L'ABOMINATION DE LA PRÉSOMPTION

 

Par Jean leDuc

Avril 2020

 

L'IDOLÂTRIE DE L'ESTIME DE SOI

 

ANALOGIE DE L'ABOMINATION

 

LE MYSTÈRE DE L'INIQUITÉ

 

UNE FAUSSE FOI BIEN CAMOUFLÉE

 

LA LUMIÈRE DE LA FOI VÉRITABLE

 


 

L'IDOLÂTRIE DE L'ESTIME DE SOI

L'insolence d'imposer sa façon de penser qui porte atteinte délibérément au caractère de la vérité révélée et à ceux qui la maintiennent est ce qu'on nomme «l'abomination de la présomption». Cette arrogance néfaste et pernicieuse de gens méchants, malicieux et malfaisants est l'apanage des évangéliques modernes. Jamais une période de l'histoire chrétienne n'a vu une telle abomination de la part de gens qui se disent chrétiens. Il est presque impossible de sonder leur cœur tortueux, tellement ils ont sombré dans l'idolâtrie de l'estime de soi. Leur condition est tellement lamentable qu'il n'y a plus aucune espérance pour eux. Leur arrogance les a aveuglés au point qu'ils sont devenus insensible à la vérité, et le pire est qu'ils s'en moquent éperdument, se croyant justifiés dans leurs présomptions.

 

On peut définir la présomption comme étant «une opinion fondée seulement sur des semblances ou carences de preuves, dont la base est toujours la supposition et l'incertitude». En exagérant l'information communiquée de troisième main, les réprouvés évangéliques construisent une maison sur le sable mouvant de leurs imaginations fertiles dans une tentative pernicieuse de détruire ceux qui sont contraire à leurs délires psychotiques, car ils se pensent de meilleurs chrétiens. Mais en regardant dans la Bible nous ne voyons nulle part l'Esprit de Christ agir d'une telle façon odieuse et répugnante. La condamnation leur retombe donc sur la tête et ils en porteront la peine éternellement.

 

L'abomination de la présomption est une vraie contagion dans la mouvance dite Évangélique, elle a contaminé la terre entière au niveau du christianisme contrefait moderne, aucune nation n'est épargnée, c'est un vrai fléau spirituel qui cherche la destruction de la vérité en la déformant subtilement. Il n'est pas normal pour un évangélique de ne pas s'attaquer à la vérité de quelques façons, soit par ses fausses doctrines, soit par ses paroles, soit par ses agissements. Il ne peut faire autrement, c'est plus fort que lui, il est poussé par son esprit de duplicité à agir ainsi. Nous en trouvons partout, cette vermine a fait son nid chez les baptistes, les darbystes, les pentecôtistes, les charismatiques, les messianiques, et même les réformés du protestantisme traditionnel.

 

Le rapportage de ragots et de balivernes est devenu un sport diabolique chez ceux qui se donne à la médisance, et comme dans tous sports il a ses joueurs reconnus pour leurs infamies. Nous en connaissons plusieurs de ces enfants du diable ici au Québec en France, et au Cameroun, notamment Jacques Alexanian, Mario Monette, Denis Doyon, Michelle d'Astier, Christian Becquet, et Patrice Eric Kayayan, Garriga de la secte Vigi-sectes; sans compter tous les traîtres, lâches, tièdes, hypocrites et faux chrétiens que nous avons rencontré dans une période de cinquante années (voir: Le fléau des sectes dites chrétiennes). Dans ce joli petit groupe de réprouvés, nous trouvons des voleurs, des escrocs, des profiteurs, des manipulateurs, des destructeurs de famille, des batteurs d'enfants, des pervers sexuels, des fourbes, des séquestrateurs, des déformateurs de la foi, des agresseurs, des oppresseurs, des diffamateurs, des intimidateurs, et j'en passe. Pour utiliser les paroles de la Bible «ils sont légion». Telle est la condition lamentable du christianisme contrefait moderne.

