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LES BORDELS CHRÉTIENS DANS NOS COMMUNAUTÉS ET NOS VILLES
Par Jean leDuc Septembre 2020
LES TEMPLES DE LA PROSTITUTION
SERVICES DE LA PROSTITUTION ÉVANGÉLIQUE
LES TEMPLES DE LA PROSTITUTION Un Bordel est une Maison de Prostitution, un endroit où les gens payent ou déboursent un certain montant d'argent, pour se livrer aux plaisirs de la chair. La pratique est très ancienne, son origine remonte à l'ancienne Babylone où il y avait des temples dédiés à la prostitution, en l'honneur de la déesse de l'amour. Il en fut de même en Égypte, en Grèce, et dans l'empire Romain. La prostitution faisait partie de leurs religions, elle était exigée pour plaire à leurs dieux, et payer les administrateurs de leurs cultes d'adoration. Il y avait même un culte du phallus dans lequel les femmes adoraient le pénis des hommes. La pratique à payer pour des services sexuels, fut même adoptée dans la papauté, qui remplaça le règne des empereurs, pour parvenir jusqu'à nos jours. Comme les anciens romains, les papistes ont toujours été reconnus pour leur immoralité. Les bordels du peuple étaient très populaires au sein du clergé romain, qui sollicitait leurs services. Nous retrouvons ainsi des bordels littéraux dans toutes les villes et nations de la terre, soutenus discrètement par les ministres d'églises et par les politiciens. C'est la base primaire qui engendra le mouvement de la libération de la femme, celui de l'amour libre, et le mouvement gay de l'arc-en-ciel; les trois ulcères de la perversion moderne, dans notre société démon-cratique. La déesse de l'immoralité est grandement estimée de nos jours, surtout avec les nouveaux moyens de communications informatiques qui ne connaissent aucune frontière. La corruption a atteint son apogée aux niveau social et mondial. La race humaine est tombée honteusement dans la déchéance totale et irrémédiable.
Le sexe est devenu un des plus grands commerces dans le monde, car son attraction fait partie de la nature humaine déchue. Plusieurs considèrent même de légaliser la prostitution comme un service social, pour apaiser les passions de la chair. Et cela dans un but d'en garder le contrôle, et pour la sécurité du peuple. Il en est ainsi dans l'État du Nevada aux États-Unis, et aussi ailleurs. S'il y a une chose à remarquer dans ce domaine de la prostitution, est l'honnêteté des prostituées, car elles ne prétendent pas être autrement que ce qu'elles sont, ce qui n'est pas le cas dans les églises dites chrétiennes. Il y a même un genre de fierté et de camaraderie parmi elles, qu'on ne retrouve même pas parmi les chrétiens. Mais il est vrai aussi que c'est un domaine de corruption imprévisible, où la drogue, la maladie, et la violence font souvent des ravages. C'est la raison pour laquelle plusieurs gouvernements en veulent la légalisation, pour les protéger ainsi que leurs clients. Un autre point à remarquer, est que le commerce du sexe est très rentable, c'est pourquoi il est la cible d'organisations criminelles, et de plusieurs clubs de motards, qui l'exploitent à leurs fins. Les profits servent plus que souvent à payer pour les drogues et les armes, les pots-de-vin, les autos et les motos, les avocats et les policiers, les politiciens, les médecins et les journalistes, l'équipement informatique et les produits de bureau, les outils pour la mécanique, ainsi que les locaux ou bâtiments nécessaires, en plus de donner un style de vie au-dessus de la moyenne. Il est presque incroyable de voir comment lucratif est le commerce du sexe, tellement que s'en est inimaginable. Mais ce n'est pas les prostituées, ni les stars de la porno, qui en profitent le plus, elles sont simplement exploitées par des administrations de scélérats.
