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serments, les vœux et les promesses faites par
les pseudo-juifs étaient donc prononcées
exactement comme les promesses que font les
enfants en croisant les doigts, mais dans des
situations infiniment plus sérieuses.
La version remaniée du
Kol Nidre
causa de
sérieux problèmes aux pseudo-juifs, lorsque sa
traduction fut néanmoins découverte par les
chrétiens... Car le
Kol Nidre
ne resta pas un
secret très longtemps, malgré la déclaration du
Talmud
selon laquelle «la loi de révocation par
avance ne fut pas rendue publique». La version
remaniée du
Kol Nidre
devint assez rapidement
connue comme «le vœu des Juifs», et elle jeta un
doute sérieux sur les serments, les vœux ou les
promesses données aux chrétiens par les
pseudo-juifs. Les chrétiens se mirent bientôt à
penser que les serments, les vœux ou les
promesses, ne valaient rien du tout quand elles
étaient données par des pseudo-juifs. Et c’est ce
qui fut à la base des soi-disant «discriminations»
dont ils furent «victimes» de la part des
gouvernements, des nobles, des seigneurs