Héber...................22
24 Et Arpacshad engendra Shélach, et Shélach engendra Héber. 1 Ch. 1. 18; 330
25 Et à Héber il naquit deux fils: le nom de l'un est Péleg*, car en son temps le Continent fut fragmenté; et le nom de son frère, Jockthan. *fragmenter, fractionner, morceler. A cette époque, la terre qui fut alors d’un seul Continent, fut fragmenter par un cataclysme cosmique en les cinq continents que nous connaissons de nos jours.330
14 Et Shélach vécut trente ans, et engendra Héber. 358
15 Et Shélach, après qu'il eut engendré Héber, vécut quatre cent trois ans; et il engendra des fils et des filles.358
16 Et Héber vécut trente-quatre ans, et engendra Péleg. 360
17 Et Héber, après qu'il eut engendré Péleg, vécut quatre cent trente ans; et il engendra des fils et des filles.360
17 Les fils d'Asser: Jimna, Jishva, Jishvi, Béria, et Sérach leur sœur. Et les enfants de Béria: Héber et Malkiel. 1 Ch. 7. 30;1550
24 Mais des navires viendront du côté de Kittim, et ils humilieront Assur, ils humilieront Héber, et lui aussi sera détruit.4810
45 Des fils de Beria: de Héber, la famille des Hébrites; de Malkiel, la famille des Malkiélites.4878
11 Or, Héber, le Kénien, s'étant séparé des Kéniens, enfants de Hobab, parent de Moïse, avait dressé ses tentes jusqu'au chêne de Tsaanaïm, qui est auprès de Kédès. No. 10. 29;7102
17 Et Sisera s'enfuit à pied vers la tente de Jaël, femme de Héber, le Kénien; car il y avait paix entre Jabin, roi de Hatsor, et la maison de Héber, Kénien.7108
17 Et Sisera s'enfuit à pied vers la tente de Jaël, femme de Héber, le Kénien; car il y avait paix entre Jabin, roi de Hatsor, et la maison de Héber, Kénien.7108
21 Mais Jaël, femme de Héber, saisit un clou de la tente; et, prenant en main le marteau, elle vint à lui doucement, et lui transperça la tempe avec ce clou, qui s'enfonça en terre. Il était profondément endormi et accablé de fatigue; et il mourut.7112
24 Qu'elle soit bénie entre les femmes, Jaël, femme de Héber, le Kénien! Qu'elle soit bénie entre les femmes qui habitent sous la tente!7140
18 Arpacshad engendra Shélach; et Shélach engendra Héber. 11016
19 Deux fils naquirent à Héber: l'un s'appelait Péleg (diviser, fragmenter), parce que de son temps la terre fut partagée; et le nom de son frère était Jockthan.11016
25 Héber, Péleg, Réhu, 11022
18 Sa femme, la Judéenne, enfanta Jéred, père de Guédor, Héber, père de Soco, et Jékuthiel, père de Zanoach. Ceux-là sont les enfants de Bithia, fille de Pharaon, que Méred prit pour femme.11154
31 Fils de Béria: Héber et Malkiel, celui-ci fut père de Birzavith. 11324
32 Héber engendra Japhlet, Shomer, Hotham, et Shua, leur sœur. 11324
17 Zébadia, Meshullam, Hizki, Héber, 11352
35 De Sarug, de Ragaü, de Phaleg, de Héber, de Sala, 27246
 
 hébraïque...............5
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14
Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux hébreu et grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Souverain» en notre langue, les deux signifiant une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Souverain Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langage, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation et non une Assemblée. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire d’être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.14
40 Et quand il le lui eut permis, Paul, se tenant sur les marches, fit signe de la main au peuple; et un grand silence s'étant établi, il parla en langue hébraïque, et dit:30018
2 Et quand ils entendirent qu'il leur parlait en langue hébraïque, ils firent encore plus de silence. Et il dit:30022
14 Et étant tous tombés par terre, j'entendis une voix qui me parlait, et me disait, en langue hébraïque: Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu? Il te serait difficile de résister contre les provocations de mon appel.30160
 
 Hébreu..................9
Cette édition 2016 de la Bible de Machaira met un terme à 40 années de travail et à douze révisions de cette version de la Bible afin d’obtenir une traduction des originaux Hébreu et Grec qui est d’une précision exceptionnelle jamais vue auparavant. Elle se refuse de donner une traduction stéréotypée et ne suit aucunement le courant théologique de la dite orthodoxie ecclésiastique, comme c’est le cas de presque toutes les traductions et versions de la Bible. Elle n’est donc ni protestante ni catholique, ni évangéliques, ni œcuménique, mais strictement de L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS, Jésus le Messie. Le principal intérêt de cette édition 2016 de la Bible Machaira est d'avoir maintenue comme ses prédécesseurs la certitude et l’autorité du Texte Massorétique Hébreu et du Texte Reçu Grec de la Réforme protestante. Comme pour la Bible Martin, c'est un gage de fidélité et d’assiduité envers les écrits bibliques originaux que nous désirons préciser d’avantage en utilisant des termes et des expressions modernes.4
Cette édition 2016 de la Bible de Machaira met un terme à 40 années de travail et à douze révisions de cette version de la Bible afin d’obtenir une traduction des originaux Hébreu et Grec qui est d’une précision exceptionnelle jamais vue auparavant. Elle se refuse de donner une traduction stéréotypée et ne suit aucunement le courant théologique de la dite orthodoxie ecclésiastique, comme c’est le cas de presque toutes les traductions et versions de la Bible. Elle n’est donc ni protestante ni catholique, ni évangéliques, ni œcuménique, mais strictement de L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS, Jésus le Messie. Le principal intérêt de cette édition 2016 de la Bible Machaira est d'avoir maintenue comme ses prédécesseurs la certitude et l’autorité du Texte Massorétique Hébreu et du Texte Reçu Grec de la Réforme protestante. Comme pour la Bible Martin, c'est un gage de fidélité et d’assiduité envers les écrits bibliques originaux que nous désirons préciser d’avantage en utilisant des termes et des expressions modernes.4
