LA BÊTE DE LA TERRE

ET LE CORONAVIRUS

 

Par Jean leDuc

Janvier 2021

 

LA SOURCE DE LA PANDÉMIE ET SES IMPLICATIONS

 

LA BÊTE DE LA TERRE EST MANIFESTÉE

 

LA PUISSANCE DES DEUX CORNES DE LA BÊTE

 

LE VACCIN ET LA MARQUE DE LA BÊTE

 

LES SURVIVANTS DE LA PANDÉMIE

 


 

LA SOURCE DE LA PANDÉMIE ET SES IMPLICATIONS

La terre entière se lamente sous le poids de la pandémie du coronavirus. Les nations sont bouleversées, la vie des hommes ne sera jamais plus pareille, s'ils survivent à ce fléau, ce qui est fort improbable. De plus en plus d'industries et d'entreprises ferment leurs portes pour de bon. L'économie en prend tout un coup et les gens sont alarmés, la crainte s'est emparée des peuples. Un grand nombre perdent leur travail et la subsistance est menacée. On contrôle, à notre insu, tout ce qui peut être acheté ou vendu. Plusieurs groupes protestent contre les réglementations de nos gouvernements. Les services médicaux sont surchargés et le nombre de morts augmente considérablement. Nous faisons face à un désastre apocalyptique global sans pareil dans l'histoire de la race humaine. Certes qu'il y a eu des fléaux auparavant, mais ils furent restreints à des endroits particuliers. Ce n'est pas le cas avec notre civilisation moderne, dans laquelle les gens peuvent se déplacer par avions aisément vers tous les coins de la terre, donnant la capacité à un virus de se propager mondialement. Tout semble indiquer que notre propre technologie se tourne contre nous pour nous détruire. Mais il y a plus à ce scénario désastreux que les gens puissent s'imaginer.

 

Le sujet est sérieux, la situation est urgente. Nous avons été appelés irrésistiblement par la Sainte Présence de Christ en nous, pour rédiger ce document sous sa directive. Nous ne pouvions faire autrement que de nous soumettre à son appel. L'instruction qu'il contient est non seulement pour votre édification, mais aussi pour la préparation de votre transformation finale lors du surgissement de Christ en vous par la puissance de sa résignation et de son exaltation. Le retour à la maison paternelle vient rapidement, et nous nous retrouverons tous bientôt dans une gloire et une joie indescriptible sans fin. La réalisation de notre anticipation sera finalement complète dans la révélation de sa Sainte Présence, qui nous éblouirons dans l'épanouissement de ses merveilles.

 

Des recherches sont faites pour trouver la source du coronavirus, mais aucune n'est satisfaisante et ne le sera jamais, du temps que l'être humain ne reconnaisse l'existence de Dieu, notre Esprit des vivants et Admirable Souverain Suprême comme étant le Seigneur Jésus Lui-même, le Maître absolu sur toutes choses et lui donne gloire qui lui revient. Mais on a évacué Dieu de la pensée moderne, il est considéré comme un vieux mythe inventé pour expliquer ce que nous ne connaissons pas. L'homme ne croit plus en Dieu ni au diable, de peur d'être tenu responsable de sa corruption et de sa condamnation, ce qu'il cherche à éviter à tous prix. Mais on ne se moque pas du Dieu Tout-puissant sans en payer les conséquences, et l'homme l'apprendra bon gré mal gré. Nous en sommes au point que l'homme s'estime au-dessus de toutes choses. Sa foi est dans les diverses sciences et technologies modernes et les professionnels ou scientifiques qui les maîtrisent. Sa confiance repose sur l'homme et son érudition académique, que ce soit au niveau de la science, de la religion, ou de la société. Il croit être son propre sauveur, s'imaginant que sa connaissance des hautes technologies, est la réponse à tous ses problèmes. Son grand savoir devient ce qu'il y a plus important dans son existence éphémère. Il ne veut pas de soumission ou dépendance à autre que lui-même, car il s'élève à la place de Dieu, se faisant lui-même Dieu, en se voulant maître de son propre destin. Les résultats, comme nous en voyons pleinement les évidences, sont le chaos, la destruction, et la ruine. Il ne réalise pas ou refuse de reconnaître que la nature humaine est complètement déchue et entièrement corrompue. Elle est comme une bête sauvage féroce, cruelle, sournoise et indomptable. Jamais il ne cédera un centimètre ni à Dieu ni au diable, pour ainsi dire, car il est l'ennemi de Dieu, son adversaire qu'on nomme Satan, et que plusieurs appellent Lucifer, celui qui porte la lumière de la connaissance, dans la mythologie dite chrétienne. En d'autres mots, il s'agit du serpent ancien, c'est à dire de l'intelligence ou raisonnement serpentin de l'être humain, ou faculté de penser et de réfléchir. Il est donc clair d'où provient nos connaissances technologiques modernes. Seul un réprouvé va en renier le fait. En ce monde les enfants des ténèbres sont plus nombreux que les enfants de la lumière, mais le nombre ne fait pas la force; Christ en nous détient toute la puissance, et aucun ne peut lui résister, il est en contrôle sur tous les agissements des hommes. La créature n'a pas de puissance contre son Créateur, elle ne peut que fléchir le genou devant lui, et admettre sa défaite en toute humilité pour recevoir sa miséricorde. Son opposition est futile, sa persistance sera sa destruction; car elle ne peut échapper à sa juste colère qu'elle subira inévitablement. L'homme se pense intelligent, mais l'Esprit des vivants a créé son intelligence, et sa folie sera manifesté en dû temps, il récoltera ce qu'il a semer pour sa perdition éternelle.