 

ANALOGIE DE L'ABOMINATION

L'analogie est le rapport de ressemblance, d'identité partielle entre des réalités différentes préalablement soumises à comparaison; trait(s) commun(s) aux réalités ainsi comparées, ressemblance bien établie, correspondance. (Correspond à analogue). Cette méthode d'instruction fut utilisée par le Seigneur Jésus Lui-même avec ses disciples et les habitants de la Judée. Ainsi par analogie, l'abomination de la présomption correspond exactement avec l'abomination de la désolation mentionnée par le Seigneur Jésus: «Quand donc vous verrez dans le lieu saint l'abomination de la désolation, dont le prophète Daniel a parlé - que celui qui le lit y fasse attention. Alors que ceux qui seront dans la Judée s'enfuient aux montagnes...» (Mat. 24:15,16). Sans cet avertissement du Seigneur Jésus, le christianisme n'aurait jamais existé. Quand le malheur frappa Jérusalem en l'an 70, les disciples purent se réfugier dans les montagnes. Mais qu'en est-il de nous, car il est évident que nous ne pouvons fuir et se mettre à l'abri dans les rochers des montagnes, puisque le monde entier a été contaminé par l'abomination de la présomption des évangéliques. Mais encore une fois par analogie, nous prenons refuge sous le Rocher de notre salut: «L’ADMIRABLE est vivant! Et béni soit mon rocher! Que L’ESPRIT DES VIVANTS, le rocher de mon salut, soit exalté!» (2 Sam. 22:47).

 

L'abomination de la désolation au temps de Jésus et des apôtres, se produisit lorsqu'un peuple étranger, les romains, pénétrèrent par force dans le temple de Dieu à Jérusalem et offrit des sacrifices sur l'autel au faux dieu Jupiter. Or par analogie, sous la grâce, le Temple de Dieu est le Corps du Seigneur Jésus-Christ (Jean 2:19-21), et se rapporte aussi à l'ensemble de tous les élus seuls (1 Corinthiens 12:12), dont chacun en particulier est un temple de l'Esprit des vivants par la Sainte Présence de Christ, qui habite en leur cœur (1 Corinthiens 3:16,17). La profanation de ce temple sacré est un sérieux affront au Seigneur qui ne laissera pas impuni ceux qui ont l'audace de le l'injurier et de le corrompre en essayant de le discréditer ou d'y introduire des présomptions ou opinions particulières, déformant même la signification de la grâce et de la foi. Or c'est exactement cela que font les évangéliques en discréditant par la médisance honteuse ceux en qui habite la Sainte-Présence de Christ. Si Christ était vraiment en eux ils n'agiraient pas de la sorte. Ils indiquent donc par cela qu'ils sont un faux peuple de Dieu, des faux temples en qui habite un esprit d'agression, de prétention, de duplicité et de fraudes spirituelles de tous genres.

 

On ne peut considérer sérieusement les évangéliques comme des chrétiens, mais comme des faux frères et des ennemis de la croix puisque tout en eux n'est que contrefaçon. Rien, absolument rien en eux n'est de Dieu mais du diable, c'est à dire de l'esprit de la chair qui est hostile à l'Esprit de Dieu. On y trouve que des approximations et des conjectures sophistiquées qui déforment la vérité et font dire à la Bible ce qu'elle ne dit pas explicitement. Leur prétendu amour est purement charnel, il n'est qu'une façade pour couvrir leur haine et leur aversion pour la vérité qu'ils ont déjà déformé à leur guise pour supporter l'abomination de leurs présomptions. Ils sont complètement aveuglés par leur orgueil et leur estime de soi qu'ils ne peuvent reconnaître la vérité, même si elle leur tomberait sur la tête comme l'enclume d'un forgeron et ils ont l'audace de se dirent chrétiens. Mais comme nous savons, ils sont tous des faux chrétiens sans exception. S'il y a vraiment un chrétien réel dans ces nids de vermines et de vipères, soyez assuré que le Seigneur Jésus le sortira de là, il ne demeurera pas dans ces porcheries évangéliques mais il sera lavé de ses souillures et prendra sa place dans le Corps de Christ, le Temple de l'Esprit des vivants et selon le bon plaisir de sa volonté pour glorifier Son Nom.

