rit.....................10
17 Alors Abraham tomba sur sa face; et il rit, et dit en son cśur: Naîtrait-il un enfant à un homme âgé de cent ans? et Sara, âgée de quatre-vingt-dix ans, enfanterait-elle?504
12 Et Sara rit en elle-même, en disant: Quand je suis vieille, aurais-je ce plaisir! mon seigneur aussi est vieux. Jg. 19. 26; 1 Pi. 3. 6;528
21 C'est ici la Parole que L’ADMIRABLE a prononcée contre lui: Elle te méprise, elle se rit de toi, la vierge fille de Sion; elle hoche la tête après toi, la fille de Jérusalem.10812
23 Quand un fléau soudain répand la mort, il se rit des épreuves des innocents.14036
7 (39-10) Il se rit du bruit de la ville; il n'entend pas les clameurs de l'ânier.14864
22 (39-25) Il se rit de la crainte, il n'a peur de rien; il ne recule point devant l'épée.14878
29 (41-20) Comme du chaume, la massue; il se rit du frémissement des javelots.14944
25 La force et la magnificence forment son vêtement, et elle se rit du jour à venir;18838
22 C'est ici la Parole que L’ADMIRABLE a prononcée contre lui: Elle te méprise, elle se rit de toi, la vierge, fille de Sion; elle hoche la tête après toi, la fille de Jérusalem.20020
10 Ce peuple se moque des rois, et les princes sont l'objet de ses railleries; il se rit de toutes les forteresses; il amoncelle de la terre, et il s'en empare.24776
 
 rites...................1
17 Ceux qui se sanctifient et qui se purifient au milieu des jardins (d'après les rites d'Achad), l'un après l'autre; qui mangent de la chair de pourceau, et des choses abominables, et des souris, périront tous ensemble, dit L’ADMIRABLE.20644
 
 Rithma..................2
18 Puis ils partirent de Hatséroth, et campèrent à Rithma. 5136
19 Et ils partirent de Rithma et campèrent à Rimmon-Pérets. 5138
 
 Ritsia..................1
39 Fils d'Ulla: Arach, Hanniel et Ritsia. 11332
 
 Ritspa..................4
7 Et Saül avait eu une concubine qui s'appelait Ritspa, fille d'Ajja; et Ishbosheth dit à Abner: Pourquoi es-tu venu vers la concubine de mon père? 2 S. 21. 8; 2 S. 21. 10-11;8692
8 Mais le roi prit les deux fils de Ritspa, fille d'Ajja, Armoni et Méphibosheth, qu'elle avait enfantés à Saül, et les cinq fils de Mical, fille de Saül, qu'elle avait enfantés à Adriel, fils de Barzillaï Méholathite;9228
10 Alors Ritspa, fille d'Ajja, prit un sac, et se l'étendit sur le rocher, depuis le commencement de la moisson jusqu'à ce que l'eau du ciel tombât sur eux; et elle ne laissait pas les oiseaux du ciel se poser sur eux le jour, ni les bêtes des champs la nuit.9230
11 Et on rapporta à David ce que Ritspa, fille d'Ajja, concubine de Saül, avait fait.9232
 
 rituel..................2
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14
2 De la doctrine du rituel des consécrations, de l'imposition des mains, de la résurrection des morts, et du jugement éternel,32580
 
 rituellement............4
4 Et lorsqu'ils reviennent des places publiques, ils ne mangent point non plus sans s'être désinfectés rituellement (baptisés). Il y a aussi beaucoup d'autres choses qu'ils ont reçues pour les observer, comme de désinfecter rituellement (baptiser) les coupes, les pots, les vaisseaux d'airain et les canapés.26628
4 Et lorsqu'ils reviennent des places publiques, ils ne mangent point non plus sans s'être désinfectés rituellement (baptisés). Il y a aussi beaucoup d'autres choses qu'ils ont reçues pour les observer, comme de désinfecter rituellement (baptiser) les coupes, les pots, les vaisseaux d'airain et les canapés.26628
7 Il disait donc au peuple qui venait pour être consacré rituellement par lui: Race de vipères, qui vous a appris à fuir la colère à venir? Mt. 3. 7; Mt. 23. 33;27218
38 Et le pharisien s'étonna de ce qu'il vit qu'il ne s'était pas lavé rituellement avant le dîner. Mc. 7. 3;27644
 
 rituels.................2
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14