 

Quoique l'homme moderne ne puisse le réaliser dans l'aveuglement de sa conscience enténébrée, le coronavirus est le châtiment de la colère de Dieu qui s'abat sur les hommes de la terre (Apocalypse 3: 10), en signe d'avertissement de pires choses à venir. La pandémie actuelle du coronavirus, étant un sujet d'importance capitale au niveau global et historique, se retrouve par ce fait même dans les Saintes-Écritures. Elle n'a pas échappé aux yeux de Dieu et n'est donc pas accidentelle. Ayant été déterminée d'avance depuis avant la fondation du monde, il est normal qu'elle trouve sa place dans la Bible. Nous la retrouvons dans les passages d'Apocalypse 13: 11-18 où elle est mentionnée en style figuratif. Pour le comprendre, on se soumet premièrement aux directives de la Sainte Présence de Christ en nous, puis nous utiliserons deux outils très efficaces dans ce domaine: l'étymologie et l'analogie, sans négliger les différents contextes.

 

Il n'est pas étonnant de voir que ces passages ont été sujets à différentes interprétations particulières, par les dirigeants des églises du christianisme contrefait moderne, pour supporter leurs intérêts personnels. Théologiens, Exégètes, Pasteurs et Instructeurs variés, se sont donnés à une polémique forcée et tendancieuse pour expliquer ces textes énigmatiques. Les interprétations qui en proviennent sont plus délirantes l'une que l'autres. La pire insanité proposée, comme c'est toujours le cas avec les doctrines et les prophéties, vient des sectes dites évangéliques. Elles voient dans ces passages de l'Apocalypse, un personnage imaginaire qu'elles nomment le Faux Prophète ou l'Antichrist. Ils ne réalisent pas qu'ils se regardent dans un miroir. Cette fausse notion, complètement absurde, est basée sur l'interprétation prémillénariste et dispensationaliste des textes prophétiques. Il est inutile d'entrer dans tous les détails illogiques et antiscripturaires de ces hérésies diaboliques à la sauce dite chrétienne.

 

LA BÊTE DE LA TERRE EST MANIFESTÉE

La première chose que nous voyons est une bête à deux cornes qui sort de la terre, qui est semblable à un agneau, mais qui parle comme un dragon (Apocalypse 13: 11). Il serait facile ici de faire un faux pas en établissant un rapport étroit entre «la bête de la terre» et «la bête qui sort de la mer» (Apocalypse 16: 1), ce qui déformerait par ce fait même, la révélation de l'enseignement qui nous est transmis par la Sainte Présence de Christ qui habite le cœur de ses élus pour nous instruire et nous diriger dans ses voies. La première bête sort de la mer des peuples et se rapporte à la religion organisée, et plus particulièrement au catholicisme, au protestantisme, et à la mouvance dite évangélique. Or ce n'est pas le cas avec la deuxième bête, celle qui sort de la terre. Le mot «terre» est contraire au mot «mer». Le mot «terre» signifie ce qui est solide, ferme, et consistant. Tandis que le mot «mer» signifie ce qui est changeant, altérable, et versatile. En d'autres mots, ce qui est solide est difficilement manipuler, mais ce qui ne l'est pas se manipule aisément, le premier demande de la subtilité et de la ruse, et le deuxième de la tromperie ou séduction. Mais les deux sont issus du raisonnement serpentin de l'être humain.

 

La première chose qu'il faut comprendre est ce que le texte veut dire par le mot «bête», si nous ne voulons pas nous égarer dans des voies périlleuses. Il importe donc de nous référer au Texte Grec original. Dans le Grec le mot «bête» est «therion» et signifie littéralement «un animal féroce et sauvage». Or dans le contexte de ces passages dans l'Apocalypse, il est évident qu'il ne s'agit pas d'un animal dans le sens littéral, et que ce terme est utilisé dans un sens figuratif. Étymologiquement le mot «animal» signifie «être animé, être agité, être expressif, être irrité, être activé, être diriger, être gouverné». Par analogie nous voyons que tous ces termes se rapportent au principe d'une société organisée, et sous contrôle d'administrateurs qui en régissent l'ordre, à savoir les politiciens qui représentent un parti politique avec son chef, président, premier ministre ou autre. La bête est donc une expression de la nature humaine déchue et corrompue qui prend forme dans un système politique, et qui gouverne un peuple avec autorité, et qui détient la force pour imposer ses réglementations. Nous commençons donc à comprendre les implications actuelles de la pandémie du coronavirus, mais nous faisons que gratter la surface, il y a beaucoup plus à venir dans notre exposé de ce sujet.

