tentèrent...............5
18 Ils tentèrent L’ESPRIT DES VIVANTS dans leur cœur, demandant des mets selon leur désir.16410
56 Mais ils tentèrent et irritèrent L’ESPRIT DES VIVANTS Très-Haut, et ne gardèrent point ses témoignages.16448
14 Ils s'éprirent de convoitise dans le désert, et tentèrent L’ESPRIT DES VIVANTS dans la solitude. Ex. 16. 3; No. 11. 4; No. 11. 6; No. 11. 33; Ps. 78. 18; 1 Co. 10. 6;17020
9 Et ne tentons point le Christ, comme quelques-uns d'entre eux le tentèrent; et ils périrent par les serpents. No. 21. 5; Ps. 106. 14;30962
9 Où vos pères me tentèrent et m'examinèrent, et où ils virent mes œuvres pendant quarante ans.32532
 
 tenté...................11
7 Et on nomma le lieu Massa et Mériba (tentation et querelle), à cause de la contestation des enfants d'Israël, et parce qu'ils avaient tenté L’ADMIRABLE, en disant: L’ADMIRABLE est-il au milieu de nous, ou n'y est-il pas?2180
22 Tous les hommes qui ont vu ma gloire et les signes que j'ai faits en Égypte et au désert, et qui m'ont déjà tenté dix fois, et qui n'ont point écouté ma voix,4450
9 Où vos pères m'ont tenté et m'ont éprouvé, où ils ont aussi vu mes œuvres. Hé. 3. 9;16790
1 Alors Jésus fut emmené par l'Esprit dans le désert pour être tenté par sa contrariété charnelle*. Mc. 1. 12; Lu. 4. 1; *la nature humaine de Jésus était pure et sans péché, mais l’esprit de la chair demeurait en opposition à l’Esprit divin pour le tenter en toutes choses. Étant parfait, aucun ne pouvait le tenter sauf lui-même.25308
13 Et il fut là au désert quarante jours, étant tenté par sa contrariété charnelle; et il était avec les bêtes sauvages, et les anges le servaient.26376
2 Où il fut tenté par sa contrariété charnelle pendant quarante jours, et il ne mangea rien durant ces jours-là; mais après qu'ils furent passés, il eut faim. Ex. 34. 28; 1 R. 19. 8;27252
6 Et qui même a tenté de profaner le temple. Nous l'avions saisi, et nous voulions le juger selon notre loi; Ac. 21. 28;30094
29 Par la foi, ils passèrent par la mer Rouge comme par un lieu sec; les Égyptiens ayant tenté le passage, furent immergés. Ex. 14. 22;32744
13 Que personne ne dise, lorsqu'il est tenté: C'est L’ESPRIT DES VIVANTS qui me tente; car L’ESPRIT DES VIVANTS ne peut être tenté par le mal, et lui-même ne tente personne.32832
13 Que personne ne dise, lorsqu'il est tenté: C'est L’ESPRIT DES VIVANTS qui me tente; car L’ESPRIT DES VIVANTS ne peut être tenté par le mal, et lui-même ne tente personne.32832
14 Mais chacun est tenté quand il est attiré et séduit par sa propre convoitise.32832
 
 tentés..................2
5 Ne pouvant donc attendre plus longtemps, je l'envoyai afin de savoir ce qu'il en était de votre foi, de peur que le tentateur ne vous ait tentés, et que notre travail ne soit devenu inutile.32060
37 Ils furent lapidés, ils furent sciés, ils furent tentés, ils moururent par le tranchant de l'épée, ils errèrent çà et là, vêtus de peaux de brebis et de peaux de chèvres, dénués de tout, persécutés, maltraités; 1 R. 21. 13; 2 R. 1. 8; Mt. 3. 4;32752
 