 

LE MYSTÈRE DE L'INIQUITÉ

L'apôtre Paul a reçu de grandes révélations de la part du Seigneur Jésus lorsqu'il a été ravi au troisième ciel (2 Corinthiens 12:1-5). En d'autres mots, Paul a été complètement émerveillé par les visions et révélations de l'Esprit de Christ en lui qui lui transmettait ses instructions pour l'édification du Corps de Christ, car il construisait la charpente du Temple dont la fondation est Jésus-Christ Lui-même. Une de ces révélations est celle du «Mystère d'iniquité» mentionné dans 2 Thessaloniciens 2:7. Il est évident que les évangéliques ont extrapolés sur le sujet pour en déduire des fausses conclusions qui supportent leur fausse doctrine d'un règne de mille ans sur la terre. Un faux règne pour un faux Jésus et une fausse église qui convient à leurs délires de psychopathes.

 

Ici le mot «iniquité» ou «anomia» dans le Grec dont la signification est «être sans loi ou transgresser la loi» porte dans ce contexte la notion de «fraude ou contrefaçon», c'est à dire d'établir une approximation contraire à l'autorité de la révélation des Saintes-Écritures. Cette contrefaçon se rapporte à «l'homme du péché, le fils de la perdition» mentionné dans le v.3 de ce chapitre. Or toutes sortes d'exagérations ont été élaborées par les évangéliques sur ce sujet dans lequel ils voient un Antichrist qui viendra faire une alliance avec l'Israël moderne dans un temple reconstruit à Jérusalem. Les interprétations insensées sur cela sont en grand nombre, chacune étant plus ridicule que l'autre (voir: «Hérésie du Dispensationalisme Évangélique». L'hérésie du prémillénarisme-dispensationaliste a fait beaucoup de ravages parmi les cerveaux hébétés évangéliques.

 

Or l'expression «l'homme du péché, le fils de la perdition» est une désignation de Judas le traître que l'apôtre Paul utilise par analogie pour nous transmettre ses instructions sur la fin des temps. Il est évident que Judas le traître n'apparaîtra pas de nouveau, l'expression veut dire quelque chose d'autre. On voit dans ce contexte qu'elle se rapporte directement à «ceux qui se perdent, parce qu'ils n'ont point reçu l'amour de la vérité, pour être sauvés.» (v. 10). En d'autres mots «l'homme du péché, le fils de la perdition» n'est pas un homme mais un groupe particulier, un faux peuple de Dieu qui a été désigné pour apparaître vers la fin des temps, et il désigne clairement le mouvement Évangélique moderne qui prit son essor dans les années 1960 en même temps que le Concile de Vatican II (1961-1965). Étrange n'est-ce pas que les deux sont reliés ensembles dans une même période de temps. Il y a une raison pour laquelle le mouvement Évangélique est souvent appelé du néo-catholicisme de par son universalité, car il est répandu dans toutes les nations de la terre, et nous savons que les coïncidences n'existent pas. En fait, le mot catholique signifie littéralement Universel. Le mouvement Évangélique moderne serait donc du catholicisme déguisé sous couverture biblique, l'enfant de la Grande Prostituée. Ceci correspond très-bien à l'idéologie du Vatican qui est d'amener toutes les religions de la terre sous le contrôle de la papauté.

 

En surcroît, les doctrines de base du mouvement Évangéliques sont les mêmes que celles du catholicisme, notamment l'idole du libre-arbitre (libre-choix), l'idole de l'estime de soi, l'idole de la trinité de trois personnes en Dieu avec son faux Jésus, la haine du calvinisme et de la double-prédestination, la répugnance du Texte Reçu Grec, la déformation de la grâce du salut en y ajoutant la sanctification par les œuvres, sa fausse notion de l'Église qui pour eux est une institution ou organisation religieuse, l'amour pour tous les hommes sans distinctions, etc., etc....