 

La bête est semblable à un agneau, mais cela veut dire quoi exactement? La signification littérale d'un agneau est relativement simple: le petit d'une brebis. Mais nous obtenons plus de détails au niveau étymologique. Dans les contextes culturel et cultuel, l'agneau est un modèle de soumission, c'est à dire d'une dépendance absolue, généralement envers son berger qui la dirige et s'occupe de ses besoins. L'analogie entre les politiciens et le peuple est fortement établie dans sa relation avec la bête de la terre, et cela est indéniable. Le système gouvernemental de de la bête détient l'autorité et la force pour exiger la soumission de son peuple, et va utiliser tous les moyens possibles pour la maintenir afin de demeurer en pouvoir. Mais le politicien n'utilisera pas la force pour imposer au peuple les principes de son administration, à moins que cela devienne absolument nécessaire. Il ne veut pas irriter le peuple à l'extrême, afin d'éviter la rébellion et l'anarchie, ce qui occasionnerait un bain de sang incontrôlable. Il va plutôt utiliser des subterfuges très sophistiqués, presque indétectables au commun du peuple, utilisant des principes d'intimidations pour les faire valoriser. En fait, rien n'est plus menteur ni plus hypocrite qu'un politicien, sauf un évangélique, car les deux ont un même père, à savoir le diable (Jean 8:44). Avec la bête de la terre, nous avons ainsi la fermeté de la nature humaine déchue à persister dans ses voies de corruption et de perversion pour embrigader les peuples dans sa rébellion constante contre Dieu. Elle représente donc une guerre spirituelle dans laquelle ses agents cherchent à dominer sur nous par toutes sortes d'artifices ingénieux, le coronavirus étant un de ses chefs-d'œuvre magistral.

 

Nous arrivons donc inévitablement à l'affirmation que la bête parle comme un dragon. Évidemment, encore une fois, qu'il ne s'agit pas d'un dragon dans le sens littéral. Ce terme doit être compris dans un sens figuratif pour en obtenir le sens. Dans le Grec le mot «dragon» est «drako», et signifie «un souverain ou une souveraineté qui détient l'autorité sur un peuple», c'est à dire un dirigeant, un roi, un empereur, ou un politicien comme nous avons dans nos temps modernes. Parler comme un dragon signifie donc de s'exprimer avec l'autorité d'un système d'administration sociale qui détient la souveraineté sur un peuple. Il ne s'agit aucunement ici de la fausse notion imaginaire d'un gouvernement mondial qui aurait pour chef l'Antichrist fictif des évangéliques. Un gouvernement mondial ou universel n'est pas nécessaire, car chaque nation a sa propre bête, c'est à dire sa propre administration politique. Ce qui est universel n'est pas le gouvernement, mais l'essence de la bête, à savoir l'esprit de la nature humaine déchue et corrompue qui est en tous, et qui s'élève au même niveau que Dieu depuis sa rébellion dans le Jardin d'Éden. Il s'agit donc clairement d'une puissance mondiale de domination sur tous les peuples de la terre, et de rébellion contre Dieu qui est le Maître absolu sur toutes choses.

 

LA PUISSANCE DES DEUX CORNES DE LA BÊTE

Contrairement aux autres bêtes mentionnées dans l'Apocalypse, la bête de la terre a seulement deux cornes. Là où les cornes sont une défense de certains animaux contre leurs ennemis. Étymologiquement le mot «corne» signifie «puissance», et c'est la raison pour laquelle les rois de l'antiquité portaient des cornes sur leur tête, ce qui avec le temps devint une couronne. Que la bête de la terre a deux cornes, signifie qu'elle détient deux puissances qui la caractérisent. A cause de son contexte immédiat avec la bête de la mer, plusieurs interprètes ont pensé que ces deux puissances sont la religion et la politique. Il est normal dans un tel cas d'arriver à une telle conclusion. Mais il n'y a aucune raison justifiable pour reprendre les caractéristiques de la première bête et de les attribuer à la deuxième, surtout lorsque celles de la bête de la mer ont déjà été élaborées en détails. Nous savons déjà qu'une des cornes de la bête de la terre représente la puissance politique, mais que représente l'autre exactement? Or la définition de cette dernière est l'endroit où nous avons des explications plus détaillées à propos du coronavirus.

 

Dans Apocalypse 13: 14 il est dit que «les habitants de la terre sont séduit par la puissance de la bête de faire des miracles», c'est à dire «des choses prodigieuses ou remarquables qui étonnent les gens ou les émerveilles grandement». L'expression moderne pour décrire une telle chose est WOW, terme qui décrit ce qui est formidable à l'extrême et qui frappe les sens. Il est dit aussi qu'ils sont donnés de faire une image de la bête, de l'animer et de la faire parler, et de l'adorer comme si elle était une divinité ou un dieu, c'est à dire de ceux «dont les noms ne sont pas inscrits dans le livre de vie depuis avant la fondation du monde» (Apocalypse 13: 8). Plusieurs s'imaginent, surtout parmi les évangéliques, qu'il s'agit ici de l'invention de la télévision, ou encore de l'ordinateur duquel nous sommes devenus presque entièrement dépendant dans notre société moderne informatisé. Pourquoi donc, une fois avancé dans cette voie, ne pas y ajouter l'électricité, les autos, le réfrigérateur et le poêle, l'argent, les maisons, et tout ce qui sert à notre survie en ce monde. Mais ces choses ne sont que des conséquences secondaires d'une cause primaire. En d'autres mots, des réactions à l'action initiale qui met toutes ces choses en mouvement pour que nous puissions exister convenablement dans un monde corrompu et rebelle. Assurément elles sont du monde et plaisent à la chair, mais les besoins nous en sont imposés par notre nature humaine déchue. Chaque génération a les siens, depuis le début des temps selon son niveau de connaissance, et la nôtre n'est pas l'exception.