 tenu....................19
27 Et Abraham se leva de bon matin, et vint au lieu où il s'était tenu devant L’ADMIRABLE.578
9 Donne cet ordre à Aaron et à ses fils, en disant: Voici la loi de l'offrande à brûler: L'offrande à brûler restera sur le foyer de l'autel toute la nuit jusqu'au matin, et le feu de l'autel y sera tenu allumé.3108
17 Galaad, au delà du Jourdain, resta dans sa demeure. Et Dan, pourquoi s'est-il tenu sur ses navires? Asser s'est assis au rivage de la mer, et s'est reposé dans ses havres.7134
21 Et Saül répondit, et dit: Ne suis-je pas Benjamite, de la moindre tribu d'Israël, et ma famille n'est-elle pas la plus petite de toutes les familles de la tribu de Benjamin? Et pourquoi m'as-tu tenu de tels discours?7966
16 Et Saül dit à son oncle: Il nous a assuré que les ânesses étaient trouvées; mais il ne lui déclara pas le discours que Samuel avait tenu touchant la royauté.7990
24 Et les serviteurs de Saül le lui rapportèrent, et lui dirent: David a tenu tels discours.8272
24 Toi, qui as tenu à ton serviteur David, mon père, ce que tu lui avais promis. En effet, ce que tu as prononcé de ta bouche, tu l'as accompli de ta main, comme il paraît aujourd'hui.9672
15 Toi qui as tenu à ton serviteur David, mon père, ce que tu lui avais promis; et ce que tu as prononcé de ta bouche, tu l'as accompli de ta main, comme il paraît aujourd'hui. 1 Ch. 22. 9;12112
17 Puis Amatsia, roi de Juda, ayant tenu conseil, envoya vers Joas, fils de Joachaz, fils de Jéhu, roi d'Israël, pour lui dire: Viens, que nous nous voyions en face! 2 R. 14. 8;12574
18 Ce que les sages ont proclamé, ce qu'ils n'ont point caché, l'ayant tenu de leurs pères.14196
11 Il a allumé sa colère contre moi, et il m'a tenu pour l'un de ses ennemis. Job 13. 24; Job 16. 9; Job 33. 10; La. 2. 5;14290
12 Je ne me suis point écarté du commandement de ses lèvres, j'ai tenu aux paroles de sa bouche plus qu'à ma provision ordinaire.14422
20 Le mal sera-t-il rendu pour le bien? Car ils ont creusé une fosse pour mon âme. Souviens-toi que je me suis tenu devant toi, afin de parler pour leur bien, afin de détourner d'eux ta colère.21146
14 Afin que le royaume fût tenu dans l'abaissement, sans pouvoir s'élever, tout en le laissant subsister, s'il observait son alliance.22694
5 Car il a entendu le son de la trompette, et il ne s'est point tenu sur ses gardes; son sang sera sur lui; mais s'il se tient pour averti, il sauvera sa vie.23172
17 Mais le souverain sera tenu de fournir les offrandes à brûler, les offrandes et les offrandes de breuvage, aux fêtes, aux nouvelles lunes, aux sabbats, à toutes les solennités de la maison d'Israël. Il offrira le sacrifice pour le péché, l'offrande, et l'offrande à brûler, et les sacrifices de prospérités, afin de faire propitiation pour la maison d'Israël.23558
5 Mais vous, vous dites: Celui qui aura dit à son père ou à sa mère: Ce dont je pourrais t'assister est un don consacré à L’ESPRIT DES VIVANTS, n'est pas tenu d'honorer son père ou sa mère.25758
47 Le serviteur qui a connu la volonté de son maître, et qui ne s'est pas tenu prêt et n'a pas fait cette volonté, sera battu de plusieurs coups. Ja. 4. 17;27710
17 Mais L’ADMIRABLE s'est tenu près de moi et m'a fortifié, afin que par moi la prédication eût une pleine efficacité, et que tous les Gentils l'entendissent; et j'ai été délivré de la gueule du lion.32392
 
 tenue...................1
4 Il a tendu son arc comme un ennemi; sa droite s'est tenue comme celle d'un adversaire; il a tué tout ce qui était agréable à l'œil; sur la tente de la fille de Sion, il a répandu comme un feu sa colère.22150
 
 tenus...................4
28 Et L’ADMIRABLE entendit vos paroles pendant que vous me parliez; et L’ADMIRABLE me dit: J'ai entendu les discours que ce peuple t'a tenus; ils ont bien dit tout ce qu'ils ont dit.5456
3 Oui, il aime les peuples. Tous ses saints sont en ta main. Ils se sont tenus à tes pieds pour recevoir tes paroles.6244
21 Or, il arrivera, lorsque le roi, mon seigneur, se sera endormi avec ses pères, que nous serons tenus pour coupables, moi et mon fils Salomon.9388
9 Dès les jours de Guibea tu as péché, Israël! Ils se sont tenus là; la guerre contre les impies ne les atteignit point à Guibea. Os. 9. 9;24198
 