 

UNE FAUSSE FOI BIEN CAMOUFLÉE

Une grâce particulière que le Seigneur Jésus donne à ses élus est le discernement. Cette qualité merveilleuse de la grâce divine est complètement absente chez les évangéliques (voir: Le discernement des esprits). Ils en ont aucun besoin puisqu'ils s'imaginent connaître toutes choses, les démons dans leurs cœurs enténébré peuvent les instruire en tout ce qui est nécessaire pour leur croyance afin de fortifier leurs présomptions de débiles psychopathes et ils sont assurés de toujours avoir raison (voir: Les psychopathes évangéliques).

 

Pour les évangéliques, traditionnels comme extatiques, la foi est une faculté intellectuelle qui leur donne un sentiment de paix qui calme temporairement leur esprit troublé. Leurs présomptions orgueilleuses d'opinions particulières les dirigent à ériger des conjectures sophistiquées sur ce que la Bible dit, si elle n'est pas mise au rancart complètement car elle a perdu son importance et son autorité. La supposition devient la base de leur croyance et maudit est celui qui chercherait à leur dire le contraire puisqu'ils refusent d'être corrigés. La présomption est une fausse foi bien camouflée sous des apparences bibliques. L'apôtre Paul nous parle d'un faux évangile, d'un faux Jésus et d'un faux esprit proclamé par des faux prophètes de son temps (2 Corinthiens 11:3,4, 12-15). Ne vous imaginez pas que ces choses étaient seulement pour son temps. Nous avons montré avec amplement d'évidence que les évangéliques modernes font exactement la même chose, et même pire encore. Les insanités que nous y trouvons parlent pour elles-mêmes, sans mentionner les dérèglements de conscience et les agissements perfides et déplorables qui se trouvent dans ce faux peuple de Dieu.

 

Mais si les évangéliques se réjouissent de leur condition exécrable, ce n'est que pour un temps, ils subiront tous le juste jugement de Dieu au temps déterminé et aucun d'eux n'échappera le jour de vengeance du Seigneur Jésus qui les consommera tous par le feu (Apocalypse 20:9). À ce jour l'odeur du porc rôti évangélique se répandra partout sur la terre pour donner gloire au Dieu vivant qui venge ses élus.

 

LA LUMIÈRE DE LA FOI VÉRITABLE

De nombreuses discussions et autant de document ont été érigés sur le sujet de la foi depuis le deuxième siècle jusqu'à nos jours, mais tous, absolument tous ont manqué le point central. Il est presque inconcevable qu'il en fût et qu'il en est encore ainsi. La Bible est pourtant claire sur ce sujet, mais il semblerait que la simplicité de la foi est devenue une complexité énorme pour un grand nombre à travers l'histoire du christianisme. La signification de la foi réelle a échappée aux grands érudits qui ont écrits des milliers de volumes sur son sujet pour étaler leur grand savoir. Mais la foi authentique a été saisie par des enfants, des ignorants, des illettrés et des rejetés de la société.

 

La Bible que nous considérons être la Parole de Dieu, nous dit: «La certitude (la foi) vient donc de ce qu'on entend; et de ce qu'on rapporte de la déclaration de L’ESPRIT DES VIVANTS.» (Romains 10:17; Bible Machaira 2020). Or il y eut une grande période de temps dans laquelle n'était pas disponible aux peuples communs, surtout dans les premiers siècles. En fait la Bible que nous connaissons n'existait même pas. Ceux qui reçurent la Parole de Dieu la reçurent par vive voix. Il a fallu attendre pour de long siècles l'invention de l'imprimerie et la publication des Grands Réformateurs comme Luther, Calvin, Bèze et plusieurs autres pour que la Bible que nous connaissons prenne jour et que la lumière de la vérité pénètre dans les peuples communs. Avant cette période nous devons porter notre attention vers un peuple remarquable, les Vaudois. Les Bardes Vaudois qui avaient la responsabilité d'instruire leur peuple dans la vérité, avaient en leur possession une Bible manuscrite de l'ancienne Vestus Itala (Bible en vieux Latin) traduite des Textes Originaux de l'Église d'Antioche vers l'an 157 par l'Église Italique du nord de l'Italie fondée par Corneille et les gens de sa maison en l'an 35 de notre ère. Un Barde avait le devoir d'en apprendre de grandes parties par cœur et souvent des livres au complet comme l'Évangile de Jean et plusieurs autres. De cette façon ils transmettaient la lumière de la foi authentique au peuple et même à des étrangers sous guide de colporteurs et marchants d'ustensiles sur les grands marchés, cachant de précieuses copies dans leurs vêtements, les donnant gratuitement sous la direction de l'Esprit de Christ à ceux qui avaient été désignés pour les recevoir.