 

Or au sens étymologique, faire une image ou représentation de quelque chose ou de quelqu'un, implique par nécessité de la connaissance et de la fierté ou estime de soi. Il nous est dit que cette image ou représentation de la bête, était comme blessé à mort par l'épée, mais qu'elle fut guérie et qu'elle reprit vie. Par analogie, cela nous indique que le raisonnement serpentin ancien nommé, le diable et Satan, fut vaincu et mis à mort par l'épée de la Parole de Dieu dans le sacrifice de la croix (Colossiens 2: 14-17), et delà en faveur des élus seuls. Mais sa plaie mortelle fut guérie par l'apostasie des réprouvés dans une période de grandes connaissances, nommée aussi la fin des temps. En termes bibliques, Satan fut enchaîné et jeté dans l'abîme durant le temps de la grâce pour que tous les élus puissent entrer dans l'arche du salut. A la fin de cette période de grâce, la porte de l'arche est fermée et Satan est relâché de sa prison pour un court temps dans lequel les fléaux de la colère de Dieu sont versés sur les hommes de la terre, en avertissement de pires choses en succession rapide. Le coronavirus n'est que le début d'un fléau mondial qui s'abat sur les hommes pour détruire la race humaine entière, sauf les élus qui seront transformés en une nouvelle existence dans l'espace d'un clin d'œil.

 

Toutes ces choses nous indiquent que la deuxième corne ou puissance de la bête de la terre est nulle autre que la science ou technologie de l'homme, dans ses recherches infinies de devenir comme Dieu pour éviter la catastrophe de sa condamnation, ce qu'il ne réussira jamais. Dans une folle tentative insensée de dominer sur le monde entier, d'imposer ses principes à toutes les nations de la terre et de s'enrichir au-delà de ses rêves, l'homme scientifique a inventé dans un laboratoire franco-chinois, le coronavirus pour qu'il se propage mondialement, ayant prévu différentes mutations, pour obtenir le contrôle sur la race humaine. Mais il ne réalisa pas qu'il accomplissait le plan de Dieu pour la fin des temps, pour éradiquer la race humaine qui est elle-même le virus réel qui doit être éliminé de la face de la terre et de l'univers. Nous l'avons dit auparavant, on ne se moque pas du Dieu vivant et Tout-puissant, sans en payer les conséquences.

 

En cette fin des temps, la technologie et la politique sont les deux puissances principales de toutes les nations. Elles œuvrent main dans la main pour atteindre leurs buts de domination, et les astuces financières sont le sang qui coule dans leurs veines pour les animer. Les armes nucléaires sont leur moyen de détente, et les guerres conventionnelles qu'un champ d'expérimentations pour établir le jour final dans lequel elles verront leur ruine. De nombreuses découvertes ont été cachées au grand publique, sous la couverture d'une fausse sécurité nationale, car réservées à des projets militaires insidieux. La soif du pouvoir ne connaît aucune borne, et le pouvoir absolu est ce qu'ils veulent par tous les moyens possibles. Nous sommes arrivés au zénith d'un malheur universel. Mais les élus s'en réjouissent, car nous savons que notre Dieu est Souverain, et qu'il est en contrôle. Tout converge vers le jour final de notre délivrance selon le plan de Dieu en notre faveur. Les hommes iniques ne sont que des marionnettes, et Dieu est Celui qui tire les ficelles, et nous sommes les spectateurs qui applaudissons des mains. Quel spectacle, disons-nous avec un sourire aux lèvres, formidable, merveilleux, et époustouflant. Et toute l'audience se leva debout pour donner honneur et gloire à l'Esprit des vivants. Puis l'abîmes fut ouvert, et il jeta les marionnettes dans le feu qui ne s'éteint point. Alors les anges sonnèrent de la trompette et il y eût un grand festin, et tous se réjouirent, brisant le pain de vie, mangeant de l'Agneau et buvant le nectar d'Emmanuel. Or le pain de vie est sa Parole vivante que nous partageons avec vous, l'Agneau est son sacrifice sur la croix qui nous sauve, et le nectar est la grâce merveilleuse de sa Sainte Présence qui nous émerveille tous. La joie et la paix soient avec vous tous ! Vous êtes la lumière en ce monde de ténèbres, que votre espérance brille en ces temps troublés pour vous maintenir dans la vérité, car la gloire du dernier moment est à la porte. Entretenez-vous ensemble dans l'anticipation qui est la vôtre et la mienne, et soyez vigilants.