 terme...................24
Cette édition 2016 de la Bible de Machaira met un terme à 40 années de travail et à douze révisions de cette version de la Bible afin d’obtenir une traduction des originaux Hébreu et Grec qui est d’une précision exceptionnelle jamais vue auparavant. Elle se refuse de donner une traduction stéréotypée et ne suit aucunement le courant théologique de la dite orthodoxie ecclésiastique, comme c’est le cas de presque toutes les traductions et versions de la Bible. Elle n’est donc ni protestante ni catholique, ni évangéliques, ni œcuménique, mais strictement de L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS, Jésus le Messie. Le principal intérêt de cette édition 2016 de la Bible Machaira est d'avoir maintenue comme ses prédécesseurs la certitude et l’autorité du Texte Massorétique Hébreu et du Texte Reçu Grec de la Réforme protestante. Comme pour la Bible Martin, c'est un gage de fidélité et d’assiduité envers les écrits bibliques originaux que nous désirons préciser d’avantage en utilisant des termes et des expressions modernes.4
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14
26 Les bénédictions de ton père surpassent les bénédictions de ceux qui m'ont engendré. Jusqu'au terme des collines éternelles, elles seront sur la tête de Joseph, sur le front du prince de ses frères.1652
5 Et L’ADMIRABLE fixa le terme, en disant: Demain L’ADMIRABLE fera cela dans le pays.1922
8 Et il attendit sept jours, selon le terme marqué par Samuel; mais Samuel ne venait point à Guilgal; et le peuple s'éloignait d'auprès de Saül.8054
13 Oh! si tu me cachais dans le Sépulcre, si tu me mettais à couvert, jusqu'à ce que ta colère fût passée! Si tu me donnais un terme, après lequel tu te souviendrais de moi14166
2 (75-3) Au terme que j'ai fixé, je jugerai avec droiture. 16342
17 Que ne m'a-t-on fait mourir dans le sein de ma mère? Que n'a-t-elle été mon tombeau? Et pourquoi sa grossesse n'a-t-elle été sans terme?21184
24 Et je ferai venir les plus méchantes des nations, afin qu'elles s'emparent de leurs maisons; je mettrai un terme à l'orgueil des puissants, et leurs saints lieux seront profanés.22436
27 Fils de l'homme, voici, la maison d'Israël dit: La vision qu'il a, est à long terme; c'est pour des temps éloignés qu'il prophétise.22552
25 (21-30) Et toi, profane, méchant, prince d'Israël, dont le jour arrive, au temps où l'iniquité a son terme,22832
29 (21-34) Au milieu de tes visions trompeuses et de tes présages menteurs, elle te jettera sur les cadavres des méchants, dont le jour arrive au temps où leur iniquité est à son terme.22836
4 Par le sang que tu as répandu, tu t'es rendue coupable, et par les idoles que tu as faites, tu t'es souillée. Tu as avancé tes jours, et tu es parvenue au terme de tes années; c'est pourquoi je vais faire de toi un objet d'opprobre pour les nations, et de moquerie pour tous les pays. 2 R. 21. 16; Éz. 5. 14; Éz. 20. 30-31;22846
27 Je mettrai un terme à tes infamies et à tes prostitutions du pays d'Égypte; tu ne lèveras plus les yeux vers eux, et tu ne te souviendras plus de l'Égypte.22902
5 Parce que tu avais une inimitié perpétuelle, et que tu as livré à l'épée les enfants d'Israël, dans le temps de leur calamité, alors que leur iniquité était à son terme, Éz. 25. 15;23240
27 C'est pourquoi, ô roi! agrée mon conseil, et mets un terme à tes péchés par la justice, et à tes iniquités par la miséricorde envers les pauvres, si ta prospérité doit se prolonger.23790
26 Et après les soixante-deux semaines, le Christ sera retranché dans la soixante-dixième semaine, et non pour lui. Et le peuple d'un conducteur qui viendra, détruira la ville et le sanctuaire*, et sa fin sera dans ce débordement; les désolations sont déterminées jusqu'au terme de la guerre. Lu. 19. 43,44; *destruction de Jérusalem et du temple en l’an 70 par l’empereur Titus et les armées romaine.23950
13 Les douleurs de celle qui enfante lui surviendront. C'est un enfant qui n'est pas sage; car, au terme voulu, il ne se présente pas pour voir le jour.24248
57 Or, le terme d'Élisabeth étant venu pour être délivré de sa grossesse, elle donna naissance à un fils.27132
21 Quand une femme accouche, elle a des douleurs, parce que son terme est venu; mais dès qu'elle est accouchée d'un enfant, elle ne se souvient plus de son travail, à cause de sa joie de ce qu'un homme est né dans cette disposition. És. 26. 17;29008