Machaira est le mot Grec pour Épée et il s’agit ici de l’Épée de l’Esprit qui est la Parole de L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS. Le texte de cette Version est une révision de la Bible de l'Épée 2010, Version leDuc, contenant plusieurs nouvelles traductions dans un très grand nombre de passages. Elle comporte de nombreuses précisions sur les Originaux Hébreu et Grec, surtout dans le Nouveau Testament. Le lecteur habitué aux traductions classiques ou régulières se trouvera perplexe devant plusieurs nouvelles expressions, mais qu'il soit assuré que toutes les précautions ont été prises pour qu'elles demeurent fidèles aux originaux, même si parfois une traduction peut sembler étrange à votre entendement. Les traductions ont été vérifiées sur les Lexiques Hébreu et Grec de la Concordance Strong Française, sur l’étymologie des mots dans les Dictionnaires Hébreu-Français et Grec-Français, et sur un Dictionnaire de Synonymes très réputé, et tout cela sous la direction et la puissance de l’Esprit de Christ qui veille jalousement sur sa Parole. Tout ce travail à contribué à éclaircir le texte davantage, surtout dans le Nouveau Testament. Notre but était d'atteindre une clarté d'expression plus limpide et plus compréhensible à tous, sans toutefois départir du sens réel des mots dans leur langue d'origine qui détiennent une grande variété de nuances applicables dans différents contextes. Les nouvelles traductions furent discutées et analysées avec plusieurs afin d'assurer une transmission précise de leurs significations. Nous avons surtout cherché à maintenir l'uniformité de traduction envers certains mots qui n'avait jamais été traduit auparavant. La Bible est pour les simples, et les gens du peuple commun ont besoin de savoir ce qu'elle dit, et non ce que les experts et les savants disent qu'elle dit (1 Corinthiens 1:24-29).10
Machaira est le mot Grec pour Épée et il s’agit ici de l’Épée de l’Esprit qui est la Parole de L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS. Le texte de cette Version est une révision de la Bible de l'Épée 2010, Version leDuc, contenant plusieurs nouvelles traductions dans un très grand nombre de passages. Elle comporte de nombreuses précisions sur les Originaux Hébreu et Grec, surtout dans le Nouveau Testament. Le lecteur habitué aux traductions classiques ou régulières se trouvera perplexe devant plusieurs nouvelles expressions, mais qu'il soit assuré que toutes les précautions ont été prises pour qu'elles demeurent fidèles aux originaux, même si parfois une traduction peut sembler étrange à votre entendement. Les traductions ont été vérifiées sur les Lexiques Hébreu et Grec de la Concordance Strong Française, sur l’étymologie des mots dans les Dictionnaires Hébreu-Français et Grec-Français, et sur un Dictionnaire de Synonymes très réputé, et tout cela sous la direction et la puissance de l’Esprit de Christ qui veille jalousement sur sa Parole. Tout ce travail à contribué à éclaircir le texte davantage, surtout dans le Nouveau Testament. Notre but était d'atteindre une clarté d'expression plus limpide et plus compréhensible à tous, sans toutefois départir du sens réel des mots dans leur langue d'origine qui détiennent une grande variété de nuances applicables dans différents contextes. Les nouvelles traductions furent discutées et analysées avec plusieurs afin d'assurer une transmission précise de leurs significations. Nous avons surtout cherché à maintenir l'uniformité de traduction envers certains mots qui n'avait jamais été traduit auparavant. La Bible est pour les simples, et les gens du peuple commun ont besoin de savoir ce qu'elle dit, et non ce que les experts et les savants disent qu'elle dit (1 Corinthiens 1:24-29).10
11 Or il arriva, en ces jours-là, lorsque Moïse fut devenu grand, qu'il sortit vers ses frères, et vit leurs durs travaux. Il vit aussi un Égyptien qui frappait un Hébreu d'entre ses frères; Ac. 7. 23; Hé. 11. 24-25;1726
9 Et il leur dit: Je suis Hébreu, et je crains L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS des cieux, qui a fait la mer et la terre.24544
5 Moi, circoncis le huitième jour, de la race d'Israël, de la tribu de Benjamin, Hébreu, né d'Hébreux; quant à la loi, Pharisien; Ge. 49. 27; Ac. 23. 6; 2 Co. 11. 22;31870
6 Et qui, en observant la loi, se sont détournés de la grâce, il est impossible de les réformer davantage par la reconsidération*, puisqu'ils crucifient pour eux-mêmes de nouveau le Fils, L’ESPRIT DES VIVANTS même, et le déshonorent publiquement. Ro. 2. 17-24; Ga. 5. 4; 1 Th. 2. 14-16; *l’enseignement de ce passage se rapporte strictement au peuple Hébreu qui persistait à se justifier par les œuvres de la loi, refusant ainsi la grâce qui leur était présenté.32584
9 Cependant, nous avons la confiance dans de meilleures choses pour vous* qui êtes pleinement résignés et qui possédez le salut, quoique nous parlions de cette façon. *il s’agit ici de ceux du peuple Hébreu qui étaient justifiés par la foi en Christ et qui possédaient ainsi l’assurance de la grâce du salut.32586