 

LE VACCIN ET LA MARQUE DE LA BÊTE

Le sujet dont nous traitons ici a connu un grand nombre de spéculations et d'exagérations insensées, qui témoignent d'un sérieux déséquilibre mental dans l'imagination de plusieurs. Pour en nommer seulement quelques-unes, on nous a proposé que la marque de la bête est un genre de tatouage sur le front et la main droite qui sera obligatoire d'avoir pour être capable d'acheter ou vendre quoique ce soit dans la société. Pour d'autres il s'agit de la marque de Caïn qui engendrerait une tuerie collective et incontrôlable. Et la dernière, la plus insensée de tous, est la puce-électronique qui serait implantée aux gens pour connaître leurs moindres mouvements, et transmettre l'information à une banque de donnés dans un ordinateur super puissant qui serait nommé S.A.T.A.N. localisé en Europe. Les absurdités dans ce domaine sont tellement nombreuses qu'on pourrait en écrire un livre plein de ces ordures. Nous pourrions même y ajouter celle des disciples de la chambre ronde pour qui il s'agirait de deux petites antennes implantées dans le front des gens, et qui leurs donnent la capacité de capter des signaux d'extra-terrestres sur une planète dans une galaxie lointaine, ou de lire les pensées des gens. En fait, pourquoi pas car cette notion est autant valide que toutes les autres stupidités qui nous sont proposées. Bip, bip, bip, désolé, je viens de recevoir un signal de la galaxie d'Andromède qui dit que vous avez tous perdu la raison. Beep, beep, beep, mon copain sur Venus vient aussi de me le confirmer, beep, beep, beep...

 

Ce que la grande majorité des gens ne réalisent pas, est qu'ils sont déjà marqués du sceau de la bête depuis même avant leur naissance en ce monde. Tout avait déjà été déterminé d'avance pour la race humaine dans tous les moindres détails dans les décrets d'élection et de réprobation, rien n'a échappé à la pensée de Dieu. La marque de la bête est une marque spirituelle qui se rapporte à la rébellion de la nature humaine déchue et corrompue. Comprenons aussi que par «rébellion» que cela signifie «le péché», et que «tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu». Le péché est donc la marque originelle et officielle de la bête, par laquelle ses adhérents sont reconnus. Elle est ainsi une marque universelle qui se trouve sur tous les hommes dans toutes les nations de la terre. Elle est aussi la marque de la mort et de la ruine des peuples qui assure leur destruction et leur perdition éternelle. Elle est aussi variée dans ses applications et fonctions à travers toutes générations, incluant surtout la nôtre, puisque nous sommes la dernière et que la corruption augmente de plus en plus que nous approchons le jour de la fin.

 

Dans notre situation particulière de la pandémie, le coronavirus est lui-même la marque de la bête, car il est la manifestation d'un dérèglement de la nature humaine corrompue. Où il y a la saleté de la corruption, il y a toujours des maladies, certaines plus virulentes que d'autres, dépendant du niveau de corruption dans la race humaine. De nos jours cette corruption a atteint un niveau global, jamais vu auparavant dans toute l'histoire de la race humaine. Il n'est pas étonnant de voir que la pandémie du coronavirus est aussi globale, et de réaliser que la race humaine va être complètement exterminée de la face de la terre, comme il fut déterminé ainsi depuis avant la fondation du monde.

 

La marque de la bête est donc un procédé graduel de corruption qui se rapporte au coronavirus. Dans cette optique, le vaccin est l'accumulation d'enchaînement de résolutions à l'équation de la corruption qui la confirme étant la solution finale. En ce sens relationnel très réel, le vaccin est la dernière résolution pour atteindre la domination mondiale, l'utopie des rêveurs qui adorent la nature humaine dans toutes ses facultés et puissances. Coronavirus et vaccin sont ainsi la marque de la bête qui contrôles pensées et les agissements des hommes. On en a les évidences par le fait que tous sont préoccupé par la pandémie, car tous craignent la mort et la condamnation qui en suit. En d'autres mots, c'est le sujet principal dans la pensée des hommes qui altère leurs attitudes et leurs comportements, c'est à dire le front et la main droite. Cette crainte et ses effets sont utilisés par les dirigeants des nations pour manipuler leur peuple à leur avantage, et par la promotion qui est faite à tous les niveaux de la société par les médias d'informations qui la martèle dans la conscience des gens à coup de répétitions constantes et sans relâche. Les peuples subissent ainsi une programmation qui modifie tout le cours de leur vie pour servir aux intérêts de la bête dans ses manifestations scientifiques et politique. En d'autres mots, ils sont marqués du sceau de la bête, et ne peuvent en échapper. Ils sont dans un labyrinthe sans issu, et rencontreront le Minotaure de leur destruction, et il n'y aura pas d'Hercule pour les sauver. Ceux qui connaissent la mythologie comprendront, et ceux qui ne la connaissent pas faites vos recherches. Notre ministère ne consiste pas à tout mâcher pour vous, donnez-vous la peine de vous instruire.

 

Nous vivons présentement dans une société masquée dans laquelle il est obligatoire de porter un masque si nous sortons à l'extérieur de notre demeure. On nous impose aussi un couvre-feu de plus en plus rigide. On a plus la liberté de se déplacer comme bon nous semble, sous peine de lourdes amendes et même la prison. Le monde devient fou, ce n'est qu'exagération sur exagération. Nos gouvernements crapuleux sont au point de nous imposer la nécessité d'avoir un carnet de vaccin, comme preuve que les gens ont été vaccinés. Sans ce carnet il deviendrait impossible d'acheter les biens nécessaires à notre survie, ou de les vendre à ceux en besoins. Il serait de même impossible de travailler ou d'envoyer ses enfants à l'école. Ceux qui refuseraient seraient imposer de sérieuses sanctions, et seraient regardés comme des parias, des indésirables, pour ne pas dire des lépreux, qu'il faut absolument éviter tout contact. Le carnet serait ainsi la culmination de la marque de la bête. Nous sommes vraiment dans cette courte période de la fin des temps, dans laquelle Satan est détaché de sa prison (Apocalypse 20: 3,7). Mais quand l'esprit de la chair aura atteint l'apogée de sa puissance, il sera détruit par un feu du ciel venant de Dieu (Apocalypse 20: 9).