Or les bordels ne sont pas réservés au peuple commun qui profite de leurs services. Nous les retrouvons aussi, figurativement, au niveau ecclésiastique d'un christianisme contrefait ou dénaturé. N'oublions pas que dans l'antiquité, la prostitution était reliée à la religion des anciens peuples, même Israël n'en fut pas épargné. Elle pénétra ainsi, au niveau spirituel, dans ce sens figuratif et analogique, dans le Protestantisme, puis dans le mouvement dit Évangélique. Mais sous une forme très subtile et raffinée, presque indétectable au commun des hommes. La notion de payer pour des services, qui plaisent aux caprices de la chair, est très présente dans ces milieux dits chrétiens. On la nomme de la «Prostitution Spirituelle», domaine de la présomption, de la supposition, et des opinions. Les églises sont ainsi les nouveaux temples babyloniens modernes dédiés à la prostitution, dans notre société et nos villes. On retrouve ces nids de vermines insalubres, partout dans les communautés et villes de nos nations, où leurs administrateurs sont revêtus d'habits de respectabilité, de noblesse, et d'érudition académique. Satan se déguise ainsi en ange de lumière. Cela pour ne pas offenser les yeux des gens simples et des ignorants, afin de les séduire plus facilement. Dans ces endroits ignobles de dépravations spirituelles, où on fait le commerce des âmes humaines, on entend les prostitués parler que d'amour, tout comme dans les anciens temples babyloniens construits en l'honneur de la déesse de l'amour. Sauf que dans leurs hypocrisies et leurs démences, ils s'imaginent qu'ils parlent de l'amour de Dieu, salissant ainsi le caractère de notre Admirable Souverain Suprême avec leurs turpitudes, et leurs nombreuses profanations de la vérité.
Comme exemples de telles écœuranteries, mentionnons la sorcière de la Vigerie, Michelle d'Astier, la pute charismatique qui ouvre ses jambes encrassées de ses écoulements dégoûtants, à tous les passants pour chasser leurs démons imaginaires; et le sorcier du Cameroun, Christian Becquet, surnommé le nègre-blanc, qui se masturbe sur la pureté des Saintes-Écritures, afin de les salir par ses insanités de pervers narcissiste. Et le chien galeux, Patrice Garriga, le racontar de ragots qui crache son vomi sur la révélation de Dieu en Jésus-Christ. Cette trinité infernale de larves du cul de Satan, ne fait que représenter le nombre incalculable de prostitués évangéliques qui vendent leurs services au public.
Si le trafic du sexe, de la drogue et des armes est très lucratif et profitable pour les organisations criminelles de tous genres, et les politiciens hypocrites et rapaces de notre système démon-cratique; le trafic des âmes l'est encore beaucoup plus pour les dirigeants des religions dites chrétiennes. En plus, les ressemblances entre les anciennes religions babyloniennes et les religions dites chrétiennes, sont frappantes à tous les niveaux. On croirait même à une résurgence des anciennes religions à mystères, surtout au niveau des sectes dites évangéliques, la secte Baptiste étant la reine des perversions de la vérité. Les églises baptistes, reconnues pour leurs abus de pouvoir, la manipulation et l'intimidation de leurs membres, et pour l'escroquerie, et le viol et la violence envers des enfants, ont tellement été discréditées et dépréciées ici au Québec, que dans leur honte abjecte elles ne s'appellent plus «églises baptistes», mais simplement «églises chrétiennes», dans une folle tentative de cacher leur identité. Une telle hypocrisie subtile est méprisable et répugnante au plus haut point. Mais heureusement tous ne sont pas aveugles à leurs manigances de réprouvés. Ces fils du diable récolteront, en dû temps, le salaire qui leur revient. Ces bordels babyloniens qui font le commerce d'âmes humaines, ne prévaudrons point. Au contraire, ils sont destinés à la perdition éternelle depuis avant la fondation du monde. Il est souvent dit que l'amour brûle comme le feu, et cela ils le réaliseront pleinement, lorsqu'ils se feront rôtir comme des porcs infestes, au jour de vengeance du Dieu vivant.
