons placé l’importance sur l’exactitude des termes originaux, et à plusieurs reprises, nous avons utilisé des synonymes et des termes modernes qui correspondent aux originaux, afin d'obtenir une clarté d’expression qui ne se trouve point dans les traductions stéréotypées ou traditionnelles de la Bible. Aussi la composition de certaines phrases fut restructurée, réajustée et retouchée, lorsque la nécessité s’imposait pour but de fidélité. Nous faisons remarquer aussi que l'expression «JÉSUS LE MESSIE» est la signature officielle de cette nouvelle version de la Bible, car aucune autre ne traduit le nom du Souverain ainsi. En fait, il ne peut avoir de plus belle signature que le nom de L’ESPRIT DES VIVANTS même qui signifie «YHWH le Sauveur choisi» ou plus précisément «L’ADMIRABLE Sauveur», nous indiquant que le Père, le Fils, et l’Esprit sont identique et non trois personnes distinctes. Nous avons fait ainsi à cause que plusieurs s'imaginent que «Christ» est le nom de famille du Souverain Jésus. Vous trouverez cette nouvelle traduction principalement dans le premier chapitre de chaque livre du Nouveau Testament, car nous ne l'avons pas traduit uniformément à travers tout le texte puisque nous l'utilisons comme signature d'introduction seulement, quoiqu'elle peut se trouver dans différents passages qui demandent une telle précision. | 16 |
8 Mais Élymas, le magicien, car c'est ainsi que se traduit son nom, leur résistait, tâchant de détourner le proconsul de la foi. Ex. 7. 11; 2 Ti. 3. 8; | 29668 |
1 Quoique je parlerai même le langage de l'attitude des hommes qui sont les messagers délégués de L’ESPRIT DES VIVANTS; si je n'ai point le renoncement*, je deviens comme l'airain qui résonne, ou comme une cymbale qui retentit. *résignation, du Grec «Agapao» malencontreusement traduit par «amour» ou «charité». | 31058 |