 

Nous sommes dans la phase dans laquelle le vaccin devient obligatoire pour tous. Nous avons perdu nos droits et libertés en tant que citoyens, et pour ajouter aux malheurs, voilà maintenant que nos gouvernements crapuleux veulent nous obliger à être vacciné. Ils considèrent même l'obligation que chaque personne devrait avoir un carnet de vaccin comme preuve de l'avoir reçu. Ce n'est qu'une question de temps avant qu'il entre en vigueur.

 

Dans un même souffle, lorsque les scientifiques, en rapport avec les entreprises pharmaceutiques, inventèrent le coronavirus, ils travaillèrent sur un vaccin pour inoculer toutes les populations. Ce stratagème machiavélique assura leur enrichissement et leurs principes idéologiques pour devenir les maîtres du monde. Assurément, la religion dite chrétienne ou bête de la mer, est appelée à jouer un rôle important dans tout cela. Les agents de la papauté sont comme les tentacules d'une pieuvre qui pénètrent tous les coins du monde surtout des entreprises qui veulent la domination du monde, car le Vatican détient une même idéologie. L'élection du nouveau président américain, Joe Biden, un papiste sous le contrôle de l'Antichrist qui siège à Rome, sera poussé inévitablement à suivre une même idéologie, pour accomplir les dessins de son maître, car il ne faut pas oublier qu'il est présentement le chef de la nation la plus puissante sur la face de la terre. Nous savons aussi que la nation moderne d'Israël ou Nouvelle Khazarie, opère dans le grand secret avec les laboratoires pharmaceutiques dans des échanges de découvertes médicales. On nous prépare une surprise qui ne sera pas trop plaisante pour les peuples de la terre.

 

Que le vaccin contre le coronavirus est la marque de la bête, est indiqué par le fait que les passages d'Apocalypse 13: 16, 17 il est dit que tous, «petits et grands, riches et pauvres, esclaves et libres, recevront sur le front et sur la main droite une marque, sans laquelle personne ne peut acheter ou vendre». Les mots dans ces passages détiennent un double sens, littéral et figuratif. Nous savons, en fait, que tout le livre de l'Apocalypse ou selon le Grec original «Livre de la Révélation de Jésus-Christ», fut rédigé du commencement à la fin, en style imagé ou symbolique, sous la direction de la Sainte Présence de Christ en lui. Il contient même une grande bénédiction pour ceux qui sont donnés de le lire et le comprendre, de ceux qui ont aussi la Sainte Présence de Christ en eux pour les instruire et les diriger dans la vérité, à savoir les élus seuls. Tandis que tous les autres demeurent dans les ténèbres de l'ignorance, à savoir les réprouvés ou exclus de la grâce. Dans le sens littéral, ces paroles, écrites depuis environ deux mille ans, expliquent exactement et avec précision, ce qui arrive présentement les évènements qui se déroules sous nos yeux avec la pandémie mondiale du coronavirus. Le dénier serait de dire que ceux qui le font sont des réprouvés et que la condamnation de Dieu est sur eux pour leur perdition éternelle. La connaissance de ce sujet a été réservée pour les derniers temps, afin que les élus puissent en recevoir les instructions avant l'apparition finale de Christ, les préparant ainsi pour la dernière transformation dans laquelle ils seront tous changés en l'image de Christ qui surgira d'eux en un clin d'œil dans la lumière d'une gloire qui détruira la terre et l'univers entier avec tout ce qu'ils contiennent.

 

Présentement, les gouvernements de toutes les nations de la terre, ont imposés une réglementation qui restreint l'achat et la vente de tous produits, interdisant, ce qu'ils considèrent dans leur folie, tout ce qui n'est pas essentiel à notre survie. C'est le comble de l'absurdité, de la pure folie, ils se moquent littéralement de nous. On ne peut même plus acheter des vêtements car cela est considéré non-essentiel. Faudrait peut-être mettre tous ces maudits politiciens enculeurs complètement nus, dehors sous le froid glacial de l'hiver, pour qu'ils réalisent leur stupidité. Mais vrai que la stupidité est incurable, elle doit être éradiquée, et le Seigneur notre Dieu va s'en occuper très bientôt. Les jours de vengeance du Dieu Tout-puissant ont déjà débuté, et cela en notre faveur. La race humaine sera, finalement, complètement exterminée, pour faire place à une nouvelle race parfaite et éternelle. Entretemps, les gens sont même interdits d'acheter des chandelles, car non-essentielles; mais ils peuvent acheter de la teinture à cheveux qui est considérée essentielle. Il n'y a plus aucune logique dans la pensée de nos dirigeants politiques et leurs pantins, pour ne pas dire lèches-culs. Il est évident et sans l'ombre d'aucun doute, que la prophétie de l'Apocalypse s'accomplie actuellement sous nos yeux, et que la fin sera désastreuse.