Maintenant passons à une comparaison, grandement nécessaire, pour donner du discernement aux sages. Les babyloniens avaient un dieu à trois faces, les évangéliques ont un dieu à trois têtes. Les babyloniens avaient un culte de l'amour purement charnel, il en est de même avec les évangéliques et leur amour sentimental. Les babyloniens adoraient dans des temples, les évangéliques adorent dans des églises. Les babyloniens vénéraient l'idole du soleil, les évangéliques vénèrent l'idole de l'intelligence. Les babyloniens admiraient les exploits de la nature humaine, de même avec les évangéliques avec leur respect de la dignité humaine avec son prétendue libre-choix qui valorise leurs efforts. Les babyloniens avaient plusieurs religions à mystères extatiques, les évangéliques ont les pentecôtistes et les charismatiques diaboliques. Les babyloniens participaient activement aux sacrifices sanglants de leurs dieux, les évangéliques participent au sacrifice sanglant symbolique de leur faux dieu, deuxième personne d'une trinité chimérique. Les babyloniens soutenaient les administrateurs de leurs temples avec des offrandes d'or et des pierres précieuses, les évangéliques soutiennent leurs pasteurs avec des dîmes et avec des offrandes spéciales. Les babyloniens pratiquaient un baptême d'eau par immersion dans un culte de la régénération, il en est exactement de même avec les évangéliques hypocrites. Toutes ces comparaisons, nous indiquent clairement, que les évangéliques sont un faux peuple de Dieu, les évidences sont criantes et parlent pour elles-mêmes.
Le trafic des âmes humaines, est le commerce principal des sectes dites évangéliques, tout comme dans l'ancienne Babylone (Apocalypse 18: 11-13). Or trafiquer signifie: «Se livrer à des opérations commerciales illicites, généralement clandestines. Tirer un profit illicite, malhonnête de quelque chose. Soumettre à des manipulations frauduleuses.» (Voir: Le Dictionnaire Crisco). Il est clair que les églises dites évangéliques tirent profit des crédules et des ignorants, qui sont membres de leurs bordels spirituels, par la manipulation des sentiments, et des textes de la Bible qui donnent l'impression de supporter leurs abominations doctrinales. Il n'y a aucun doute qu'elles sont coupables de faire le commerce illicite et répugnant d'âmes humaines, sous couverture biblique. De nos jours, il y a toutes sortes de protestations contre l'esclavagisme des nègres qui se croient supérieurs à tous, mais jamais personne n'a protesté contre ce crime odieux. Les évangéliques sont donc libres de pratiquer leurs fourberies comme il leur plaît, sans s'inquiéter d'aucune répercussion, du moins de la part des lâches. La puanteur de cette situation déplorable est montée jusqu'aux narines du Dieu Tout-puissant, qui ne manquera pas d'agir en conséquence.
Ceux qui sont pris dans l'engrenage d'une telle foi supposément chrétienne, ne peuvent réaliser qu'ils sont prisonniers d'un système de pensées, habilement conçu depuis de nombreuses générations. Ils sont étonnés, voir même frustrés, d'entendent les choses que nous disons, et leur orgueil va les pousser à les rejeter. On ne peut en être surpris, car c'est un processus bien normal, du raisonnement serpentin de l'être humain, dont la nature est déchue et entièrement corrompue depuis la chute en Éden. Mais cela nous indique aussi, la forme inévitable du genre de christianisme dégoûtant, qui domine sur leur conscience.
On comprend pourquoi le Seigneur Jésus dit de cette mouvance abominable, qu'il va la «vomir de sa bouche» (Apocalypse 3: 16). Que le christianisme dit évangélique soit dégoûtant à ce point, nous indique que c'est un mouvement de réprouvés, exclus de la grâce depuis avant la fondation du monde. Cela est confirmé davantage par le fait qu'ils ont reçu une puissance d'égarement, de la part de Dieu, pour qu'ils croient au mensonge et soient condamnés (2 Thessaloniciens 2: 11,12). Dieu, notre Esprit des vivants, est donc Celui qui décide du salut ou de la perdition des hommes. Les évangéliques ne sont donc pas maîtres de leur destin, comme ils se l'imaginent dans l'illusion de leur libre-choix. Leur choix de croire par une décision personnelle, est une des pires hérésies qui existent sur la face de la terre. Leur salut par le libre-choix n'est pas supportable en aucune façon.