 

Nous commençons maintenant à comprendre un peu c'est quoi la vraie foi. La Parole de Dieu nous dit que la vraie foi est une assurance (Hébreux 11:1) dans l'accomplissement des promesses de Dieu en notre faveur. Or les mots, foi, assurance, certitude, confiance signifient une seule et même chose. La foi n'est donc pas une faculté intellectuelle de l'homme, ni un sentiment ni une expérience quelconque. Il nous importe donc de préciser davantage. Dans les traductions classiques ou traditionnelle de la Bible, nous voyons que la foi est un don de la grâce de Dieu. Les évangéliques n'ont pas tardé à nous dire qu'il s'agit d'un cadeau de la part de Dieu que nous avons le choix d'accepter pour être sauvé. Une telle notion est une vraie abomination conçue pour soutenir l'hérésie du libre-choix et le sacrilège de l'estime de soi pour maintenir la dignité humaine devant la grâce du salut qui exigerait dans ce cas la coopération de l'homme avec Dieu qui ne serait pas assez puissant pour nous sauver sans nos efforts ou nos œuvres d'obéissance en provenance de notre volonté qui est esclave de la chair et du péché. Vraiment toute une doctrine infernale et satanique qui rend gloire au diable plutôt qu'à Dieu, un vrai chef-d'œuvre de la puissance des ténèbres qui domine dans le cœur des évangéliques.

 

Or le mot «don» dans Éphésiens 2:8 ou «charis» dans le Grec ne signifie pas un cadeau que l'on peut accepter ou rejeter, il signifie proprement «offrande» et se rapporte directement à l'offrande du sacrifice de Christ sur la croix en faveur de ses élus seuls, comme nous voyons dans la Bible de Machaira 2020: «Car par grâce vous êtes sauvés en raison de cette assurance de Christ; et cela est l'offrande de L’ESPRIT DES VIVANTS et donc pas de vous-même; Ce n'est point par vos efforts, afin que personne ne s'en vante. Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus-Christ pour les réalisations gracieuses de la foi, que L’ESPRIT DES VIVANTS a préparées d'avance, afin que nous y marchions» (Éphésiens 2:8-10). Il ne s'agit donc pas de la grâce par le moyen de la foi, car le mot «moyen» n'est pas dans le Grec original de ce passage, mais de la Grâce de la foi. C'est à dire que la foi ou assurance est elle-même la grâce du salut. Mais il y a plus, car il ne s'agit pas de notre propre foi ou assurance, mais de l'assurance du Seigneur Jésus Lui-même dans l'accomplissement de son ministère en s'offrant en offrande pour nos péchés afin de nous racheter de la malédiction de la loi qui exigeait notre mort. Cette assurance du Seigneur Jésus il nous la donne gratuitement et sans condition dans les mérites de son sacrifice qui nous sont attribués comme étant les nôtres. Ainsi nous devenons des fils de Dieu, étant fils d'adoption en Jésus-Christ et héritiers de la gloire éternelle.

En d'autres mots, sans assurance dans le sacrifice de la croix il est impossible d'être sauvé et cette assurance n'est pas la nôtre mais celle du Seigneur Jésus-Christ. Nous ne pouvons rien contribuer à notre salut, le choix du salut appartient à Dieu seul et non à l'homme. Nous avons été choisis en Christ depuis avant la fondation pour être les récipients de cette grâce merveilleuse, et jamais aucun réprouvé évangélique ne pourras nous la dérober. Amen !

 

A Christ seul soit la Gloire