 

Mais plusieurs veulent demeurer optimistes devant les évidences du contraire. Ils s'imaginent que la pandémie va cesser bientôt, et que le vaccin contre le coronavirus, proposé par nos gouvernements crapuleux, va les protéger et qu'ils pourront retourner à une vie moyennement normale comme auparavant. Ce sont des rêveurs qui s'illusionnent, et qui mettent leur confiance en l'homme pour les sauver. Mais la Parole de Dieu nous dit clairement et avec l'autorité divine d'un décret éternel immuable: «Ainsi a dit L'ADMIRABLE: Maudit est l'homme qui se confie en l'homme, et qui de la chair fait sa puissance, et dont le cœur se retire ainsi de L'ADMIRABLE!» (Jérémie 17: 5). Clairement ceux qui se confient en l'homme pour les délivrer du malheur de la pandémie du coronavirus sont des réprouvés destinés à la perdition éternelle. Jamais la vie retournera à normale pour la race humaine, le coronavirus fera ses ravages comme il a été déterminé d'avance dans le plan de Dieu depuis avant la fondation du monde. Aucune science de l'homme ne l'arrêtera, aucune prière ne le fera cesser, aucune lamentation ne le fera épargner ses victimes. Au contraire, les choses vont aller de pire en pire. Le vaccin contre le coronavirus donne une fausse espérance qui mène à la ruine.

 

Dans le sens figuratif, la marque de la bête sur le front et la main droite des réprouvés, signifie par analogie le contrôle de la pensée et des actions des hommes. Cela implique une modification ou altération du caractère de l'homme, de ses attitudes, de ses raisonnements, de ses façons de s'exprimer et de ses comportements. Pour accomplir de telles choses, il faut une intervention externe, mais dans une situation normale l'homme résisterait fortement à une telle emprise sur sa personne. Il faut donc que cela soit fait sournoisement avec beaucoup de subtilités qui lui donne l'impression que c'est pour son bien, particulièrement pour sa santé, et pour maintenir le style de vie auquel il est devenu habituer, lui donnant ainsi un meilleur prestige social, et une fierté dans ses accomplissements, surtout envers sa famille, ses amis, et son entourage en général, et il tombe dans le piège de par sa propre volonté. Ou comme dit un vieux dicton: fait-le donc car tout le monde le fait. De tels résultats ne sont pas étrange à la science de l'homme, particulièrement à la biologie et la médecine, incluant la psychologie. Dans ce contexte diabolique, motivé par l'esprit de la nature humaine déchue et corrompue, le vaccin contre le coronavirus fut conçu dans un but spécifique, pour atteindre les mêmes résultats. La science de la nanotechnologie vient supporter les compagnies pharmaceutiques pour produire le vaccin voulu. Pour ceux qui n'en sont pas conscient et ne se connaissent pas dans ce domaine infernal, la nanotechnologie est la science qui détient la capacité de modifier l'ADN du code génétique de l'être humain. Plusieurs expériences furent tentées sur des animaux avant la production finale du vaccin qui donnent les effets désirés pour le contrôle de masse au niveau global. Les adorateurs de la bête ou nature humaine, reçoivent l'information programmée de ce ces milieux malsains. Mais il s'agit toujours d'informations fardées qui dissimulent les buts réels, sous des termes d'une duplicité conçue pour séduire les crédules.

 

Le vaccin contre le coronavirus est la culmination d'un procédé graduel, popularisé par les médias d'informations pour manipuler les gens en les influençant, afin qu'ils acceptent le vaccin comme la porte de sortie de leurs misères et de leurs craintes. Vous n'avez qu'à regarder les nouvelles sur la télévision pour le réaliser, et si vous avez la Sainte Présence de Christ en vous, vous comprendrez. De cette façon subtile ils sont plus facilement maniables, et peuvent servir aux intérêts de ceux qui ont érigés cette manigance infernale. Les technologies modernes de l'homme combinées avec la politique des gouvernements de chaque nation, sont les puissances de la bête de la terre ou nature humaine déchue et corrompue qui manifeste sa présence diabolique en ces derniers temps. Elle est la plus grande et la plus puissante armée en existence car elle les incorpore toutes, et tous plient le genou devant elle. Les chefs politiques, religieux, et scientifiques sont ses généraux et ses officiers qui obéissent à ses moindres ordres, et les journalistes sont les écumes de ses influences sur les peuples de la terre. Notre civilisation a atteint le sommet de sa corruption. Nous avons même surpassé de loin celle du monde avant le déluge de Noé, et nous méritons bien les châtiments de Dieu qui s'abattent sur la race humaine.