Cette fausse doctrine, est la base même du christianisme dégoûtant, qui se propage comme la peste des délires d'une contagion psychique, qui occasionne toutes sortes de dérèglements de conscience. Cette contagion est le facteur principal qui engendre des frénésies collectives dans les mouvements charismatiques, où nous trouvons toutes sortes d'extravagances diaboliques.
Il est tout à fait normal, que le dégoût du christianisme dit évangélique, soit perçu seulement par ceux qui ont véritablement la Sainte Présence de Christ en eux. Cela est impossible pour ceux qui, comme les évangéliques prétentieux, n'ont pas l'Esprit de Christ; mais seulement un esprit de contrefaçon qui les pousse à marcher dans la duplicité. Ils sont comme des corps morts en décomposition, dont l'odeur de la corruption est répugnante à faire vomir.
SERVICES DE LA PROSTITUTION ÉVANGÉLIQUE Les bordels sont des endroits où les prostituées offrent leurs services aux passants, afin de se faire une clientèle régulière. En d'autres mots, elles vendent leur corps pour un profit qui assure leur existence. Elles peuvent ainsi se payer, non seulement des nécessités de la vie de tous les jours, mais aussi des conforts et de l'opulence de luxes excessifs.
Il en est exactement de même avec les prostitués évangéliques. Ils vendent leur corps doctrinal aux passants, pour en faire des membres réguliers, afin de profiter d'eux. Le client, pardon, le membre, est ainsi infecté d'une maladie incurable, dans sa faculté de penser et de raisonner. Comme un accroché à la drogue, il développe une sérieuse dépendance pour le poison doctrinal des vipères évangéliques. Cela assure que les coffres des bordels évangéliques soient constamment pleins, de même que les poches du pasteur escroc qui en profite pour se faire une renommée. Ainsi ils se construisent des églises prestigieuses, dont l'apparence est conçue pour séduire le plus grand nombre. Ainsi, debout sur la belle tribune de son exaltation divine, nouvellement construite, élevé comme un petit dieu au-dessus de ses pantins, le pasteur manipulateur, vêtu de ses beaux habits du dimanche avec la cravate du pendu, apporte son message de traîtrise à une audience de bouffons et de zigotos, émerveillés de son érudition. Puis immédiatement après, d'autres prostitués passent le panier pour récolter les offrandes et les dîmes au milieu de beaux cantiques, conçus pour impressionner les gens afin de vider leurs poches. Alors vient un culte d'adoration idolâtre, d'un petit morceau de pain et d'une petite coupe de jus de raisin, symboles de leur divinité nicéenne du dieu à trois têtes. Puis, au signal donné, tous baissent la tête pour regarder leur nombril, pleinement satisfait d'être digne de participer et de contribuer à une telle abomination. L'estime de soi étant leur idole préférée, ils quittent les lieux en remerciant leur pasteur odieux de leur avoir révélé cette grande vérité, qu'ils sont aimés comme ils s'aiment eux-mêmes. Le culte d'adoration égocentrique, étant terminé, ils retournent à leur vie de tous les jours. Puis ils vont tout recommencer, dans l'optique d'une dignité humaine renouvelée, dans l'appréciation de leurs efforts, par lesquels ils contribuent à leur salut dans une spiritualité nébuleuse et vertigineuse.
Ah, mais quel beau spectacle hollywoodien ils présentent. Les cobayes en sont tellement impressionnés, qu'ils y retournent à chaque dimanche pour en voir une répétition, ne réalisant pas qu'il s'agit d'un drame qui porte une fin désastreuse pour chacun d'eux. Mais la réalité est qu'ils sont sauvés de Dieu et de la vérité, pour suivre la voie d'une contrefaçon qui plaît à leur entendement. Ils sont comme une prostituée fardée qui se regarde dans le miroir, pour se faire belle aux yeux de ses clients. Tout, absolument tout n'est qu'apparence chez les évangéliques. Comme l'apôtre Paul dit d'eux: «Ayant l'apparence de la piété, mais en ayant renié la force: éloigne-toi donc de telles gens.» (2 Timothée 3: 5).
A Christ seul soit la Gloire Amen !
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