 

Le trait ou caractéristique officiel de la bête sous toutes ses formes est le nombre de son nom ou 666. Il représente la totalité de la finalité du jour de son existence. Le numéro six détient une révélation spécifique qui nous concerne tous. Un 6 est le jour de la création de l'homme. Deux six ou 66 représente sa corruption et sa rébellion à travers l'histoire. Trois six ou 666 représente la somme totale de son existence et indique le jour de sa destruction finale. Il confirme dans son essence l'extermination de la race humaine, de la terre et de l'univers. Si nous calculons le nombre de son nom sous la direction de la Sainte Présence de Christ en nous, nous incorporons dans ce calcul tout le temps de la Grande Apostasie, du début à sa fin, et nous arrivons précisément à l'année, le mois, et le jour final de son existence et aussi de la dernière apparition de Christ en ce monde de ténèbres, lorsqu'il surgira de tous ses élus en une lumière glorieuse qui marquera le début d'une nouvelle existence éternelle.

 

LES SURVIVANTS DE LA PANDÉMIE

Ne nous formons pas d'illusions comme les gens de ce monde qui détiennent une fausse espérance. Aucun ne survivra, pas un seul, pas même le nourrisson dans son berceau. Ni même aucune insecte et microbe. La race humaine sera complètement exterminée, il n'en restera aucun pour en raconter l'histoire. Elle sera éradiquée totalement de la mémoire de Dieu et de ses élus, tout comme si elle n'aurait jamais été. Elle aura atteint le but final du pourquoi de sa création et disparaîtra à jamais. Mais il en surgira une nouvelle race dans une différente dimension d'existence qui n'aura pas de fin. Seuls les élus en feront partie, car ils ont été prédestinés à cela depuis avant la fondation du monde. Ceci est l'espérance et la persévérance des saints. Nous ne connaîtrons plus jamais l'état charnel dans laquelle nous existons présentement, notre identité d'êtres humains sera complètement effacée, car elle sera remplacée par une autre, celle de Christ. Il sera notre nouvelle vie et notre lumière pour l'éternité. Ses pensées, ses désirs, sa conscience, et le souffle de sa bouche seront les nôtres, Il sera Lui-même notre royaume, et nous serons rois et seigneurs avec Lui pour l'éternité, car nous serons Lui et il sera nous. Tous ensembles nous formerons cette nouvelle race à laquelle nous furent destinés de toute éternité, selon le décret de l'Alliance Éternelle.

 

Puisque telle est la vérité, nous devons nous empresser d'en voir la réalisation, car le jour est à la porte, la lumière du dernier moment poindre à l'horizon, et elle nous remplit d'anticipations d'en voir les merveilles. Déjà nous en avons un avant-goût par la Sainte Présence de Christ en nous, et nous en verrons bientôt la pleine réalisation. Christ en nous prépare notre nouvelle habitation dans l'Expression de son renoncement et de sa résignation, pour nous transformer en son image parfaite. Nous sommes comme la chenille en son cocon qui se transforme en papillon, de même il en sera lorsque nous émergerons de la matrice céleste en une nouvelle créature ou plutôt en une nouvelle existence. Nous déploierons nos ailes de la foi et nous nous envolerons vers la cité céleste, où un festin royal nous attend. Nous partagerons le pain de vie avec tous les saints élus, et une joie inexprimable remplira nos cœurs et ne nous quittera jamais. Le Royaume de la Majesté Suprême sera à nous, nous remplissant de toutes ses merveilles sans fin. Fini la mort, fini la maladie, fini la misère, fini les conflits, fini les rêves, nous sommes arrivés à la maison, et nous ne la quitterons plus jamais. Si vous avez cette espérance, vous le verrez tel qu'il est; et nous nous verrons tous tels que nous sommes.

 

Entre temps nous subissons les peines et les misères d'une vie charnelle éphémère, mais Christ en nous les transforme en joie, car nous savons qu'il est entièrement Souverain et le Maître absolu sur nos vies et sur toutes choses. Les gens de ce monde s'imaginent qu'ils sont en contrôle de leur destin, mais la pandémie du coronavirus leur prouve autrement. Ils sont mystifiés de voir qu'ils ont été pris par surprise si rapidement que cela. Ils n'étaient pas préparés pour une telle éventualité, jamais ils n'auraient pu s'imaginer qu'une telle chose aurait pu leur arriver. Ils ont été complètement pris au dépourvu. Mais notre Dieu, l'Esprit des vivant est parfaitement au contrôle, il utilise même la folie de l'homme pour accomplir ses dessins. Toutes les planifications des hommes, toutes leurs vies, tous leurs comportements, toutes leurs attitudes, toutes leurs décisions, tous leurs complots secrets, et toutes leurs manigances machiavéliques n'échappent pas à sa volonté souveraine et absolue. Les voies de Dieu sont mystérieuses et impénétrables. Ses pensées sont au-dessus de nos pensées, sa sagesse est au-dessus de la folie des hommes. Et en tant qu'élus et ses amis, il nous en révèle les mystères afin que nous ne soyons pas pris au dépourvu comme les gens de ce monde de ténèbres, car nous sommes des enfants de la lumière, et sa vérité éclaire notre chemin. Aucun de nous ne périra dans cette pandémie du coronavirus, car il prend soin des siens et veille constamment sur nous. Au milieu des épreuves nous voyons le ciel de sa présence s'ouvrir pour déverser sur nous ses bénédictions et nous remplir d'une joie sublime qui surpasse notre entendement. Sa paix est en nous et son assurance nous maintient. - Shalom !

 

A Christ seul soit la Gloire

Amen !

 

Le documentaire qui va faire du bruit : Le crime parfait (rumble.com)